Cas de coaching – Aide 2
Mon «cas de coaching» de vendredi dernier commence à collecter des commentaires qui vont dans le sens attendu, c’est à dire, chercher dans ce qui a été exposé, des arguments qui pourraient vous aider à adhérer au programme Attitude-Coach dont les portes resteront ouvertes pendant encore 12 jours.
J’ai déjà exploré un premier point qui se trouve dans mon article : mon client croit qu’un problème de prise de décision n’est pas lié à son coaching, plutôt orienté management. Or au final, notre petit épisode «hors sujet» n’a pas seulement démontré le contraire. Il a littéralement ridiculisé cette façon de penser. En reportant ce principe holistique sur le «teaser» de mon programme (l’histoire de la Princesse Merveilleuse), je peux affirmer que ce que vous voyez dans cette «bande annonce» est extrêmement limité par rapport à ce que ce programme peut vraiment vous apporter. Alors de même que mon client m’a laissé explorer son soi-disant problème décisionnel, laissez-vous tenter par l’expérience du programme Attitude-Coach.
Passons à un deuxième argument, qui se trouve toujours dans le «cas de coaching» de vendredi, et tâchons de le ramener à ce qui pourrait vous aider à aller vers «Attitude-Coach» :
- Lorsque la décision a été prise, mon client s’est senti soulagé… Soulagé de quoi ? D’une décision ! Mais une décision n’est pas une action ! Il a fallu que je le stimule pour acheter l’ordinateur ! C’est un phénomène connu : le fait de prendre une décision a l’effet d’une soupape qui se lève… La pression redescend, et le soulagement ressenti peut retarder l’action.
Je vais vous donner un exemple concret (d’actualité) : le programme «Attitude-Coach» a été proposé 4 fois en 7 ans. Il y a des participants qui en gardent un si bon souvenirs qu’ils s’inscrivent à chaque fois. C’est un peu comme un film qu’on regarde plusieurs fois : à chaque reprise, on découvre de nouvelles choses… . Cette année, j’ai proposé à tous les anciens participants, de de réinscrire à ce programme. S’agissant du même contenu, je leur ai proposé une réduction importante. Cette remse spéciale récidivites est proposée sous la forme d’un code de réduction de 20€, qu’il suffit de demander.
33 personnes m’ont demandé de leur envoyer ce code. Mais chose étrange, il n’y a (pour le moment) que 14 réinscriptions… 19 bons de réductions restent encore inutilisées (ça fait 58%) ! Ca n’a pas de sens… Il n’y a aucune raison de demander une réduction dans l’intention de ne pas s’inscrire ! Alors forcément, ils y ont pensé très fort ! Mais pas assez fort pour agir…
Si je ne stimule pas les troupes (par des relances), ils ne passeront pas à l’action. Pourquoi ? Parce que le fait de demander ce code a libéré de l’énergie. Je ne parle pas de l’énergie de l’action (un clic leur a suffi pour obtenir ce code) . Je parle de la soupape relevée par la décision ! Maintenant, je dois trouver des stratégies pour convaincre une population non-négligeable d’utiliser sa réduction de 20€…
Comprenez bien que je ne critique pas et ne compare pas les «premiers» aux «derniers». J’expose des faits que l’on peut observer tous les jours dans bien es circonstances : prendre une décision peut ralentir l’action. Sans rappels, sans relances, on en restera à l’énergie libérée lors de la prise de réduction…
Que dire des personnes qui ont hésité à rejoindre ce programme pendant des années (7 ans pour les plus anciens lecteurs) et qui ont pris la décision de s’inscrire cette année… Cette décision doit être tellement libératrice, qu’en la prenant, ils ont déjà l’impression d’être inscrits ! Mais concrètement, s’ils n’agissent pas MAINTENANT, ils ne seront pas plus avancés que l’année dernière. A moins que j’aie la bienveillance de les relancer…
Oui oui ! Relancer un client potentiel, c’est bienveillant ! On a souvent l’impression qu’on dérange (c’était mon sentiment pendant des années), mais en pratique, notre vie occidentale est tellement complexe, que la procrastination trouve facilement des brèches pour s’insinuer dans nos journées. Depuis que je mène cette activité en ligne, je ne compte pas le nombre de personnes qui m’ont remercié d’avoir insisté et insisté encore…
L’un de mes mentors en marketing m’a dit un jour qu’à moins de 14 relances (pour la même campagne), il n’y avait aucune raison de se reposer !
Parfois, je rêve d’une année sabbatique ! Pour moi il ne s’agirait pas d’une année sans travailler (j’adore mon travail), mais plutôt d’une année sans relances ! Ce serait tellement génial ! Je pourrai vous écrire plein de trucs gratuits sur plein de sujets, puis lorsque je déciderai de lancer un programme payant, je ferai le plein immédiatement ! Sans avoir besoin de relancer…
♫ Oh… La belle vie… ♫
Mais tel que je me connais je serai dans un tel enthousiasme que cette reconnaissance spontanée de mon travail va me stimuler ! Je continuerai à communiquer avec vous ! Au lieu de vous relancer, je le ferai par Gratitude. Je pourrais même vous envoyer jusqu’à 14 articles comme celui que vous venez de lire, avec une petite nuance : je ne les terminerai pas par «Inscrivez-vous !»… Plus besoin !
♫ Oh… La belle vie… ♫
Est-ce que ça aura un bel effet sur vous ? Bien sûr ! Au lieu d’avoir le sentiment que cet article vous a été envoyé pour alléger votre portefeuille, vous comprendrez que ce qui y est exposé fait partie de la Newsletter gratuite :c’est du Développement Personnel anti-procrastination… Mais tant que vous ne vous inscrirez pas, vous vous direz que c’est une relance puisque ça se termine par «Inscrivez-vous !»
On ne lit pas une relance comme on lit un article de Développement Personnel. La posture n’est pas la même, et le bénéfice non plus.
Actuellement 43 personnes ont reçu ce message comme un cadeau, car le bouton ci-dessous ne les affecte plus. Il ne les concerne plus ! Vous voulez les rejoindre ? Vous voulez recevoir des cadeaux au lieu de recevoir des relances ?
A++
Stéphane SOLOMON
Le décalage entre la demande du code et sa réception (s’il y en a un) pourrait il être un frein à l’inscription de ceux qui ont demandé mais ne sont pas passés à l’action ?
Moi, cela pourrait très bien me freiner.
C’est intéressant que tu dises ça, alors que la réduction n’a aucun effet sur ta motivation (pour ce programme)
Il y a donc un besoin immédiateté à gérer… soit chez toi, soit chez moi.
Je pense être inscrite, mais là avec ton article et tes statistiques de non inscription, j’ai le doute si je suis réellement sur la liste des 43 qui vont bien profiter de ce coaching, ou si j’ai loupé une case pour mon inscription, qui flotterait entre 2 eaux, sans être nul part.
Oui, je souhaite refaire cet “enseignement” car ma vie et mes fonctionnements ont évolués et une petite mise à jour fait tjs du bien, pour aller plus facilement : droit au but, dans mes valeurs en maximisant mes capacités que je mets en œuvre dans l’action !
Si tu as reçu un mail de confirmation après ton inscription, tu es inscrite. Sinon il y a un incident. Et si tu t’es inscrite pour cette semaine et tu n’as rien reçu a ce jour, il y a 5 incidents !
Quelle que soit la teneur de ce mail, 5 incidents c’est beaucoup !
Ou alors les choses suivent leur cours, et dans ce cas, tout le reste n’est que de l’inquiétude. Ce qui signifierait que tu entres dans un troisieme cas : tu ne parviens pas à trouver de l’intérêt dans le courrier que je vuens d’écrire (il génère davantage de doute que d’intérêt). Veux-tu que je désactive la newsletter gratuite tant que le payant n’est pas entamé (tu peux le faire toi même). Pour ma part, je m’en voudrais de ne pas t’envoyer ça.
Et bien Oui, je me suis laissée distraire par ce que je croyais être mon inscription : mail qui disait que j’étais inscrite ou que j’ai cru comprendre comme tel.
Donc je suis revenue sur le site, avec le mail de code de réduction et Hop ! (je vis en Alsace) cette fois ci c’est Ok.
Merci Stéphane pour tes relances !
Avec plaisir !
A partir de maintenant, ce que tu recevras ne sera plus une relance (même si ça termine par «Inscrivez-vous !»).
J’ai dû chercher le bouton “inscrivez-vous”… C’est génial !
CQFD
Personnellement j’ai pris plus de 15 mois entre le moment de prendre une décision et celui de commencer à l’appliquer (pas en ce qui concerne le coaching Stéphane, ce n’est pas mon projet de vie) et je pense qu’il faut penser le pb du passage à l’acte, avec l’aide du concept de cohérence interne. Il faut non seulement à mon avis que l’action soit prioritaire (c’est à dire qu’elle passe avant toute chose…) mais encore tout soit “aligné” en soi, c’est à dire, qu’il n’y ait pas d’autres priorités petite ou grande qui s’interpose. J’irai même jusqu’à dire qu’il faut que la décision nous ressemble… qu’il n’ y ait rien d’autre à faire que la prendre, qu’elle soit inéluctable… l’absence d’inéluctabilité explique peut-être, avec l’afflux d’informations qui nous arrive lorsqu’on est face à un écran, afflux qui nous détourne souvent de notre projet initial, l’écart entre les engagements de s’inscrire à la formation et la prise de décision effective. Qu’n pensez vous ?
Bien cordialement.
Pierre
Merci pour cette contribution
Il y a des prises de décision qui nécessitent une véritable sortie de sa zone de confort, ou une sacrée préparation mentale :
– Un déménagement
– Un réorientation de carrière
– Un mariage
– Un divorce
– Fonder une famille
– Acheter une maison
– Intenter un procès
– Choisir entre une chirurgie ou un traitement aux rayons X
– Prendre une année sabbatique…
C’est le genre de décision que vous décrivez au début de votre commentaire. Et bien évidemment, je comprends que ça puisse être difficile, sinon je ne ferai pas ce métier ! Justement le métier de coach consiste à clarifier et à aligner la «cohérence interne» (on parle de Congruence) de mes clients. Et là où certains restent en mode «c’est décidé, je le ferai un jour…», d’autres se paient un coaching pour le faire ici et maintenant. Ainsi, leur budget «accès à la propriété» passe de 320.000€ net vendeur à 323.000€ net vendeur. Pour eux, ce 1% coaching est légitime, car il permet de devenir propriétaire en quelques mois, au lieu de tergiverser pendant des années. Ca en fait des mois de locations en moins… Sans oublier qu’ils acceptent de payer l’agence, le notaire et la banque… Ça en fait du monde qui est payé pour une maison. Pourquoi pas un coach s’il a une vraie fonction dans l’affaire ?
Mais acheter un Mac ou un PC pour une employée qui va produire du contenu vendeur, ça ne devrait pas être une décision aussi complexe. Ça cache forcément autre chose ! Soit un comportement ancré qu’il convient de déverrouiller, soit quelque chose de beaucoup plus profond qui et lié à cette décision (et qui parfois, relève davantage de la psychothérapie que du coaching).
Lorsqu’on a décidé de suivre une newsletter sur le Développement Personnel, un programme d’auto-coaching estival à 28€ (une sorte de cahier de vacances), ça ne devrait pas être difficile à accueillir. Je dirais même plus : l’évènement devrait être attendu !
A moins que l’Armée du Salut ait recommandé ma newsletter aux personne qui viennent se réchauffer dans leurs foyers et que 28€, ce soit une sacrée somme à débourser…
SI c’est ça, je pense que j’en aurais entendu parler. Depuis le temps…
A propos des prises de décisions, de la réussite, de la confiance en soi..mon déclic est venu d’une découverte pourtant assez évidente: derrière chaque personne qui réussit “mieux que d’autres”, il y a un coach, personne n’y arrive seul: son conjoint, son ami, son grand parent, un parent, un prof, un modèle, un conseiller..(un peu de chaque dans le temps). Même Carl Gustav Jung utilisait le tirage du Yi Jing pour des décisions/réponses. C’est quand même le père de la synchronicité et des cures d’individuation/thérapies courtes (à la question croyez-vous en Dieu il répondait malicieusement “je ne crois pas, je Sais”). Stéphane stimule (gratuitement) notre coach-intérieur, mais pour faire appel à son auto-coach (presque gratuit mais toujours accessible au delà d’une “décision”) il faut en faire le choix et se faire coacher (ça boucle), un élément extérieur doit intervenir, chez moi ça a été l’idée qu’ “en fait, tout ceux qui réussissent sont coachés”, le premier coaching a été “Communication et Leadership de Dale Carnegie”, juste après time-coach. Merci Stéphane ! Et vous c’est quoi le déclic ?
Merci Patrick,
Non seulement c’est très pertinent, mais en plus ça tombe en synchronicité avec ce que je prépare pour la rentrée !
C’est vrai, j’étais d’abord surprise d’avoir 2 mails hier matin, et puis quand j’ai compris j’étais contente d’en avoir 2 pour le prix d’un !
Bonsoir
Je me suis inscrite mais du coup je me demande si mon inscription à bien été prise en compte. Peux tu m éclairer à ce sujet. Merci beaucoup
Forcément, puisque tu participes au commentaire de ce programme (je viens d’en voir passer 2). Y a-t-il quelque chose de pas clair ?…
Ah merci Stéphane. Tout est clair.