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Erratum CROYANCES++

J’ai fait une erreur d’aiguillage dans mon précédent article. Si vous faites partie de 296 personnes qui ont cliqué sur le lien proposé, AVANT 14h48, je vous invite à recommencer :

http://www.auto-coaching.fr/croyances

En effet, avant 14h48, ce lien n’orientait pas vers la présentation du programme, mais vers le début du programme : la page qui s’affichait concernait les personnes inscrites…!

Enorme erreur ! Imaginez la même erreur sur un support physique… C’est comme si au lieu d’envoyer la publicité d’un livre, j’avais envoyé le livre ! Plus de 4.000 exemplaires envoyés dans la nature… Irrattrapables !

Nous avons corrigé ce problème en moins d’une minute, et les inscriptions ont commencé.

C’est beau !

Ca m’a fait réfléchir : Les nouvelles technologies permettent de faire davantage d’erreurs… On a moins peur de se tromper pour 3 raisons :

L’erreur peut être corrigée rapidement

Je suis fils d’imprimeur, je sais ce que coûtait une erreur sur papier, surtout une erreur de ce type (comme l’inversion de deux chiffres dans un numéro de téléphone, par exemple).

Il y a beaucoup plus d’indicateurs qui permettent de corriger l’erreur

Le fait que je n’aie pas d’inscriptions immédiates (dans l’heure) était un premier indicateur. Mais il y a eu mieux : l’article payant a été commenté. Comment est-ce possible sans aucune inscription ? Ca nous a permis de savoir où était l’erreur exactement.

Les conséquences de l’erreur sont rarement catastrophiques

Ou du moins, elles sont gérables… Observez cet erratum. Il est aussi rapide à envoyer que l’erreur elle-même 😉

Faites des erreurs !

De ce fait, on pourrait même apprécier nos erreurs, en avoir moins peur, passer à l’action plus vite… tout en prévoyant un temps pour les actions correctives. C’est la leçon donné par le monde numérique.

Les «actions correctives» ont toujours fait partie des techniques d’organisation les plus méthodiques. La notion de «marge d’erreur» est également très populaire. Le fait d’envisager les erreurs humaines comme faisant partie intégrante du projet et de les accueillir avec le sourire, réduit le risque d’erreur, et aussi la pénibilité de la correction.

Je profite donc de cette erreur de parcours, au moment même du lancement de mon nouveau programme, pour vous rappeler que dans le monde physique comme dans le monde numérique en adoptant les principes de la «marge d’erreur» et des «actions correctives», vous serez plus apte à passer à l’action et à réussir ce que vous entreprenez.

De plus, l’erreur est formatrice et parfois elle cache des trésors difficiles à trouver lorsqu’on maitrise tout de A à Z…

Tiens… Observez cet article : je ne l’aurais jamais écrit sans cette erreur, et je suis sûr que certaines personnes s’inscriront à CROYANCE++ parce qu’elles l’auront apprécié !

Cette CROYANCE m’a aidé à tenir lorsque j’ai lancé TIME-COACH et tout au long du parcours (j’en ai commis des erreurs !). Mais j’ai eu raison d’y croire !


Inscrivez-vous à CROYANCES++

A++

Stéphane SOLOMON

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Jean-Louis
Jean-Louis
10 années il y a

Bonjour Stéphane, je vous soupçonne largement d’avoir commis une “erreur volontaire” mais cela ne me dérange pas. Je me suis inscrit à ce nouveau programme car je suis depuis très longtemps intéressé par le sujet. Après diverses lectures, je pense que les croyances positives et négatives ont dans une certaine mesure un pouvoir d’auto réalisation du fait de notre subconscient qui les traite comme des objectifs. Si c’est bien comme ça que ça se passe, l’élimination des croyances limitantes pourrait littéralement faire exploser nos capacités. Il me manque pour cela des conseils pratiques, c’est ce que j’attends de ce programme. Je compte sur vous.
Jean-Louis

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