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Le cumul des chances

Mon dernier article a fait 7 inscriptions. Ce qui est très honorable compte tenu du nombre de personnes qui l’ont lu. Alors forcément, ça donne envie de tenter un ultime argument…

Pourquoi j’insiste tant ? Est-ce pour aider un maximum de personnes à accéder à ce programme ou plutôt parce que je veux vendre un max ?…

Les deux mon capitaine ! D’ailleurs compte tenu du métier que je fais, je ne vois pas la différence : plus je vends, plus j’aide ! Si ce principe n’est pas totalement ancré en vous, cela signifie que nous sommes dans un dialogue de sourds depuis des années. Ce qui m’amène à vous poser vers la même question :

Et vous dans votre métier, où en êtes-vous ? Lorsque vous développez votre Marketing, vous outils de communication, vos «ficelles» commerciales, etc. avez-vous le sentiment d’aider vos interlocuteurs à accéder à de bons produits et services, ou seulement l’impression d’alléger leur portefeuille, parce qu’il faut bien payer son loyer ?… Votre réponse vous donnera une idée du type de clients que vous attirez. Dans un cadre plus pro, on appelle ça la «relation-client». Bien sûr, ça se gère…

Pour ma part, je sais que j’ai attiré des procrastinateurs. Il est donc normal que le «dernier moment» soit un moment clé dans ma communication.

Nous y sommes !

Mettez toutes les chances de votre côté !

Revenons à mon précédent article : malgré son succès relatif, il me pose un vrai problème ; je n’ai aucune certitude sur ce qui a créé cet engouement… Mes trois précédents articles ont motivé seulement 2 personnes à s’inscrire, et voilà que soudainement, je vends ! Et comme peu d’acheteurs s’expriment sur la raison qui les a aidés, je reste dans une profonde interrogation sur le facteur principal :

  • Est-ce parce que j’ai annoncé la fermeture des inscriptions ? C’est probable : cette «pression» crée souvent une accélération du processus de vente !
  • Est-ce parce que j’ai expliqué aux cartésiens que ce programme aurait pu s’appeler autrement, et que dans ma bouche le terme «Attraction» n’est pas mystique ? C’est très possible !
  • Est-ce parce que j’ai éveillé les «mystiques», en leur expliquant que lorsqu’un miracle s’explique, la magie demeure et prend une dimension supérieure ? C’est concevable.

Comment le savoir, lorsqu’un article cible aussi large ? Il y a une solution que j’applique parfois : écrire trois articles distincts, chacun étant réservé à un profil-client. Mais dans notre cadre, je ne peux me permettre de cibler toutes les personnalités, les sensibilités, les intelligences… Si j’avais davantage de candidats, je l’aurais fait en prenant mon temps (pensez-y, si votre fichier est constitué de plusieurs milliers de prospects), mais pour ma part, il ne reste plus que 20 à 30 clients à convaincre.

Essayons encore un dernier argument, avant de baisser la grille…

Il y a quelques temps, j’ai lancé un programme sur la Confiance en soi, et une cliente potentielle m’a écrit ceci :

Je ne peux pas m’inscrire à votre programme dans l’immédiat, car je suis en train de lire «Tremblez, mais osez» de Susan Jeffers, et je voudrais éviter toute synchronicité !

C’est une démarche cartésienne : en effet, en supposant que cette personne multiplie ses initiatives et que sa vie s’améliore soudainement, qui sera à l’origine de ce changement ? Susan JEFFERS ou Stéphane SOLOMON ? Visiblement, pour elle, c’est important de le savoir, d’éviter les interférences, de rendre à César ce qui appartient à César au moment de gratifier les acteurs…

Je comprends que dans une démarche purement scientifique, on cherche à isoler les causes potentielles, afin de désigner avec certitude ce qui est à l’origine d’une résultat. Par exemple, dans un cadre de recherche clinique, avant de produire un nouveau médicament, il est d’usage de multiplier les tests dans diverses situations afin de s’assurer que seule la molécule à commercialiser agit sur la maladie. La batterie de tests est phénoménale, car le but est de produire un médicament qui sera administré à des centaines de milliers de personnes, il ne s’agit pas de passer à côté d’un effet cumulé ou d’un effet placébo, en concluant que le principe est actif…

Mais le Développement Personnel répond à un paradigme inverse qui consiste à mettre toutes les chances de son côté. Nous partons du principe qu’une réussite est multifactorielle et qu’elle appartient avant tout à la personne qui réussit ! Les croyances y tiennent une place dominante, ce qui fait de l’effet placébo un outil et non un concurrent au principe actif. Vous gardez ce qui donne de bons résultats et vous jetez le reste.

Supposons que vous vous inscriviez à un programme de coaching sportif pour 500 euros, et en parallèle, vous vous laissez convaincre par un programme d’équilibre alimentaire de 500 euros également. Au bout de 6 mois, votre balance vous affiche 15 kilos de moins, et votre bilan sanguin ne contient plus aucune ligne en gras ! Votre médecin vous demande de refaire les examens, tant il n’en croit pas ses yeux !

Qu’allez-vous garder de l’expérience ? Le regret de ne pas savoir quelle démarche précise a rendu la chose possible (donc le fait d’avoir perdu 500€ «quelque part»), ou le bien-être que vous ressentez et les perspectives d’avenir que cela vous ouvre ? Allez-vous vous demander qui remercier, ou vous autoriserez-vous à gratifier LES DEUX initiatives ?

Si vous voulez absolument rendre à César ce qui appartient à César, alors soyez-sûr que dans un cadre de Développement Personnel, César, c’est vous-même ! Quel que soit le programme ou son contenu, l’acteur principal c’est vous ! Si vous avez fait le choix de suivre deux processus de performance qui vont dans le même sens, et avez relevé les défis, alors c’est à vous qu’appartiennent tous les bravos ! Vous savez bien que les choix sont nombreux, surtout dans ce domaine. VOUS faites les choix gagnants, VOUS optez pour la bonne combinaison, VOUS adaptez les pratiques s’il y a interférence possible…

La confiance en soi, c’est ESSENTIEL, tant personnellement que professionnellement. Chaque outil et chaque technique sont acquis à vie, et donnent accès à un niveau supérieur. Est-ce si «tordu», surtout en cas d’hésitation, d’opter pour DEUX solutions ? Voire davantage…

Dans un cadre de Développement Personnel, la bonne pratique ne consiste pas à isoler les processus, mais au contraire, à mettre toutes les chances de votre côté : tout ce en quoi vous croyez, et qui de toute évidence est compatible avec votre potentiel, constitue VOTRE solution.

Tout a sa place dans l’aventure, y compris votre hésitation avant de vous inscrire, et votre façon de lire, de participer, d’échanger… Si vous comptez uniquement sur le contenu du programme, vous faites abstraction du composant le plus important du système : VOUS.

Votre vie serait bien monotone sans VOUS !

Je ferme la grille à 16h00. Si vous voulez nous rejoindre,

Inscrivez-vous !

A++

Stéphane SOLOMON

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