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Un exemple d’en-deçà

Suite à mon article d’hier, j’ai reçu ce courrier de Joëlle :

Cher Stéphane,

J’ai aimé votre première partie concernant la «mesurabilite», et encore plus la deuxième, car elle a eu l’effet d’une prise de conscience, que je vous expose ci-dessous :

Lorsque vous avez commencé à nous proposer votre sélection de vidéos, je n’ai pas accroché. Votre choix est sans doute intéressant pour beaucoup de gens, mais il ne me touche pas. Par exemple, le combat de Ken ROBINSON me paraît illusoire, même si son talent d’orateur est exceptionnel. Vous avez proposé d’acheter son livre, et ça ne m’a pas du tout attiré. Donc on pourrait penser que vous ne m’avez rien apporté, et même que j’ai perdu mon temps en regardant cette vidéo.

Par contre, je ne connaissais pas les conférences TED. L’ambiance qui régnait dans la salle tandis que Ken ROBINSON racontait son histoire, m’a incitée à chercher des vidéos sur mes sujets de prédilection. Depuis, je regarde au moins une conférence par jour (l’avantage avec TED, c’est la limite imposée de 18 minutes, donc on sait quand ça s’arrêtera). Ca fait presque 4 mois que je fais ça chaque jour, et je dois avouer que je ressens de profonds changement en moi, et comme vous le dites si bien : mon monde extérieur change aussi.

Ce que je trouve ingrat dans mon attitude, c’est que je me suis tellement approprié l’idée, que je ne me souvenais plus que c’est vous qui m’avez présenté les conférences TED. Vous m’avez apporté cet «en-deçà», j’en ai pris conscience hier, car votre vidéo est arrivée au moment où je terminais ma conférence du jour… J’ai donc décidé de participer au PWYW en payant le maximum proposé : 30 euros.

Merci pour tout,

Joëlle.

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