Technique : «Ce n’est pas possible !»
Aujourd’hui, je vais vous présenter une technique de Confiance.
S’agit-il de Confiance en soi ? D’une certaine façon OUI ! En pratique, il s’agit plutôt de la Confiance que vous pourriez accorder à d’autres personnes. Mais dans l’absolu, la Confiance intérieure et la Confiance extérieure mènent le même combat. Celui qui vous permet d’aller de l’avant, avec le sentiment profond que vous allez réussir. Attention ! Je n’ai pas dit «avec le sentiment que tout ira comme sur des roulettes». Vous pouvez réussir malgré les obstacles que vous rencontrerez et qui seront parfois difficiles à surmonter. Mais une fois que vous avez réussi, tout ça prend une moindre importance. Vous le savez : vous avez déjà réussi. Les difficultés font partie de l’Histoire.
Découvrons donc une technique nouvelle qui vous permettra de vivre de nouvelles histoires de réussite :
Ce n’est pas possible !
Vous savez à quel point les mots et leurs charges ont un impact sur votre vie. En tout cas je l’espère… Car si pour vous, «ne quittez pas…» et «restez en ligne…» ont la même valeur, je recommande vivement un redoublement : désinscrivez-vous (le lien se trouve dans le courrier que vous avez reçu) et réinscrivez-vous à cette newsletter en étant plus attentifs aux articles-clefs.
L’emprise des mots «ce n’est pas possible» est si puissante, qu’elle court-circuite le chemin qui mène vers le «possible» en quelques secondes. A moins d’avoir travaillé et retravaillé notre motivation et notre confiance intérieure, nous sommes formatés pour abandonner lorsque nous entendons ces mots : la formule est un déclencheur quasi-hypnotique ! Dès qu’une personne nous dit «ce n’est pas possible !», nous avons envie d’en savoir plus. Evidemment, le Développement Personnel recommande d’éviter cette curiosité malsaine, et d’écouter plutôt les gens qui disent que c’est possible !
Mais à moins d’apprécier la solitude permanente, vous n’allez pas vous fâcher avec tout le monde. Alors puisque nous en reconnaissons l’impact, serait-il possible de mettre cette formule à notre service ? La réponse est OUI. Je vais vous expliquer comment faire. Mais pour commencer, je vais vous demander de faire un effort d’imagination :
Imaginez qu’un jour, vous receviez de ma part un courrier truffé d’insultes. Je ne parle pas d’un truc sympa du style «avez-vous un gremlin dans la caboche ?». Je parle de quelque chose de bien trash qui ferait pâlir un hooligan. Vous recevez donc ce courrier terriblement injurieux avec mon adresse mail, mon entête, mon style habituel dans l’introduction, et un moment, hop ! Ca part en vrille, et vous en prenez plein la figure !
Quel serait votre réaction ? Je parie que pour beaucoup, ce sera la fin ! Ils cliqueront, furieux, sur le lien de désinscription pour en finir au plus vite ! Il est possible que je reçoive des insultes en retour, ce qui est de bonne guerre.
Et pourtant, parmi mes lecteurs, il y en a qui vont se dire :
– Non ! Ce n’est pas possible !
Je rappelle que les faits sont clairs et immuables : des insultes dures, terribles, insupportables… Et malgré tout, face à cette réalité, certains inconditionnels vous diront que ce n’est pas possible ! Pourquoi ? Parce qu’ils ont conscience de la Valeur de notre relation. Cette notion de «Valeur de la relation», c’est l’une des clefs du Bonheur !
Un scénario possible
Imaginez par exemple, que j’embauche un stagiaire qui s’occupe, entre-autres, de l’envoi de mes courriers. Son CDD se termine et il quitte la société. Quelques semaines plus tard, il a besoin d’un document pour le Pôle Emploi. Il a longtemps procrastiné sa demande, et au moment où il me la formule, il ne reste plus que 24 heures… Comble de malheur : je suis à l’étranger toute la semaine et il perd beaucoup d’avantages sociaux. Il va me considérer comme fautif, et pour se venger, il enverra un courrier insultant à tous mes lecteurs !
Est-ce possible ?
C’est une vraie question que je vous pose. J’irais même plus loin : POUR VOUS, est-ce plus probable que la première hypothèse (celle qui suppose que le courrier insultant vient de moi) ?
Je ne vous décris qu’un seul scénario, mais je pourrais vous en donner des dizaines d’autres, qui sont à mon sens, plus probables que la première hypothèse. Je ne me vois pas me lever un matin pour vous insulter, ça me paraît impossible ! Mais vous, où en êtes-vous ? Si c’est possible pour vous, surtout après ce que vous venez de lire, il est temps de mettre fin à notre relation ! La valeur que vous lui accordez n’augure rien de bon. Je ne pense pas que qu’en vous inscrivant vous ayez fait une erreur, mais je pense qu’en restant inscrit aussi longtemps avec ce «possible» en tête, vous faites une sacrée bourde !
Je vous le dis comme je le pense, et je ne vous fais pas insulte par ce franc-parler. Non seulement il y a davantage de probabilités que ce genre de courrier vienne «d’ailleurs», mais en plus de cela, je viens de clarifier notre relation : je lui donne davantage de valeur et c’est également ce que j’attends de vous. A partir de maintenant, si vous restez dans cette Newsletter et si vous recevez un courrier insultant, la première chose que vous devriez vous dire est :
– Ce n’est pas possible !
Puis m’en avertir aussitôt, pour que je puisse me défendre contre l’ennemi qui cherche à ternir notre relation.
En deçà de l’exemple
Pensez à tout ce que vous pourriez faire avec cette technique en l’étendant à l’ensemble de vos relations. Par exemple, si un ami vous annonce que votre femme ou votre mari vous trompe, allez-vous vous fier aux statistiques qui affirment que 55% des hommes et 32% des femmes sont infidèles, ou allez-vous vous fier à la valeur de votre relation pour balancer à votre ennemi du moment :
– Ce n’est pas possible !
Si vous pensez que c’est possible, voire probable, la valeur de votre relation de couple contient un paramètre «trompeur-trompé» qui risque de ternir l’ensemble de la relation. Il y a un paramétrage à revoir. En coaching ça s’appelle un recadrage, et dans notre cas (l’auto-coaching), un auto-recadrage.
Pensez-y, et étendez cette pratique à votre sphère personnelle et professionnelle. Quels avantages en tirerez-vous ? Seront-ils supérieurs aux inconvénients ? Je ne parle pas de faire confiance à tout le monde d’entrée de jeu. Je parle d’une réflexion profonde, personne après personne : puisque l’«impossible» est séduisant et fait partie de nos schèmes de pensées, quels sont les impossibles qui pourraient valoriser nos relations ?
Bonne réflexion, et bonne pratique,
A++
Stéphane SOLOMON
là, tu me sidères “c’est pas possible” d’avoir des idées pareilles :
vas prendre une douche, ou écouter les oiseaux de ton jardin (non ils dorment déjà), boire un petit coup à la santé de ceux qui t’aiment bien (il y en a sûrement), ou manger du chocolat (c’est bon pour l’humeur), ou Rire un bon coup de tout-de rien (cela crée de l’endorphine) enfin je ne sais pas moi… REVEILLE-TOI, c’est pas TOI
Par contre bravo pour réveiller le peuple des ignares qui s’ignorent
Tu vois je suis de très bonne humeur, tout me sourit aujourd’hui, et j’ai plein de jour comme cela, il suffit de leur lever le voile pessimiste
Bonne soirée et à ta santé. Lalou
Merci Lalou,
Toujours fidèle au poste !
Attends… Ca c’est juste le niveau 1 ! Il y a un niveau 2… ;-).
A++
Souvent, les proches qui nous disent “ce n’est pas possible” le disent parce qu’ils s’inquiètent pour nous, donc c’est de la bienveillance. Parfois, ils le disent aussi parce que ce n’est RÉELLEMENT pas possible POUR EUX. Ils ne pensent pas que nous n’est pas eux.
En effet,
Donc si nous reconnaissons leur bienveillance, nous pouvons leur renvoyer notre Bienveillance en retour, en leur montrant que c’est possible. Dans ce cas, il nous servent le complémentaire «je n’aurais jamais cru que tu y arriverais !». Mais c’est parce qu’ils ne savent pas s’exprimer… En langage positif, ça veut dire «Je suis tellement fier de toi !».
Merci pour cette inspiration qui se réfère au début de l’article (qui introduit la technique proposée). Que penses-tu de la technique elle-même qui consiste à valoriser la profondeur de tes relations grâce à des «impossibles» clairement définis ?
C’est de l’ordre du réflexe chez moi de penser “ce n’est pas possible”, je me dis toujours qu’il doit y avoir une (bonne) raison.
Exemple : “tu ne m’as pas appelé alors que tu avais promis de la faire”. Peut-être es-tu en panne de batterie, peut-être dans un endroit sans réseau, peut-être que la réunion dure plus que prévu, peut-être as-tu eu un accident etc. Il y a toujours 1001 bonnes raisons. Ca me fait penser à mes amis les toltèques : “tu ne feras pas de suppositions”.
Mais si tu ne m’as pas appelé parce que tu as négligé ton engagement, alors c’est que j’ai placé la relation trop haut.
Good point. I hadn’t thhuogt about it quite that way. 🙂
Hahaha, sviÄ‘a mi se deo sa ”neka devojka od 20 godina”… ta sam A, za papazjaniju, ovakva papazjanija je sasvim OK, ali kad naiÄ‘em na textove o Grandu i Download metala na istom blogu, prapadne mi nekako muka… Ali, kao Å¡to si i rekla, ukusi su razliÄiti… Bogu fala PoZz
Primero, ando en busca y captura de unos pantalones en verde ejejej, la última adquisición han sido rojos.Segundo, me encanta el clutch de rafia, hoy he visto varios bolsitos de ese material y no he cogido ninguno, pero volveré ajajajjajaj.Tercero, qué zapatos más divinos!!!!Guapaaaaaa. Un besito y buen martes.
Passionnant.
Bonjour Stéphane,
Si je recevais une telle bordée d’injures dans un courriel émanant de vous, je penserais, dans l’ordre :
1- Stéphane teste quelque chose avec son auditoire, une sorte de provocation ;
2- Un quelconque malveillant, voire une sombre ordure, lui a piraté sa messagerie ;
3- “Il est parti fou”, comme l’on dit dans notre Sud Ouest.
Cordialement.
B. Desvignes
Oui !!!
Donc dans les trois cas, ce n’est pas moi :
Dans le premier cas, ce serait une sorte de jeu de rôle, et la suite des événements montrera que ce n’était pas «vrai». Sauf, bien sûr, pour ceux qui seront partis entre le jeu et le résultat du jeu… Pour eux, je resterai un grand vilain ! Mais notre relation (sa valeur) vous permettra de rester confiant et d’attendre…
Dans le deuxième cas, ce n’est pas moi, c’est une autre personne qui cherche à me nuire. La valeur de notre relation vous permet de le penser
Dans le troisième cas, ce n’est pas moi, puisque le vrai Stéphane serait «parti» ! Là encore, c’est la valeur de notre relation qui déduirait que si ça m’arrive, il n’y a que la folie qui peut l’expliquer. Vous ne ME reconnaîtriez pas dans cette action.
Je pense que dans les trois cas, la profondeur de notre relation vous donnera envie d’en savoir plus. Ce que les lecteurs qui viennent d’entrer dans cette Newsletter ne feront pas, car la relation n’est pas assez solide.
Merci Bernard ! J’en veux d’autres des réponses comme ça !
Bonsoir Stéphane
Bravo pour cette technique.
Peut-on également considérer que la réciproque de la technique est vraie ?
Si je reçois l’objections “c’est pas possible” c’est que je n’ai pas assez travaillé la relation. Au lieu de répondre souvent en vain par des arguments techniques pour essayer de démontrer que c’est effectivement possible serait-il alors plus efficace de répondre au niveau de la relation ?
Bonsoir Christophe,
La relation que j’évoque est une relation FORTE. Elle est donc liée à des Valeurs morales, humaines, motrices… C’est une véritable force qui rend beaucoup de choses possibles, et bien-sûr, lorsque la nouvelle est négative, d’affirmer l’impossible !
Dans ce que je propose, je pars d’une mauvaise nouvelle, et LA RELATION (sa valeur) te permet d’affirmer que c’est impossible de la part de ton «relatif» (la personne avec laquelle tu as cette relation).
Dans ce que tu évoques, ton «relatif» te dit qu’une chose est impossible, et tu veux le convaincre que c’est possible. Tu vas alors employer une technique qui se sert d’une force exceptionnelle : la valeur de ta relation. C’est elle qui rendra la chose possible, si tu parviens à utiliser les bons mots.
C’est effectivement une très bonne technique, mais attention au revers, car si ton «relatif» ne te suit pas malgré la force que tu as tenté de déployer, tu auras l’impression (peut-être juste) que la relation n’est pas assez forte.
Exemple :
Tu proposes à un ami d’être ton associé dans une entreprise que tu es sur le point de créer. Il te répond que ce que ton entreprise n’est pas viable, et qu’il te faudra embaucher au moins 10 personnes pour commencer, et tu n’en as pas les moyens. Tu alors à la charge en lui expliquant que c’est justement la raison pour laquelle tu fais appel à lui, car l’alliance de deux amis vaut mieux que la collaboration de 10 inconnus.
C’est un excellent levier : tu peux insister sur le fait que c’est à lui que tu t’adresses en premier, parce que dans ta conception, personne d’autre n’est apparu. Mais veille à éviter la culpabilisation qui laisserait entendre que sans lui, ta vie est foutue ;-). Evite même de lui dire que sans lui tu vas laisser tomber (même si c’est vrai). En d’autres termes, puisque tu es dans le positif, reste positif ! Ne parle pas de ce qui pourrait rendre la chose négative.
Le revers : si malgré tout ce que tu afficheras concernant cette amitié qui peut se transformer en alliance sacrée, ton ami te dit qu’il préfère éviter d’entrer dans ton rêve et qu’il est temps de te réveiller, c’est la valeur de la relation qui risque d’en souffrir. Donc l’amitié…
Je pense que pour utiliser cette technique il faut une bonne préparation mentale :
– D’un côté tu dois trouver les mots valeureux pour être vrai et convainquant
– De l’autre, tu dois gérer tes attentes pour que cette démarche ne dépasse pas le seuil de vulnérabilité de la relation.
En pratique, tu pourrais avoir un «plan B», mais que ut préférerais éviter à maximum, tant que la chose te paraît possible. Une fois que tu es refoulé, tu peux te rabattre sur ton plan B, en réhaussant sa valeur. Par exemple, en te disant que c’est probablement mieux ainsi, même si tu ne vois pas encore en quoi ce serait mieux (la Foi dans l’inconnu). Ainsi ton amitié ne sera pas affectée : la discussion avec ton ami t’aura montré le chemin vers ce qu’il y a de mieux pour toi.
C’est aussi à ça ça que servent les amis ;-).
Si j’avais reçu un tel mail de votre part, j’aurais de suite pensé à un virus qui aurait piraté votre mailbox.
Quant à la technique du “c’est pas possible” j’imagine un scenario pour un de mes proches (ami ou famille) à qui j’aurais prêté une somme d’argent pour dépanner et qu’un ami vienne me dire qu’il a vu cette personne le lendemain sortant d’un restaurant très coté (et très cher) avec toute sa famille…
Contente de vous retrouver après presque 1 an d’absence
tout comme Lalou
ma première réflexion est d’imaginer que l’autre ne peut pas avoir fait ça
et effectivement il m’arrive de constater lorsque l’autre n’est pas quelqu’un avec qui j’ai une relation profonde ,que parfois c’est possible et que l’autre est réellement malveillant
Jamais lorsque la relation est profonde je n’ai constaté que j’avais tort de dédouaner l’autre aussi rapidement , et même si je n’ai pas toujours les raisons du comportement de la personne , ma foi en elle est plus forte et la relation reste ce qu’elle est
qui suis je pour juger si facilement mon prochain ?
Je te souhaite à toi et ta famille de très belles fêtes, milles merci pour tout ce que tu nous donne !
et à l’ensemble des lecteurs de ces billets si riches le meilleur pour leur vie et un grand merci pour ce que chacun m’a apporté dans la construction de ma vie de chaque jour
Paix et bonheur pour tous
Pascale
McShame failed to prpolrey vet Obama. The media failed to properly vet Obama. Congress failed to vet Obama. They all vetted the hell out of Palin. Shame on all of them!