Mon précédent message a fait réagir : plus de 50 commentaires sur le site et une vingtaine de réponses par courrier électronique. Je vous encourage à en lire quelques uns, car si vous avez visité le site juste après l’émission du message, vous n’avez peut-être vu que 2 ou 3 commentaires.
La peur de perdre TIME-COACH a donc provoqué un émoi significatif, car la plupart des autres articles ne provoquent pas autant de réactions (10 fois moins).
J’ai commencé par répondre à chaque personne qui m’a écrit, mais j’ai fini par arrêter, car il me faudrait plusieurs jours pour répondre personnellement à chacun. Mais je lis chaque commentaire attentivement, et s’il y a une question, j’y réponds.
J’aimerais recadrer l’un des commentaires qui laissait entendre que je souhaitais une réponse systématique à chaque envoi. Surtout pas ! Vous êtes des milliers à me lire, et ce serait ingérable. C’est le silence total (depuis des années) qui m’a amené à penser que l’adhésion devait prendre fin pour certaines personnes, car elle ne leur est plus d’aucune utilité.
Je le pense toujours, mais il y a moins de personnes concernées.
Je prendrai le temps d’écrire des réponses collectives, car certains témoignages sont de vrais diamants, qui donneront naissance à des articles. En communiquant, vous avez donc assuré la pérennité de TIME-COACH à plusieurs niveaux :
- Ma motivation
- Ma créativité
- La crédibilité de cette newsletter auprès des personnes impliquées (mon équipe)
MERCI ! MERCI infiniment !
Un ENORME MERCI à ceux qui savaient qu’ils étaient déjà qualifiés PREMIUM et qui se sont exprimés sans peur, me rappelant à quel point TIME-COCH leur est utile. A ces lecteurs, j’ai envie de répondre :
C’est moi qui vous remercie ! Grâce à vous je peux accomplir ma mission. C’est un plaisir d’écrire pour vous, de penser à vous, de me dépenser pour vous… A chaque fois que j’ai une idée d’article, c’est à vous que je pense en premier, car je sais qu’en m’adressant à vous j’adopterai le bon style d’écriture. J’imagine vos sourires, votre joie, vos interrogations, vos larmes parfois… J’écris pour vous plaire ! Et je sais que si un article ne vous plait pas, vous attendrez tout simplement le suivant, sans changer de sentiments à mon égard. Merci, Merci, Merci, Merci, Merci… C’est un privilège de partager votre univers !
—-
Un MERCI différent, mais tout aussi sincère, à ceux qui sont sortis de leur cachette pour me remercier, de peur de me voir abandonner la partie, exprimant les raisons pour lesquelles ils me lisaient en silence, et décidant d’adopter une attitude plus active dorénavant. Une attitude qui dit « Je n’ai plus peur du loup ». A ces lecteurs, j’ai envie de répondre :
« You’re welcome »… Vous êtes les bienvenus ! Je ne savais pas combien vous étiez, je ne savais pas si vous vouliez venir, je ne savais pas si ce message allait vous toucher, mais je savais que j’avais de la place pour vous accueillir. La maison est grande, et elle s’agrandit. Je suis désolé d’avoir utilisé la peur ou « le sentiment de manque » pour vous aider à vous exprimer. J’espère que mes prochains articles vous aideront à prêter une attention particulière aux émotions et aux valeurs qui vous poussent à l’action, et que vous donnerez une bonne place à la joie, la confiance, l’enthousiasme, la solidarité, l’envie de partager ou de contribuer. Ce sont des vecteurs de l’action qui vous assurent une bonne place dans la réussite de vos projets.
—-
Un MERCI timide, à la fois douloureux et tendre, à ceux qui m’ont juste écrit « Je voudrais continuer à vous lire, merci de tenir compte de ma réinscription » ou encore « Je vous confirme par la présente, que vous êtes utile, merci de poursuivre vos envois » ou encore « Merci de continuer à m’écrire gratuitement et sans engagement ». A ces lecteurs, j’ai envie de répondre :
De rien…
Tout un monde, pour des mots
Vous connaissez certainement l’expression « on ne va pas en faire tout un monde ! », qui est surtout utilisée dans des situations négatives (lorsqu’une personne estime qu’on ne l’a pas considérée, en particulier à cause de mots blessants ou perçus comme tels).
Comme dans chacun de mes messages, j’aimerais vous apporter des éléments de réflexion concernant vos projets de vie, et la COMMUNICATION qui leur permet d’exister et de se distinguer :
Lorsque vous dites « merci » à quelqu’un :
- Combien de fois avez-vous entendu en retour : « C’est moi qui vous remercie d’avoir pensé à moi » ou « Merci à vous, j’ai aimé travailler à vos côtés » ou encore « Tout le plaisir état pour moi » ?
- Combien de fois avez-vous entendu : « Vous êtes les bienvenus », « Si je peux faire quelque chose de plus, dites-le moi », « c’est normal », etc. ?
- Combien de fois avez-vous entendu : « c’est rien » ou « de rien » ou « il n’y a pas de quoi »…
Vous pourriez me répondre que c’est du pareil au même, et que vous appréciez autant « il n’y a pas de quoi » que « tout le plaisir était pour moi ».
« De rien », c’est mieux que rien… N’est-ce pas ?
Mais je vais vous dire ce que j’en pense vraiment : tant que vous croirez qu’il est préférable d’obtenir ce « mieux que rien » plutôt que « rien du tout », vous obtiendrez des réponses conformes à vos croyances. Il y aura des exceptions, mais elles seront assez rares et vous les percevrez comme des miracles extraordinaires, dans un monde qui ne fait pas de cadeaux !
Si vous croyez qu’il y a une différence entre « de rien » et « ce fut un privilège de vous servir », et que vous préférez la deuxième formule, il y a des chances que vous entendiez plus souvent la formule de votre CHOIX, dans un monde extraordinaire, empli de miracles ordinaires.
A++
Stéphane SOLOMON
Je ne pouvais lire votre nouvelle lettre sans réagir, à nouveau. Il ne faut pas croire que les personnes qui ne réagissent pas, ne lisent pas.
J’ai toujours lu avec attention vos messages depuis deux ans et les ai mis en archive pour pouvoir les relire le moment voulu. Ils recellent plein de trésors, je l’avoue, mais l’activité humaine étant ce qu’elle est, le choix de mes priorités ne m’a pas apporté, autant que je le désirerai peut-être, de consacrer le temps nécessaire à la relecture de vos lettres. J’ai et je suis toujours à la recherche de pouvoir prioriser à bon escient les activités à réaliser dans la journée. Et j’ai souvent été frappé que ce que j’avais prévu avait énormément de mal à se réaliser mais que d’autres sujets non connus à l’heure des choix sont venus s’incruster et venus bouger la ligne de mes priorités. Et d’ailleurs j’avais dit à mes supérieurs que je n’assisterai plus à des réunions auxquelles que j’avais rien à apporter, je ne voulais plus faire le nombre. La prise d’information c’est bien, mais l’action est encore mieux.
Aujourd’hui et depuis un mois, je suis en “grandes vacances”, vu que mon entreprise à créé un CET: Compte Epargne Temps qui ne permet d’avoir deux ans de vacances avant de prendre ma retraite officielle. Mais pour cette “retraite” qui est à mon sens un terme assez péjoratif, je préfère parler de période de non activité professionnelle (officielle…), plein d’autres activités qu’elles soient lucratives ou pas sont réalisables aisément à mon sens. Il suffit de vouloir, donc de construire, pour s’apercevoir que le chemin avance vers des objectifs que l’on se fixent consciemment ou inconsciemment.
Voilà pour ma réaction d’aujourd’hui. D’ailleurs je vous ouvre là tout un terrain propice de réflexion et d’action pour la partie de vos membres qui vont être de plus en plus nombreux dans mon cas, donc un champs d’analyse très intéressant sur les orientations de personnes sans activité professionnelle, mais en étant rémunérés par ailleurs.
Votre méthode et démarche est intéressante et je la compare au choix d’investissement de la restauration: voulez vous acquérir un établissement de grande classe, ou un établissement ou vous vendez des big Mac ? Je pense que le plus rentable est la deuxième solution. Vous êtes dans le deuxième cas pour moi et vous arrivez à accueillir le maximum de personnes.
En vous remerciant pour ces lettres qui m’ont toujours intéressés et au plaisir de vous lire.
Merci Jean-Jacques,
J’ai bien compris l’image concernant le Big Mac, même si la comparaison peut faire sourire…
Vous savez quelle était la vocation de Ray CROC (le fondateur de la chaine Mac Donald) ?
Il voulait permettre à toutes les familles, même les plus modestes, à aller au restaurant EN FAMILLE.
On peut contester beaucoup de choses concernant cette chaîne, mais il a réussi son pari. Et quand on sait qu’il s’est fixé cet objectifs à 59 ans, et qu’il s’est endetté personnellement pour créer les premiers restaurants, ça en fait un modèle d’excellence.
Alors je suis d’accord avec vous. Ce que je chercher, avant tout, c’est être ACCESSIBLE. Je lis beaucoup de livre relativement compliqués sur le coaching, la psycho et le comportement humain. Je travaille également dans les nouvelles technologies et ce qu’elles peuvent apporter (ou enlever) à l’esprit. Il est difficile aujourd’hui de trouver des auteurs qui simplifient l’information pour la rendre utilisable (surtout en français). C’est donc mon travail (dans TIME-COACH) et en conférence grand-public. Je veux être à portée… Comme un Mac Do.
Je sais que j’ai beaucoup plus de lecteurs que de personnes qui s’expriment (heureusement). Mais justement le but de cette série de messages est d’expliquer que c’est en communiquant autour de ses valeurs qu’on peut trouver du soutien et révéler des vérités. Beaucoup de lecteurs croient que je fais ça parce que je m’ennuie ou parce que je ne sais pas faire autre chose ou encore, parce que c’est le seul moyen que j’ai trouvé pour gagner de l’argent.
J’ai donc un scoop : à l’image de la plupart des personnes qui choisissent leur métier, ce qui me motive, c’est le sentiment d’être utile. Et comme vous avez pu le voir, en communiquant à propos de mes valeurs, j’ai pu entrer en contact avec de grands silencieux.
Pour ce qui est des objectifs. Il faut savoir que vous y obéissez toujours ! Soit vous obéissez aux vôtre, soit à ceux des autres. Mais quoi que vous fassiez, c’est pour atteindre un objectif. Si vous êtes surpris par les choses qui viennent s’incruster dans votre temps, c’est qu’il s’agit d’objectifs d’autres personnes. Ce n’est pas forcément gênant. Ca fait du bien d’être utile… Mais je vous encourage à mieux fixer vos objectifs pour mieux les prioriser
Il y a des techniques pour ça. Comme il y a des techniques de calcul mental ou de mémorisation. C’est en investissant en vous, que vous développerez votre potentiel.
A+
Stéphane SOLOMON
En début de lecture de votre « j’arrête », je me suis dit « dommage de ne plus pouvoir lire ces messages, de ne plus avoir ces conseils que je peux suivre ou pas ». En y repensant, je me suis même surpris à percevoir cette boule qui étreint la poitrine lorsqu’on apprend la disparition d’un être cher et de pousser un “ouf” de soulagement en lisant le message. Je vous ai cité pour motiver mon groupe, j’ai pris vos explications comme exemples, dernièrement sur le « sentiment d’utilité ». Anonyme et silencieux la plupart du temps, sachez que vous m’auriez manqué. Je lis vos « billets » toujours avec plaisir, souvent avec des interrogations sur mon comportement que vous pointez du doigt sans me connaître. Finalement vous avez pris une place dans ma vie. Gardez ce sentiment d’utilité pour l’anonyme et le silencieux qui vous remercie d’avoir su partager son univers.
Cordialement.
Philippe
Merci Philippe,
Il faut dire que lorsque j’ai commencé à lire tous ces mots gentils que me distribuaient mes lecteurs, j’ai cru que j’étais mort !
C’est fou ce que la «peur de perdre» peut déployer comme énergie.
Donc la vraie question est : puisque cette énergie est là, est-ce le seul moyen ou pourrions nous passer à l’action sans y être contraints.
J’ai la réponse. Mais je me sentirai vraiment utile lorsque chacun aura la sienne.
A+
Un coup de blues ?
Un peu de déprime ?
Un léger “Ras le bol” ?
Sentiment d’inéficacité ?
Peur de ne pas pouvoir y arriver ?
Toutes ces craintes existancielles que peuvent ressentir chacun d’entre nous s’effacent très vite ou, tout du moins, trouvent les ouvertures attendues grace aux messages de TIME COACH que je lis régulièrement et dont je garde copie d’un grand nombre pour me ressourcer et, à chaque fois, repartir du bon pied, laissant la grisaille derrière moi et rempli d’une nouvelle énergie positive avec le tonus retrouvé.
Des recettes simples permettant tout simplement de se repositionner correctement et d’y voir plus clair !
Les difficultés de la vie ne s’effaceront pas mais les solutions existent pour les aborder sereinement. TIME COACH y veille. Merci.
Pourquoi eut-il été dommage que les messages de Stéphane s’arrêtassent ? (désolé pour l’esthétique, je crois bien qu’ici l’imparfait du subjonctif s’impose). Bien sûr, comme les deux précédentes réactions le soulignent, parce que ses messages recellent des trésors et que moi aussi, comme Jean-Jacques, je les range depuis longtemps soigneusement dans ma boîte mail professionnelle (dossier marqué PERSONNEL) pour pouvoir mieux les parcourir à tête reposée. (Ca y est, j’ai gagné ma “classe PREMIUM !”).
Mais surtout, comme je l’ai déjà écrit précédemment, parce ses messages draînent aussi ceux d’un public de qualité. Et là je m’inscrit en faux sur la conclusion de Jean-Jacques lorsqu’il écrit “Vous êtes dans le deuxième cas (le fast-food) et vous arrivez à accueillir le maximum de personnes”.
Au contraire, Stéphane entretient “un établissement de grande classe” où l’on croise un public de grande classe. Tant mieux si, en plus d’être de qualité, ce public est de plus en plus nombreux.
Stéphane, vous vous êtes piégé vous-même: la “famille” est trop nombreuse pour que vous ayiez le droit (moral) de la laisser tomber !
Bonjour Philippe,
La Qualité, c’est important. J’écris au moins 7 pages à chaque fois que je me penche sur un article, et je passe ensuite par le douloureux travail de la troncature et du montage, afin de vous livrer les 2 ou 3 pages lisibles.
Je crois que c’est ce que Jean-Jacques a voulu exprimer : je suis lisible… Accessible… Là où d’autres s’évertuent à faire des phrases de 3 lignes, je fais 3 phrases dans une ligne.
Quant à mes lecteurs… Si je devais en juger par la consommation des programmes payants, ce n’est pas si luxueux que ça. Vous le savez parce que vous avez adhéré à des programmes payants :c’est très important de s’occuper de soi, et ça a de la valeur. La gratuité n’est pas une bonne chose pour le Développement Personnel. Et aussi paradoxale que puisse paraître ma démarche (gratuite), le but est d’aider les lecteurs à réserver un budget temps et argent pour le Développement Personnel.
Mais la notion de coût n’est pas uniquement liée à l’argent. Si certaines personnes s’expriment facilement, j’imagine que m’écrire un mot agréable et rassurant a été très «coûteux» pour certains lecteurs. C’est donc un premier pas : ils ont payé de leur personne.
A+
Stéphane
bien dit, à votre réponse MERCI
je vous reconnais bien là
un peu sarcastique et tellement humain
et voici mon merci du soir
bonsoir, je ne “sors pas de ma cachette” et “je n’ai pas peur du loup” ; je dispose de moins de 600euros par mois pour vivre matériellement et progresser personnellement..ce n’est pas une sinécure. Je me “contente” jusqu’alors, de lire vos articles avec un plaisir certain, de ne pas réagir à vos propositions commerciales, de souhaiter subconsciemment que celà continue… A vous de juger et d’opter pour ce qui vous semblera bon et juste. Merci merci merci (je crois comprendre ce que les remerciements peuvent vous apporter..recevez les miens, sincères, pour vos publications intelligentes et généreuses.). Bonne soirée.
Nous avons communiqué au Printemps dernier (par mail). Donc vous ne sortez pas de votre cachette, et vous étiez déjà PREMIUM. Le fait que vous ne soyez pas d’accord avec moi ou que vos messages soient «contrariants» ne m’est pas si désagréable. Vous avez le droit d’avoir vos valeurs et vos croyances.
La critique est préférable à l’indifférence.
A+ Laurence,
Stéphane
Stéphane, merci pour vos messages bien souvent pertinents et qui m’accompagnent sur le chemin de ma vie vers la liberté…
Sans vos “panneaux indicateurs” qui incitent à réfléchir avant d’agir, je ferais aussi, mais surement autrement.
Cordialement
Francis
Bonjour Francis,
Je suis sûr que vous pourrez vous en sortir sans TIME-COACH, comme je suis sûr que TIME-COACH pourrait s’en sortir sans vous, comme je suis sûr que sans mon dévouement à TIME-COACH je ferai autre chose de mes aurores.
Mais ça a l’air de bien marcher AVEC. Alors faisons avec…
A+, et merci pour cette intervention.
Stéphane
Bonsoir,
à mon tour de “sortir” du bois…mais comme les lecteurs précédents, pas par la peur du “loup”… simplement pour dire, que pour moi aussi, comme pour ceux qui ont également écrit, je lis toujours avec plaisir vos messages, que je stocke aussi, pour pouvoir y revenir… Et manquant souvent de temps, il m’arrive de “stocker” ainsi (moi aussi dans mon fichier perso !), 3 ou 4 messages avant de pouvoir les lire… Et du coup, j’avais ainsi stocké sans le lire, le message “j’arrête”… Et par contre, j’ai plus été incité à ouvrir, sans avoir lu les 2 précédents, celui intitulé “merci” ! Bizarre, non ? Du coup, j’ai ainsi “découvert” la teneur du message “j’arrête”, que j’ai été lire… Comme quoi, “merci” relève, pour moi, d’une force de communication importante ! La preuve ? J’ai pris le temps de cliquer et de lire… Alors à mon tour, de vous dire “merci”… Je me joins à l’ensemble des lecteurs qui vous ont remercié avant moi : je suis parfaitement en accord avec leur écrit. J’espère donc pouvoir bénéficier encore longtemps de vos messages… malgré mon silence…. Juste une dernière réflexion à propos du silence….. Lors d’un séminaire professionnel, un moine appartenant à une abbaye qui avait une activité d’entreprise est venu nous expliquer au cours d’une conférence qu’avant chaque réunion de travail et avant de sortir de la réunion, ils s’obligeaient à respecter 3 minutes de silence. L’objectif ? Se concentrer sur ce qu’ils avaient à se dire …. puis sur ce qu’ils s’étaient dis et échangés….et “s’enrichir” ainsi des échanges qui s’étaient produits au cours de la réunion, partant du principe que l’homme est riche de sa communication, et des échanges qu’il peut avoir avec ses semblables…. J’ai été très touchée par cette approche… Comme quoi, silence ne signifie pas uniquement “indifférence”….Alors encore une fois : Merci !
Bonjour Sophie,
Je crois que nous ne parlons pas du même silence. Celui qui mène vers la contemplation intérieure ou vers la méditation dans le but de contribuer au monde est un très beau silence. C’est une technique de communication. Ce silence là est aussi important que les silences qu’on insère dans la musique.
Le but, dans votre conférence, était bien de communiquer après.
Si vous trouvez qu’un message sur 50 mérite que vous sortiez du bois, c’est largement suffisant. Nous aurions déjà communiqué 3 fois.
Merci d’être sortie du bois par la case “merci”.
A+
Stéphane
Bonsoir,
Apres votre message d’il y a quelque temps sur tous les avantages d’une newsletter, j’avais du mal a croire que celle-ci puisse reellement s’arreter…
En tout cas, vos derniers messages m’ont fait reflechir a mon attitude vis-a-vis de contenus gratuits sur internet. En effet il y a un certain nombre de blogs, forums ou autres sites que je parcours regulierement avec un grand interet, mais sans jamais y laisser aucun signe de ma visite. Je prends de ce pas mon clavier pour distribuer un certain nombre de “merci”. Le premier sera pour vous : merci pour ces messages gratuits ( bien que pas completement desinteresses ) qui me font toujours reflechir… Et ne perdez pas espoir de me faire “craquer” pour un programme payant un de ces jours 🙂
David
PS je ne meprise pas non plus l’orthographe mais mon clavier ne dispose pas d’accents !
Objectivement TIME COACH ne m’a pas servi à grand-chose: je procrastine toujours autant. Mais quel plaisir je prend à lire vos messages! J’en ai parfois un peu honte de n’avoir pas encore pris de service payant; je me jure de le faire, mais remets à plus tard! Promis ça viendra! La mémoire sans doute…
Mais je ne voulais pas attendre pour réagir à votre MERCI: c’est un mot tellement utile, qui manque trop souvent. Un exemple: pourquoi l’administration fiscale ne nous dit-elle jamais “merci” quand nous payons nos impôts? C’est certes une obligation, mais payer son pain en est une aussi, et cela n’empêche pas la boulangère de dire merci en recevant le prix de la baguette qu’elle me vend! Je suis convaincu que cela nous aiderait à nous sentir un peu plus citoyen. Rajouter un mot de remerciement sur nos feuilles d’impôts ne couterait rien, mais rapporterait même sans doute un peu: et réaliser un petit rapport avec un investissement nul donne tout de même un excellent coefficient de rentabilité.
A très bientôt
Le message qui me touche fort dans votre mail est celui ci.
“J’espère que mes prochains articles vous aideront à prêter une attention particulière aux émotions et aux valeurs qui vous poussent à l’action, et que vous donnerez une bonne place à la joie, la confiance, l’enthousiasme, la solidarité, l’envie de partager ou de contribuer. Ce sont des vecteurs de l’action qui vous assurent une bonne place dans la réussite de vos projets”. C’est tellement juste ce que vous pointez là, tellement à la base de ce qui fait qu’on est en vie, envie !
Merci
W.
Bonjour Stephane,
Je me rends compte que je n’ai pas su jusque là vous montrer ma reconnaissance et tout simplement vous remercier, je prends pourtant grand intérêt et plaisir de tout ce que vous me donnez… Je garde vos mails de côté pour les lire à un moment tranquille puis je les conserve pour pouvoir y revenir plus tard. Je reçois vos mails comme un cadeau, une douceur mais aussi comme un petit moment à moi, pour mon bien-être, un petit courant d’air frais intelligent.
Je parcours souvent des blogs de développement personnel afin d’y chercher des réflexions et conseils qui pourraient m’aider et je dois dire que c’est très exceptionnel que j’y trouve des choses intéressantes. Ce sont souvent des redites de principes de base qu’on peut lire partout ailleurs, c’est sans intérêt. Peut-être réservent-ils le meilleur dans leurs “recettes” payantes mais j’ai du mal à le croire.
Vos programmes (pensée positive, anecdotes-coach…) et vos mails, eux, sont intelligents, pratiques, illustrés et plein d’humanité et de generosité, ils m’ont beaucoup apporté et j’attends avec impatience vos prochaines créations.
Aujourd’hui, je me sens ridicule de ne vous avoir jamais dit que j’appréciais beaucoup vos lettres… C’est comme rattraper quelqu’un qui a été là près de soi pendant longtemps et lui dire son importance au moment où il part. Autant vous dire que je n’imagine pas ne plus recevoir vos mails.
Merci vraiment beaucoup pour la qualité et même la quantité de ce que vous m’avez offert.
Caroline