Le PWYW est une expérience.
Je ne sais pas si on peut attribuer le mot «échec» à une expérience… Sûrement… On parle bien d’expériences ratées ou de mauvaises expériences. Mais je suis allé plus loin dans ce genre de réflexions. Je n’ai certainement pas atteint le modèle de pensée de Thomas EDISON, mais j’aime sa citation :
Avant d’inventer la lampe électrique, je n’ai pas échoué 10.000 fois. J’ai trouvé 10.000 façons de ne pas inventer une lampe électrique.
Si vous ancrez cette citation dans votre esprit, et si elle provoque une vive émotion à chaque fois que vous la prononcez, ce sera votre meilleur outil d’auto-coaching. J’ai le souffle coupé rien que de l’écrire. J’en reste béat. Je ne ferai pas l’insulte à Thomas EDISON de dire « Bravo ! C’est comme ça que je pense aussi… », d’une part parce que j’ai mis des années à comprendre la véritable dimension de cette pensée, et d’autre part, parce que c’est en lisant ses mots que j’ai commencé à graver le premier sillon de ce qui allait devenir un paradigme sublime.
Je pourrais vous dire que ce paradigme est une « technique anti-procrastination », mais ce serait très réducteur. Il faut le vivre pour le comprendre… Autorisez-vous à le vivre pour le comprendre !
J’ai reçu quelques messages de personnes déçues par mon aventure, car elles étaient sur le point d’appliquer le PWYW. Elles me remercient de les avoir prévenues à temps…
Je n’ai que deux mots à vous dire : FAITES-LE !
Le fait que ça ne fonctionne pas avec moi n’a rien à voir avec vous. Autorisez-vous à vivre votre propre expérience avec vos propres produits et vos propres Energies. On ne vend pas du Développement Personnel comme on vend des voyages, des bijoux fantaisie, ou une fin de série de produits technologiques. Si vous étiez dans la dynamique de l’action, suivez vos Energies ! Faites-le ! Ne vous mettez pas en danger, ne placez pas toute vos billes dans cette expérience, mais faites-le !
Il y a une autre raison pour laquelle je vous encourage à passer à l’action :
La Sérendipité
En multipliant ses expériences pour faire briller une lampe électrique, Thomas Edison a découvert de multiples phénomènes étranges qu’il a consignés dans ses notes. Une fois l’objectif atteint, il est retourné vers ces «mystères» pour les étudier. Il a déposé plus de 400 brevets issus de ces «expériences ratées». Certaines de ces inventions sont encore dans les composants de l’écran que vous êtes en train de regarder (même si vous avez un écran plat dernière-génération).
La découverte fortuite est un phénomène connu de tous les chercheurs. On l’appelle «Sérendipité». L’aspirine a été découverte par Sérendipité et c’est aussi le cas de bien d’autres produits. Il y en a un très populaire dont je ne peux écrire le nom, de peur que ce message arrive dans vos courriers indésirables. Tout ce que je peux vous dire, c’est que c’est un petit produit bleu qui devait soigner l’hypertension artérielle pulmonaire. Pendant les études cliniques, les patients ont remarqué que certaines choses se détendaient et d’autres se tendaient… C’est une des lois de la nature : rien ne se perd, tout se transforme.
La Sérendipité est reconnue et mise à profit dans tous les milieux scientifiques. Mais elle reste soumise à la perception. La souhaiter, c’est y croire… La Sérendipité est l’une des rares choses qui permet à des gens qui ne croient que ce qu’ils voient, de voir ce qu’ils croient. Ce qui signifie qu’une personne ouverte à la Sérendipité, assiste à davantage de phénomènes remarquables à consigner et à étudier, qu’une personne qui est obsédée par son seul objectif.
La technique EDISON appliquée…
A ce jour, je peux tirer cette conclusion :
En pratiquant le PWYW, j’ai découvert un moyen qui NE PERMET PAS d’aider les lecteurs inactifs (financièrement) à investir dans leur Développement Personnel.
Je pourrais m’arrêter à cette simple observation, qui est déjà digne d’intérêt : sans cette expérience, je me serais dit chaque matin « Tu n’as pas encore essayé ça… », et je me serais répondu inlassablement « Je commence demain ! ».
Mais je suis en quête de Sérendipité… Elle fait partie de mes croyances et de mes motivations. Lorsque j’ai un projet, je suis ébloui d’avance par toutes les découvertes inattendues qui m’attendent. De ce fait, pendant cette expérience, j’ai obtenu tellement de réponses à des objectifs plus importants que celui que j’ai fixé, que je me sens débordé… Dépassé par les évènements ! Ca vaut le coup d’être vécu !
Le PWYW est désormais une lampe que je peux éteindre, pour mieux observer les étoiles.
La fin de l’expérience
L’opération que j’ai lancée concernant le PWYW devait s’arrêter lundi prochain à 23h59. Je maintiens cette date butoir. Si vous voulez y participer in-extrémis, il vous reste 3 jours. Mardi matin, je vous donnerai les nouveaux résultats, ainsi que quelques révélations.
Rappels importants, et recadrages :
Il y a visiblement, plus de 3.500 personnes concernées par le PWYW.
Mon objectif formulé est de vous AIDER, vous INCITER, vous ENCOURAGER à investir dans votre Développement Personnel. J’ai la certitude (parce qu’il est impossible de parler de preuves), que même si les choses «tombent du ciel» et semblent intarissables, le fait de participer au mouvement, de les demander, de leur donner de la valeur, de les célébrer, de les gratifier de différentes façons… permet de faire en sorte que les choses qui nous profitent tombent plus facilement et plus abondamment au seuil de notre porte.
Donnez un SENS aux choses qui vous réussissent !
Si vous faites partie des 1.107 personnes qui ont déjà participé à un programme payant, cette action ne vous concerne pas directement (mon objectif n’est pas de vous faire payer encore). Vous recevez cette série d’articles non pas pour vous inciter à payer, mais parce que vous le méritez ! Il aurait été ingrat de ma part, de vous priver de cette expérience, que vous pouvez observer, commenter, et surtout modéliser.
Je vous renouvelle toute ma gratitude pour ce que vous avez apporté à ce système, en me donnant les moyens financiers d’avancer pendant 4 ans. Votre action a permis à d’autres lecteurs de bénéficier gratuitement d’une profusion d’articles. Je suis sûr que c’est, en partie, ce que vous vouliez, car c’est cette gratuité qui vous a permis d’obtenir vos premiers résultats, avant de vous engager.
En payant, vous avez amplifié la force de la gratuité. Il est temps de passer le relai à ceux qui veulent suivre votre exemple.
Quelle que soit la façon dont on l’exprime, on y revient…
Je m’adresse à nouveau aux inconditionnels de la gratuité :
Si vous VOULEZ permettre à la gratuité d’exister encore, si vous VOULEZ que les nouveaux arrivants puissent en profiter comme vous, si vous VOULEZ gratifier ceux qui vous ont précédés en perpétuant leurs actes, alors :
PAYEZ CE QUE VOUS VOULEZ !
Je vous souhaite un très bon week-end,
Stéphane SOLOMON
“La Sérendipité est l’une des rares choses qui permet à des gens qui ne croient que ce qu’ils voient, de voir ce qu’ils croient. Ce qui signifie qu’une personne ouverte à la Sérendipité, assiste à davantage de phénomènes remarquables à consigner et à étudier, qu’une personne qui est obsédée par son seul objectif.”
Certes, celà est très inspirant. Et si l’on élargi à la présence à soi- telle que la pratique méditative le propose-, les découvertes fortuites sont au delà du “consigner” et de “l’ étudier” pour devenir des expériences auprès desquelles être en intimité s’impose naturellement. Phénomène éminemment remarquable
gilles
C’est exact Gilles,
Mais je souhaite être accessible à un maximum de personnes. J’aimerais parler de la face spirituelle de la Sérendipité, mais comment le pourrais-je sans laisser certains lecteurs sur le bord de la route ?
Accepter la Sérendipité comme un phénomène courant, attendu, à la fois prévu et imprévisible… est déjà un effort pour beaucoup de gens. Le fait d’écrire la première lettre en majuscule systématiquement (tout un symbole) est un “risque” que j’ai longuement calculé avant de le prendre.
Vous pouvez, grâce à vos attentes spirituelles, trouver dans mes textes un niveau de lecture plus élevé. Beaucoup y arrivent… mais je ne veux pas obliger tout le monde à croire ce que je crois. Ma mission est d’emmener mes lecteurs au seuil de LEUR Conscience.
Ensuite, il appartient à chacun d’aller vers CE qu’il souhaite.
Et de valider CE qui lui réussit.
Dans le programme OBJECTIFS-COACH (niveau 2), j’explique la Sérendipité plus en détail, et je me penche volontiers sur son aspect spirituel. La raison est simple : les participants de ce programme payent pour ça !
Les lecteurs gratuits de TIME-COACH ne payent pas pour ça, ni pour autre chose. Ils n’acceptent que ce qui leur convient. Je me fais même agresser lorsque je parle d’Intuition, d’Inconscient ou lorsque j’avance l’idée que l’Etre Humain est bien plus qu’un mammifère… On me qualifie de mystique ! De ce fait l’écriture d’articles payants est plus facile, plus rapide, plus agréable que l’écriture d’articles gratuits. Je peux écrire en toute liberté, car le public est OUVERT.
C’est l’essentiel de mon Cinquième d’Excellence.
A+
Stéphane
J’admire votre pugnacité. Votre insistance invite à observer ce phénomène “argent” d’une autre position, que j’ai du mal à définir mais que je qualifierai de plus “élevée”.
En tout cas, j’en profite au passage pour vous remercier, car je peux évaluer chaque jour le bénéfice que vous m’avez apporté (même si je n’y pense qu’au mieux tous les quatre mois, dont aujourd’hui).
Le 17 juin, cela fera deux ans que j’ai arrêté de fumer. Un tout petit peu grâce à vous 🙂
Merci au déclencheur.
Sincères salutations
Bonjour Stephane,
D’abord merci car tes mails qui sont souvent une source d’inspiration comme celui là. Sérendipity illustrée avec Edison c’est génial, Bravo.
Si tu me permet une remarque que j’espère tu prendra comme un cadeau constructif (c’est mon intention de t’aider car tu m’as déjà tellement aider et je penses que tu peux aider tant de gens )
Il y a quelque année j’étais un jeune manageur et j’ai appris une règles de management essentielle : “jamais de recadrage individuel en collectif”
J’avais fait une réunion car 8 de mes collaborateurs sur 11 avaient explosé leurs forfaits téléphoniques et je comptais bien leurs mettre les points sur les i et la barre sur les t.
Le résultat fut catastrophique, ceux qui avaient débordé par manque d’implication ne se sont pas senti concerné directement. Ils savaient que je parlé d’eux mais “peu importe” c’est ce qu’ils avaient déja appliqué sur les consignes du forfait donc ils sont resté dans leurs logiques. ceux qui avaient fait attention ont très mal vécu le recadrage collectif,justement parce qu’eux ils se sont senti concernaient même si j’ai bien précisais que je ne m’adressé pas à eux déjà fait preuve de discipline et de respect. Mais ils ont retenu qu’il fallait faire encore un effort et “à force ça use”.
J’ai pu constaté par la suite que cette règle s’applique quasiment tout le temps que se soit en tant que manageur, formateur de manageur, coach de dirigeant ou d’entraineur: “pas de recadrage individuel en collectif”.
Pourquoi je te parle de ça Stephane ? Je te lis assez régulièrement depuis 2010 (je crois) où j’ai participé à mon premier programme avec annabelle (timecoach) puis un autre avec toi. Et comme je te l’ai dis tu est une source d’inspiration dans la plupart de tes messages aujourd’hui. Mais je retiens aussi une présence lourde de recadrage avec des râleurs, des gens qui ne jouent pas le jeu ou qui se plaigne que ce soit payant etc… Ce n’est pas si fréquent mais suffisant pour peser. Plusieurs de mes amis à qui j’ai transmis et fait adhéré à tes programmes me font la remarque également.
Tes messages sont riches et donc un peu long , c’est ton style mais quand c’est du ” recadrage” et que ça ne me concerne pas, j’ai tendance à zapper. Si je le fait souvent ça devient une habitude.
Permet moi un recadrage avec j’espère le plus d’élégance possible, que je te dis avec le sourire et beaucoup d’attention : “arrête de te mettre une balle dans le pied tout seul”, bichonne des 20/80, tes clients qui t’apprécie et qui te paye et arrête de nous faire par de tes états d’ames sur les 80/20, les “nanards” qui te prennent la tête.
Bien à toi Stephane.
Bonjour Nicolas,
Merci pour ce commentaire, tout ce qu’il apporte et surtout la façon dont tu l’exprimes.
Il n’y a rien de pire qu’un recadrage collectif. Surtout lorsqu’il n’est pas demandé…
Mais, me diras-tu, qui peut demander un recadrage à part un masochiste qui aime se faire fouetter ?
ET c’est là que je vois que j’ai commis une erreur concernant ce mot, car je l’utilise souvent mais je ne l’ai défini que très rarement. Je pense que le mot paradigme est bien compris par la plupart de mes lecteurs. Le concept peut rester flou et difficile à cerner, mais dans les contexte où je l’utilise il reste accessible. Mais qu’en est-il des autres mots comme RECADRAGE, CROYANCE LIMITANTE, MANIPULATION, INCOMPENT, INCONSCIENT… ?
Ce sont des mots insupportables si on ne connait que leur définition classique.
En coaching, un recadrage n’est pas une engueulade. On ne recadre pas une personne, mais une croyance. Une croyance qu’on reconnaît comme limitante en fonction d’un contexte précis.
Par exemple, un personne qui croit qu’elle a moins de temps que les autres mais qui le vit bien, c’est à dire sans sarcasme, sans jalousie, sans se plaindre, sans blâmer ceux qui ont plus de temps qu’elle, sans s’esquinter la santé à courir après le temps qui passe, etc. n’a aucune raison de subir un recadrage. Dans son esprit elle a moins de temps que les autres, mais elle le vit très bien.
Par contre si elle vit mal cette situation, et elle me demande de l’aider, je vais très vite recadrer cette croyance de base, en lui rappelant que chacun de ses journées est constituée de 24 heures ou 1.440 minutes ou 86.400 secondes… Comme moi, comme son voisin, comme le Président de la République.
Si elle me répond que sa soeur a plus de temps qu’elle parce qu’elle a une nounou qui emmène les enfants à l’école et qui s’occupe des devoirs, je lui rappellerai qu’elle peut, elle aussi faire appel à une nounou, si elle estime que sa soeur est un modèle à suivre. Je vais même lui organiser un rendez-vous avec sa soeur, car c’est probablement la personne qui pourra l’aider au mieux à se fixer l’objectif “recrutement de nounou” et à passer à l’action. Si elle n’a pas les mêmes moyens financiers que sa soeur, je vais lui proposer un rendez-vous avec une personne qui a les mêmes moyens financiers qu’elle et qui a réussi à faire garder ses enfants.
Je vais recadrer ses croyances limitantes encore et encore, jusqu’à ce qu’elle fasse un choix :
– S’engager dans l’action qui lui permettra de mieux gérer son temps (en déléguant certaines tâches à une nounou, puisque c’est son souhait)
– Lâcher prise sur sa quête (même si elle croit toujours qu’elle a moins de temps que les autres, l’essentiel est qu’elle le vive bien)
– Cesser de me demander mon aide. Je n’ai ps pour vocation d’aider ceux qui ne veulent pas de mon aide.
Dans un programme d’auto-coaching (écrit pour un collectif), le principe est de faire le tour des croyances limitantes collectivement, et de les recadrer collectivement. Au début, avec Anaëlle, nous pensions faire la liste des croyances classiques et d’argumenter (c’est notre métier). Le programme aurait alors pris la tournure d’un monologue à sens unique, un peu comme une thèse sur le sujet. Un “Que sais-je” ou un wikipédia orienté Gestion du Temps.
Mais, par Sérendipité, nous avons reçu un cadeau très intéressant : non seulement, les croyances limitantes que nous connaissions nous ont été servies très tôt par les lecteurs eux-mêmes, mais en plus, nous avons enrichi la liste de croyances limitantes grâce à cette correspondance. La raison est simple :
– Les croyances limitantes dont nous disposons d’avance sur ce sujet, sont celles de personnes qui veulent avancer, mais qui n’y arrivent pas.
– Mais il y a une catégorie de personnes qui ne veulent pas avancer, et qui se sont quand-même inscrites dans le même processus que les premiers… Leurs croyances limitantes sont inconnues des coaches, car dans un processus de coaching classique, elles n’existent pas (les coaches ne font du coaching qu’avec ceux qui veulent être coachés). Ces croyances-là (surtout leur recadrage) apportent une pierre à l’édifice. Car sauf erreur de sélection, nous les avons tous en nous… silencieusement…
Je vais te donner un exemple qui fera sûrement écho en toi : l’une des objections au «satisfait ou remboursé» qui s’exprime assez souvent est la suivante :
– La garantie de remboursement que vous proposez ne change rien, car je sais que je serai satisfait. C’est pour cette raison que je ne m’inscris pas !
Ca fait sourire, mais cette peur de réussir nous habite tous. Ce lecteur (nanard de son état), manifeste cette peur d’une façon candide. c’est de la guimauve… Et pourtant, combien de non-nanards n’acceptent pas de s’engager dans un courant qui les rendra heureux ? Cette nanardise devient un puissant outil d’auto-coaching. Mais il faut la percevoir comme telle, et l’incident que tu as vécu avec ton équipe t’empêche de la comprendre ainsi. Le recadrage managérial n’a rien à voir avec le recadrage du coaching.
Je suis d’accord sur le fait que dans un processus de coaching classique la procédure normale est d’éjecter les nanards qui me prennent la tête. Mais là encore, j’ai remarqué deux choses intéressantes :
1. Ces “nanards” ne sont pas si “nanards” que ça ! Il peut s’agir de personnes qui traversent un moment difficile et qui ont besoin de temps avant de faire le premier pas. Il peut également s’agir de lecteurs assidus qui ne se rendent pas compte (consciemment) des bénéfices obtenus en lisant ce programme, mais qui ne parviennent pas à se désinscrire. Quelque chose, quelque part les empêche d’appuyer sur le bouton qui mettra fin au supplice de me lire… Avec le temps, ils finissent par apprécier ce “sale type” qui ne les a jamais lâchés, malgré la relation difficile. J’ai beaucoup de témoignage de ce type.
2. L’antithèse des nanards alimente la thèse des confiants. Je vais te l’expliquer sous forme d’analogie : tu sais qu’il y a des athées démocratiques, et des athées qui ne supportent pas l’idée que les religions existent. Ces derniers peuvent entrer dans une église (un lieu de culte), pour faire un discours antireligieux (donc contreproductif, dans le contexte). Mais en les écoutant parler sans les juger sévèrement, les fidèles de l’église pourront remarquer qu’ils ont parfois eux-mêmes ce genre de pensées (en période de doute). cette épreuve leur permet d’ancrer ce qui éloigne le doute, et ils deviennent plus confiants en écoutant les “nanards”.
Toutefois, je te l’accorde : il y a des nanards dont la seule vocation est de ralentir tout le monde. La raison est simple : si le monde s’arrête, ils n’auront plus à faire l’effort nécessaire pour le rattraper. Le buzz que j’ai provoqué (depuis plusieurs mois), est fait pour les éloigner, sans se tromper de “nanard”. C’est à dire en séparant les toxiques des intoxiqués.
C’est du boulot, mais ça vaut le coup ! Je n’ai pas créé un club d’élite, mais un processus libre (et solidaire) qui permet même aux «oiseaux blessés» d’entrer dans la danse.
Merci pour ton intervention qui , comme tu le vois, ne m’a pas laissé indifférent.
A+
Stéphane
J’ai apprécié l’idée du PWYW, qui réussit à quelques artistes du théâtre.
J’ai aimé la teneur humoristique de vos articles sur ce sujet et la résilience après le constat de la «cata».
Ceci dit, il y a fort longtemps, time-coach m’avait été proposé gratuitement.
Donc, si vous continuez à m’envoyer des articles à ce titre, ils continueront à être gratuits.
Et si je continue à les lire sans me désabonner, c’est qu’ils sont intéressants, astucieux et humoristiques, rien à voir avec les «grosses pubs» infernales pour lesquelles on a beaucoup de mal à faire arrêter l’envoi.
Non, là, c’est avec beaucoup d’intérêt que je lis la plupart de vos articles.
En bas du dernier en date, grâce au Pwyw, (enfin je crois), vous m’avez convaincu de payer quelque chose.
Et je me suis dit, ben tiens, quitte à payer pour rien quelque chose que je reçois déjà, pourquoi ne pas prendre un des autres programmes.
Ainsi, j’ai l’impression de pouvoir essayer gratuitement Zen-coach que je viens de choisir. J’ai payé ce que je voulais pour Time-coach, en prenant gratuitement Zen-coach et je verrais plus tard ce que je voudrais éventuellement payer ou non pour Zen-coach, en m’orientant vers un autre programme…
Bref, le Pwyw pourrait avoir, dans mon cas, amorcé la pompe…
Étonnant et conséquence imprévue ! Non ? Même si souhaitée.
En tout cas, le 15 avril, je commencerai un de vous programme payant.
Cordialement.
Bonjour Prosper,
Beau cheminement. Même si le raisonnement paraît tordu, il me convient, et l’effet cascade que vous décrivez est tout à fait en conformité avec mes attentes.
Je voudrais juste rappeler au passage, qu’à mon avis, si vous payez TIME-COACH, ce ne sera pas “pour rien”, vous serez le premier bénéficiaire. Ceci dit, en payant ZEN-COACH vous avez enclenché le même processus.
Enfin, j’ajoute que si ZEN-COACH ne vous donne pas satisfaction, vous pouvez le dire, et vous faire rembourser, sans que cela ne vous prive de TIME-COACH. Donc il n’y a aucun risque.
Merci pour cette confiance,
Stéphane
J’attendais une réaction avec impatience. Je n’ai pas eu à attendre longtemps. Je suis comblé par son «esprit» subtil.
A+, Prosper.
Bonjour Stéphane et à tous,
Une dernière réflexion en ce samedi matin !
Et si ce manque de résultat était lié au fait que ce soit des initiales anglaises …..
Pourquoi en fait, ne pas revenir de plus en plus à ce bon vieux Français – langue riche et admirée – et commencer petit à petit à laisser tomber tous ces mots, définitions anglaises etc…
Je ne suis pas arriérée, je parle anglais couramment pour mon travail, mais j’aime aussi à parler et utiliser notre belle langue.
Bon dimanche, bon weekend aussi …..
Je vous embrasse tous, même si je ne vous connais pas…
Bonjour Marie Françoise,
J’ai pensé à ça… J’ai même fait faire deux logos (PWYW et PCQVV), et comme j’ai de la suite dans les idées, j’ai même déposé les noms de domaines :
pwyw.fr
pcqvv.fr
pcqvv.com
payez-ce-que-vous-voulez.fr
payez-ce-que-vous-voulez.com
Donc 4 noms de domaines français, et un seul en anglais.
Mais je l’ai fait pour d’autre projets que TIME-COACH.
En y pensant pour TIME-COACH, je me suis dit que dans notre contexte, ce n’était pas correct… Nous évoluons dans un système où nous pouvons tous nous embrasser, même si nous ne nous connaissons pas. Alors pourquoi rejeter les locutions, les méthodes, les abréviations étrangères ? Ce n’est pas très cohérent, ni fair-play vis à vis des originaux qui nous ont servi ces originalités.
Vous pensez que ZEN-COACH deviendrait bénéficiaire si je l’appelais QUIÉTUDE-COACH ? Ce serait vraiment troublant.
Rejeter une initiative étrangère n’est pas très cohérent avec l’esprit d’ouverture que je souhaite animer et voir grandir. De plus, je pense qu’en entrant dans «TIME-COACH» mes lecteurs ont déjà été présélectionnés pour accepter ce genre de choses. Enfin, en m’orientant vers cette voie je vais devoir renoncer au mot «buzz» pour le remplacer par «ramdam»… Mais ça ne plaira pas non plus, parce que «ramdam» est d’origine arabe, alors je vais devoir utiliser «vacarme», mais tout le monde ne parle pas néerlandais…
Je comprends ce que vous dites et j’apprécie le coup de main, mais je pense vraiment qu’un auto-coach devrait s’autoriser à prononcer «Abracadabra» lorsqu’il fait un tour de magie, sans se dire “Oh mince ! Je prends un risque en utilisant cette locution hébraïque mystique… Les athées, les catholiques et les musulmans ne me le pardonneront pas !”
Soyons smart.
Encore merci pour cette intervention,
Stéphane
Moi ça me parle plus Quiétude-coach.
Moi aussi Mario… Mais une fois qu’un nom est donné, c’est difficile d’en changer. Je l’ai déjà fait, et je me suis retrouvé avec des personnes qui se sont inscrites 2 fois, pensant que c’était un programme différent.
Supposons que je renomme RICHE-ATTITUDE en MONEY-COACH, pour toucher un autre public (plus anglophone)… Vu le nombre de personnes qui attendent la suite de RICHE-ATTITUDE, je vais me retrouver avec des problèmes comptables, et probablement aussi des mécontents (qui vont penser que je l’ai fait exprès).
A un moment, c’est aussi de votre côté que l’effort doit être fait. L’important n’est-il pas le fond du programme ?
A bientôt,
Stéphane