Dans la première partie de cet article, j’ai expliqué l’origine du mot «sabbatique». Je tiens effectivement à distinguer le repos sabbatique, volontaire, programmé, choisi… d’autres types de repos (imposés par la fatigue ou contraints par les circonstances). Pour ma part, je suis dans une belle dynamique ! Je me dirige vers de nouveaux horizons où l’Action aura une place de prédilection :
Jusque-là je considérais que c’est en me mettant au service des hésitants que je remplissais ma Mission. C’était intéressant, passionnant, très intense, mais peu gratifiant… J’ai très envie d’un programme sans hésitants ! Durant mon Année Sabbatique je m’adresserai principalement à des personnes prêtes pour l’action !
Mais, me direz-vous, l’action, ça demande de l’énergie… Ce n’est pas sabbatique ! Certes, mais croyez-moi, tenter de convaincre une personne qui a 70 raisons d’avance de ne pas bouger que la solution est dans l’action, c’est beaucoup plus fatigant que d’accompagner l’action. Euh… En fait, c’est le jour et la nuit ! Toute femme et tout homme d’action vous le diront : bien sûr qu’élaborer un projet et le mener à terme, c’est du boulot ! Mais il n’y a rien de pire que d’essayer d’avancer avec quelqu’un qui ne croit pas en votre projet, qui va freiner des deux pieds au moment où il est sollicité, et qui, au-delà de sa résistance physique, déploiera son talent oral et épistolaire pour se mettre en travers de votre cheminement intellectuel.
Accompagner des projets, c’est tellement plus vivifiant ! Pour ce faire, je vais prendre congé d’Auto-Coaching.fr et de sa newsletter, afin de créer une zone de Coaching spécialement dédiée aux projets, et bien sûr, à celles et ceux qui les mènent.
Que vont devenir le site et la newsletter ?
Auto-Coaching.fr ne sera pas détruit. Les 523 articles qui y
sont publiés et leurs commentaires continueront d’exister. Ils font partie de
ce que j’appelle Les Forces en Présence :
ces pages sont référencées par Google et amènent un trafic régulier. Un trafic
dont je peux me servir pour rediriger les visiteurs vers ma nouvelle activité,
puisqu’ils ne viennent pas pour un site ; ils viennent pour du Coaching et
du Développement Personnel. Mon nouveau site ne bénéficiera pas d’un bon trafic
avant quelques mois. Je vais donc me servir du flux existant ici pour le
rediriger là où je m’exprimerai.
Isabelle fait également partie des Force en Présence, et là je dois avouer que ce n’était pas prémédité. Je n’ai pas entrepris ce partenariat en janvier pour lui laisser le bébé avec l’eau du bain 9 mois plus tard. Mais c’est avec plaisir (et toujours dans le cadre d’un partenariat) que je lui confie mon site ainsi que la newsletter associée. Elle connaît tous les aspects techniques et a une copie des clefs. De plus, elle respecte ma mission, même si elle est convaincue que pour la mener à bien, il faut agir autrement. Isabelle est donc prête à tenter de nouvelles expériences avec les hésitants de cette newsletter, pendant mon détachement. Vous voici avec une nouvelle Rédactrice en Chef.
Aurais-je pu continuer au même endroit ?
Il y a une citation que j’aime beaucoup. La voici :
«L’idiot du village cesse d’être idiot au moment où il quitte le village»
(Je ne citerai pas l’auteur par modestie)
Vous avez peut-être envie de me dire que vous ne m’avez jamais pris pour un «idiot», mais cette citation est métaphorique : elle évoque «l’Image de Soi». Quelle que soit l’étiquette qu’on vous ait collée, que ce soit «l’idiot du village» ou «l’Abbé Pierre du Développement Personnel», elle vous collera à la peau dans le lieu où elle a été confectionnée.
En changeant de lieu, vous changerez d’Energie Créatrice. Supposons que pendant des années, votre discours s’adressait à des personnes réfractaires à votre projet… Comment allez-vous aborder les discussions ? Timidement ! Ou alors de façon revendicatrice, ou encore en justifiant votre vision du monde. Sachant de quelle façon vous allez être reçu, vous allez vous aligner pour donner quelque chose de recevable. Si vous vous détachez du lieu où l’énergie ambiante vous stigmatise, le monde qui peuple le nouveau village aura une nouvelle image de vous, et cette nouvelle image vous permettra de changer plus facilement qu’en luttant avec les vieux clichés.
A noter que si vous avez créé un problème (eh oui, vous êtes principalement Responsable de l’image que l’on a de vous), vous pouvez aussi le résoudre. Mais sans changer de lieu, ça demanderait une telle énergie que ce n’est pas très sabbatique… Alors aurais-je pu continuer sur Auto-Coaching.fr ? Dans l’absolu la réponse est OUI, mais dans notre contexte d’Année Sabbatique, la réponse est clairement NON ! Je préfère déménager.
Renouveau !
J’ai écrit que j’avais envie de «recommencer à zéro»… Ce
n’est qu’une expression, car à 52 ans on ne recommence pas à zéro, ni même à 30
ans, ni même à 10 ans, ni même après 3 minutes de vie… Vous avez un parcours,
et il fait partie de vous. Tenter de l’effacer sera vain, mais vous pouvez vous
en servir. Lorsque vous vous trouvez à la croisée de chemins, vos expériences
vous permettent de savoir ce que vous voulez et ce que vous ne voulez pas.
Ce que je veux est simple, et peut s’exprimer en quelques
mots :
Je veux interagir avec des personnes qui veulent s’impliquer, s’engager, s’investir dans leurs projets, en y intégrant des techniques de Développement Personnel.
Vous remarquez l’usage du verbe VOULOIR ? Ce n’est pas
une facilité de langage, et encore moins une impolitesse de langage. Je ne le
souhaite pas. Je ne l’espère pas. Je le VEUX !
J’ai donc envie de RENOUVEAU durant cette Année Sabbatique. Le
problème est que c’est ce que j’ai toujours voulu et affirmé, et ce n’est pas
ce que j’ai obtenu. La raison principale vient de l’éducation de certaines
personnes, qui transforme ce que je VEUX…
Parlons, par exemple de la gratuité. Ce que je VEUX, c’est
qu’elle nous permette de faire connaissance sans que cela représente un coût
pour vous. Ça représente un coût pour moi, mais je suis prêt à l’assumer car
c’est un investissement : j’investis
dans notre relation. Mais il est possible que votre éducation vous mette dans
une posture différente qui est la suivante :
- Tant que je peux profiter de la gratuité, j’en
profite !
Il ne m’appartient pas de juger si cette éducation est bonne ou mauvaise. En revanche, il m’appartient d’évaluer et de rappeler que ces réflexes éducatifs ne sont pas compatibles avec ce que je VEUX. J’espère que vous voyez la différence entre ce qu’un système attend de vous (et l’exprime avec clarté), et ce que votre éducation vous pousse à faire, au risque de dénaturer le système.
Une fois de plus, rappelez-vous que ce que je décris
ci-dessus est une métaphore de la vraie vie. Il y a certainement une multitude
d’environnements que vous avez rejoints sans même vous soucier de ce qui y est
attendu : ces conventions que vous ne lisez pas, ces chartes que vous
parcourez en diagonale, ces règles qui vous dépassent… Malgré tout, vous
prenez vos aises dans ce lieu sympathique, vous disant que tant que personne ne
vous chasse, vous y avez votre place.
Alors voilà… C’est à moi de céder ma place ! Quelle que soit votre attitude, votre éducation, votre compréhension de mon travail ou la vision que vous avez de moi, vous avez votre place dans Auto-Coaching.fr et Isabelle décidera de la suite en fonction de ses critères.
La nouvelle question qui se pose est :
Avez-vous votre place dans mon nouveau village ?
Les conditions ont déjà été données, je les rappelle :
Je veux interagir avec des personnes qui veulent s’impliquer, s’engager, s’investir dans leurs projets, en y intégrant des techniques de Développement Personnel.
Tout le reste n’est que littérature. Une littérature que vous découvrirez progressivement en investissant les lieux avec moi dès demain, premier jour de mon Année Sabbatique.
A demain,
Stéphane SOLOMON
PS : J’ai failli oublier de revenir sur le mot «Année». La plupart de mes connaissances qui ont pris une Année Sabbatique y sont toujours… Parfois depuis 15 ans ! Il faut croire qu’on y prend goût. Je ne sais pas combien d’années durera mon Année Sabbatique, mais je ne vous garantis pas un retour dans 366 jours…
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Évaluation de l'article
Une histoire d’hiver enrichissante de message…on entend ce que lon veut entendre a savoir les 2 mots cles triste et bonheur….
Cadeau !
(surveille ta boite de réception)
Ce que j’entend dans cette histoire, c’est qu’au delà d’etre mal entendante, la mamie était attristée d’etre venue pour emmener les enfants au manège et de ne pas avoir pu le faire. Elle regardait sa famille vivre cette journée côte à côte sans la vivre ensemble.
Quand ils se sont unis pour créer ce bonheur de neige, la mamie a vu ce que cette action partagée irradiait! Elle a retrouvé le sourire parce que ce qu’elle était venue apporter (un peu de bonheur en partageant une activité avec ses petits enfants) prenait forme devant elle d’une autre façon. Elle était heureuse de ce bonheur familial!
Alors mamie au delà d’avoir des soucis d’audition avait surtout des émotions qui ont été transférées dans ce qu’elle entendait. Elle entendait ce qu’elle ressentait…
Cadeau !
(surveillez votre boite de réception)
Bonsoir,
Pourquoi je reste ? Bonne question ! Un mélange de curiosité, de plaisir de vous lire et se dire que derrière peut-être un nouvel enseignement m’apparaîtra… Cette histoire m’évoque mes propres souvenirs de bonhomme de neige, le temps infini que l’on peut passer pour quelque chose de joli, poétique, amusant, … mais si éphémère. Parce que ce qui compte c’est le moment à œuvrer ensemble… Je pense alors à Allan Kaprow et son œuvre Fluids… Ainsi, si j’ai envie de rester, c’est pour continuer à ouvrir mon esprit et à prendre du recul sur ma vie pour mieux la vivre… En même temps, j’étais en train de préparer mon travail pour demain et en ayant regarder mes mails et en répondant à ce message, je remarque que je continue à me disperser ! 😉 Bonne soirée.
PS: Et je ne réponds pas dans l’espoir d’avoir un cadeau !
Bein oui, mais Cadeau quand-même !
(surveillez votre boite de réception)
Bonsoir stephane
Une grande leçon de comment transcendé le moment présent .donner de la vie à la vie .’
Merci pour ce partage
Cadeau !
(surveillez votre boite de réception)
Neige poudreuse que j’aime voir tomber, mais pas s’agglutiner, il est ou le bonheur quand une dame entend bonheur au lieu de bonhomme, qu’importe l’allure, pourvu qu’on ait l’ivresse, celle de vouloir se mêler aux enfants, de les faire jouer, de les réconforter avec un chocolat chaud, des gestes affectueux que procure le début de l’hiver…Hiver, printemps, été, automne, le cycle de l’année sans cesse répété, jusqu’à la fin de vie. Voilà ce que m’inspire la neige, fascinante,virevoltante, légère, danseuse, éprouvante parfois, complexe, puisqu’elle prétexte une confusion de mots.
Cadeau !
(surveille ta boite de réception)
Bonsoir,
Cette histoire, comme beaucoup d’autres histoires que nous avons reçues, affute notre attention. Elle nous aide à voir au-delà de la surface des choses.
Je trouve une grand intérêt à vous lire, cher Stéphane, car vous me libérez de l’influence du quotidien, qui peut nous rendre aveugles aux signaux les plus clairs. Combien de fois faisons-nous mine de ne pas avoir remarqué ? Cette incompréhension aurait pu être prise… pour une mamie qui n’a pas bien entendu, au lieu d’être entendu comme un message.
Cela me rappelle quand, il y a 3 semaines, ma mère m’a demandé 3 fois si j’avais besoin qu’elle vienne m’aider pendant les vacances scolaires, jusqu’à ce que je comprenne qu’elle avait envie de venir mais n’osait pas le demander de peur de s’imposer…
Merci de rendre vos histoires si proches de notre quotidien pour qu’elles nous réveillent mieux.
Continuez à nous réveiller : être en en vie (envie…) c’est le contraire d’être inerte ou endormi.
Bonne soirée
Pascal
Cadeau !
(surveillez votre boite de réception)
Peut être que la vérité sort de la bouche des mamies dures de la feuille.
A défaut d’avoir compris les mots, elle a parfaitement capté l’humeur du moment.
J’aime les histoires, en particulier celles qui finissent bien, et je suis curieuse. Alors je reste pour voir jusqu’où cette aventure va m’emmener. Et qui sait, peut être y trouverai-je de l’inspiration, voire une révélation….
Cadeau !
(surveillez votre boite de réception)
Souvent la pensée va au delà de la parole. Elle prend le dessus sur ce que l’on voudrait dire.
C’est une belle histoire, pleine d’humanité et d’attention.
Merci.
Cadeau !
(surveillez votre boite de réception)
Bonsoir Stéphane,
Je réponds , car je trouve cette histoire très intéressante !
Mamie , qui par son âge un peu sourde mais capable de partager ses émotions intérieures de ce moment présent. Elle était TRISTE de ne pas profiter de la neige avec ces petits enfants en regardant les flocons tomber et couvrir la pleine. Le regard nostalgique en se souvenant sûrement de ses jeux d’enfance à elle avec ses parents, se souvenir des petites traces de son jeune âge , les joues rouges , son nez coulant et les gants mouillés après une bataille de boules de neiges lancée sur les petits du voisin… Nostalgique de ce bonheur vécu, elle aimerait partager ce BONHEUR cette fois-ci avec ses petits enfants ! Mamie était connectée à son ressenti du moment présent et ne faisait pas trop attention à la question de sa petite fille ou par contre avait vraiment mal compris ….mon ressenti personnel …sourire
Votre fille était peut être aussi dessinait de quoi elle rêvait , de s’amuser à faire du ski, mais pas sur n’importe quelle piste, elle se projette dans l’avenir, peut être d’une championne de descente ou tout simplement jouer avec la neige en faisant une belle œuvre d’art , un bonhomme de neige qui lui sourit tout simplement d’un joli trait noir par des petits cailloux trouvé sous le tapis blanc et un long net orange de carotte. Elle a accepté de rester à l’intérieur bien au chaud mais qui ne l’empêche de vivre son rêve par le destin…!
Et vous Stéphane, vous étiez à l’aise et bien au chaud, attentionné à ce que disaient les deux personnes ! Interpelé, vous aviez réagi pour trouver une solution de bienveillance pour tous ! Par votre élan de satisfaire tout le monde , vous avez créé une action de BONHEUR à tous et la TRISTESSE s’est envolée…Bravo , une belle leçon de vie ….L’Auto- Coaching ! Merci Stéphane
Cadeau !
(surveillez votre boite de réception)
Lorsque les Mamies traduisent les émotions de leur petite fille cela fait un beau dialogue intergénérationnel ! La preuve ?
L’artiste en a fait le titre de son oeuvre , et c’est magnifique !
Et bravo et merci Stéphane d’être là pour saisir ces instants de magie .
Cadeau !
(surveillez votre boite de réception)
Bonjour cher ami,
Mais Stéphane on reste à te lire et te relire car la surdité de notre mamie du texte est la même que la mienne et les problèmes de manque d’imagination sont récurant pour les gents super-actifs que nous sommes, comme pour ta famille dans des moments trop calme. Quand chacun reste dans son coin alors qu’on est en groupe c’est qu’on a oublié que Dieu à crée pour nous des amis , des enfants, une épouse, des voisins,le vent, le soleil, la neige, les carottes, les cailloux et les arbres pour ramasser la branche morte qui va faire le sourire du bonhomme du bonheur de neige …et là on n’a plus froid , ou plutôt si on a tellement froid qu’on attrape l’onglet et quel bonheur de retrouver la chaleur du cocon familial pour se ressourcer à nouveau repartir agrandir notre projet…et pourquoi pas lui donner des ailes ?
Je trouve ça fabuleux un bonhomme de neige volant !
Pas toi ?
La neige est un peu comme la newsletter, elle tombe quand elle veut dans nos boite mail , elle nous bloque entre quatre murs ou nous apporte des petits moments de bonheur et de partage si on voit l’opportunité plutôt que la contrainte.
J’aime la neige, j’attends les flocons des prochains emails 😉
A bientôt j’espère
En toute franchise et vu que je n’aime pas la neige, si j’étais à la place de la Grand-Mère, je me serais fort ennuyée de voir se manège desenchanteur. Mais au fur et à mesure du temps qui a passé, j’ai commencé à comprendre, que tout peut paraitre beau et enchanteur si l’on prend le temps de méditer. Cette Mamie qui était venue pour accompagner ses petits-enfants au manège, trouve finalement, que ce jeu valait aussi bien le tournoiement du manège. Pour conclure, j’ajouterai, que la Mamie sourde, a su positiver au point d’inventer à son insu, un mot nouveau : Le Bonheur de Neige !!!
Bonsoir Stéphane, j’aimerais en premier lieu vous dire que j’apprécie tout particulièrement votre message d’aujourd’hui. Certes l’anecdote est jolie, mais elles le sont souvent. Ce que j’apprécie tout particulièrement aujourd’hui, c’est votre invitation finale pour vos lecteurs à s’impliquer. Initialement, je vous lis car la promesse d’améliorer ma gestion du temps était très alléchante. Mais ce que je cherche dans cette lecture désormais, c’est l’inspiration et l’incitation à passer à l’action. Il me vient à l’esprit que j’ai peut-être parfois ignoré vos signaux qui auraient dû m’inciter à l’action. Mais ce soir le message est bien reçu et, moi qui commente peu vos messages parce que je n’y vois pas toujours d’intérêt, j’ai eu du plaisir à le faire ce soir, et plus encore à constater que cela m’a été plus évident que je ne l’aurais cru. Merci pour avoir initié ce passage à l’action !
Bonsoir Stephane,
Merci pour ce beau moment de partage, votre histoire est une richesse car elle montre bien que les moments simples de la vie peuvent être vécus avec beaucoup d’émotions.pour reprendre la belle chanson de Christophe Maé ” il est où le bonheur il est où ” et bien votre belle histoire en est un formidable exemple ! Ne perdons pas de temps allons chercher ces moments là. Merci encore
Cher Stéphane,
C’est une très jolie histoire, ce que j’en pense…
J’en pense que comme le suggérait JUNG, nous sommes tellement centrés sur nous-même que
ce que nous remarquons à l’extérieur de nous est une transposition de notre état intérieur.
C’est l’effet miroir. Ce que nous remarquons de moche d’une situation extérieure parle d’une partie de nous
que l’on trouve moche. Egalement lorsque l’on remarque quelque chose de beau à l’extérieur de nous, ceci correspond
à partie de nous même que l’on trouve belle. Voilà, c’est tout simple, nous sommes moteurs de notre propre réalité,
et pour moi c’est un bonheur de vous lire.
Bien à vous,
François.
Mamie dure de la feuille mais pas aveugle
cela ressemble fort à des lapsus traduisant son ressenti d’un moment de vie.
Triste de ne pas aller dehors avec ses petits enfants, ou que vous ne les accompagnez pas dans ce moment si important.
Elle sait à l’évidence trouver le bon mot qui vous fait positiver.
Savoir synthétiser une situation pour la retourner, c’est fort.
Merci Stéphane et merci à Mamie
Avec un peu de bonne volonté, ou l’envie de sortir de la routine qui nous pèse, il est possible de transformer un moment banal en un temps d’action partagée qui nous transforme vers la bonne humeur.
Apprenons à voir toutes ces possibilités qui nous tendent les bras, comme un bonheur qui peut rester, même si la neige devait venir à fondre.
tout simple, un moment partagé en famille, l’essentiel est tout là, le bonheur c’est tellement enrichissant…
merci pour l’histoire…du soir 😉
Je reste parce que je choisi le bonheur
d’une mamie dure de la feuille
plutôt que la vie est une tartine de merde
que l’on mange tous les jours
Même époque
même mamie
mais tellement différentes
Que du bonheur
Merci Stéphane, moi je suis fan
depuis longtemps
et je ne m’en porte que mieux depuis
Bonsoir Stéphane,
Pourquoi je reste ? Parce que j’apprécie vos cours en ligne, votre pédagogie simple, imagée, à la portée de tous.
Votre ” bonheur de neige” est une très jolie histoire, douce, apaisante, chaleureuse qui ne peut que faire du bien.
Alors merci Stéphane. Moi, vos “blablas” comme vous dites, j’en redemande.
Evelyne
Moi j’ai VU en lisant , un coach avec ses prospects ,on travaille en équipe et c’est là que l’on avance même au sein de la famille,que c’est beau.
C’est juste
le moment présent poétique
peut -être que il n’y a que ça qui existe
et que le fait de le voir écrit permet que soudain j’ai envie de traverser la toile
et de dire merci …..
peu importe l’histoire
Le fait qu’elle soit humaine et suspendu comme un théatre presque réel
Une scène familiale….
que du bon ….et rien de plus
J’ai cherché un coach pour les questions “pro”, mais la qualité d’émotion à vous lire me convainc que votre de votre qualité et l’humanité de votre approche.
Bien cordialement – F
Bonsoir Stéphane,
je continue à vous lire, vos histoires sont inspirantes.
Dans l’histoire en question, à priori banale: on constate une situation, on engage une action et on en mesure les effets.
Je travail cette attitude et votre newsletter est pour moi un rappel, en quelque sorte un recadrage.
Merci
Bonjour,
-Je suis restée jusqu’au bout pour voir ce que cette histoire que j’avais déjà lue allait m’évoquer cette fois
-Cette fois cette histoire m’a évoquée que nos perceptions sont liées à notre était émotionnel (cf les connotations dans les malentendus de la grand-mère)
-J’ai eu raison de relire cette histoire jusqu’au bout, parce que la dernière fois, ce qui m’avais questionné, ce que ça avait provoqué comme action chez moi, c’est que j’avais été en admiration devant votre capacité à mettre en place de choses pour changer l’état d’esprit de tout le monde, faire passer de la déception de ne pas aller au manège à un nouveau projet collectif. Je m’étais questionnée sur ma capacité à en faire autant, et je m’étais résolue à adopter cet état d’esprit
Bonsoir cher Stéphane , Oui cette histoire me parle au même titre que les autres, car empreinte de delicatesse dans le moment présent de cette apres midi en famille !
Oui je reste et continue à lire ,car cela nourris mon coeur et mon âme!
Toi stephane , observateur de ce qui se joue , se dessine ,se noue et se dénoue dans l’improbable du déroulé apparemment simple d’une journée d’automne qui se transforme peu à peu en journée d’hiver ..mais avec ses bénéfices cachés !
Chacun selon sa créativité participe à cet élan vers le meilleur qui fait appel à des ressorts de joie et bonheur simple ,imprévus au départ ( la bonne mamie désirant partager un instant de plaisir sur les manèges en y emmenant ses petits enfants ) un lapsus réel ou provoqué qui laisse sourdre chez elle un certain dépit par rapport à ce qui était sa proposition initiale,et toi, fin observateur qui réagit en créant une sorte de catharsis au prononcé de ce mot T R I S T E pour peut-etre éteindre dans l’oeuf une ombre qui aurait pu assombrir l’ambiance détendue et calme par des réflexions inopportunes vis à vis de cette baisse de moral ou critiquant la mal entendante ; et comme “un seul homme ” les enfants et leur papa abandonnent joyeusement ce qu’ils étaient entrain de faire pour créer,ensemble , ce bonhomme de neige qui devient B O N H E U R;
Que c’est beau ,inspirant et réconfortant que de chaque moment pris séparément,se tisse une histoire merveilleuse qui drape cette ambiance cosy d’un chalet montagnard!
Merci et gratitude pour cette parabole de vraie vie!
Cela m’invite à être à l’affût de possible improbable dans ma vie quotidienne!
J’ai hésité à répondre, comme toujours, parce qu’il est tard, parce que ce que j’ai à dire n’est pas trop intéressant, parce que… etc… Et puis je me suis demandé pourquoi j’ai lu (relu en fait) cette histoire qui m’avait frappée à l’époque et à laquelle je repense parfois : elle me souffle à quel point nous interprétons le monde au gré de notre monde intérieur… Oui, c’est une belle histoire, qui m’accompagne encore et que j’ai relue avec plaisir..
A bientôt !
Jacqueline
je reste pour votre énergie et pour le partage de valeurs.
Le bonheur, c’est nous et nos actions qui en décident, pas un quelconque bouc émissaire extérieur (comme la météo ou les autres) qui nous en détourne.
Le bonheur si, peut être influencé par la météo. Jour gris, humeur maussade, jour ensoleillé, envie d’aller de l’avant, jour pluvieux, tous les tracas du monde sur nos épaules…
Bonsoir Stéphane,
ce que m’inspire cette histoire :
– la nécessité d’être attentif à ce qui nous entourent,
– transformer l’imprévu en opportunité à saisir,
– l’importance du partage dans l’action qui souvent apporte plus que le résultat lui-même
Pourquoi je reste : pour ces instants de réflexion qui me poussent à changer de vision et évoluer en permanence.
Merci Stéphane
Je reste car j’adore vos histoires et surtout le sens caché et l’interprétation des situations.
Vous éclairez systématiquement d’un jour nouveau une situation “banale” pour en tirer une leçon de vie. Je prends toujours le temps de lire vos chroniques. Merci
Votre histoire m’a vraiment fait du bien ce matin quand je l’ai lue. Elle fait penser aux moments de l’enfance où chacun trouve le temps et le moyen de profiter de bonheur simples en famille. Tirer parti d’une situation a priori bloquée (ici par les circonstances atmosphériques), la transformer en savourant un moment de paix, chose possible quand l’on trouve une occupation de son goût, puis la sublimer en partageant une activité commune qui ramène une joie liée à une activité manuelle réussie et amusante pour petits et grands.Redonner la joie aux anciens qui trouvent une utilité en chouchoutant les petits enfants (et grands).
Une vraie carte postale, de Noël bien sûr !
Cette histoire nous rappelle qu’il est surtout bon de profiter et de partager l’instant présent en famille… Et sous la neige, c’est encore plus merveilleux.
bonjour , la lecture de vos écrits est très agréable ,
on ne se rend même pas compte qu’on lit , et on arrive à la fin du récit ,
vous avez su rendre vos enfants très heureux et ce moment restera gravé dans leur mémoire à jamais ,
bravo , vraiment ,
Stéphane, j’ai relu avec un immense plaisir et avec à nouveau quelques larmes cette histoire qui m’a déjà beaucoup inspiré à l’époque, et que j’évoque souvent, et qui continue de m’inspirer… Voilà, entre autres, pourquoi je vous ai (re)lu jusqu’au bout. D’autant qu’il me semble que vous l’avez racontée différemment cette fois-ci, et peut-être est-ce ma lecture qui est différente, mais vous y avez ajouté une dimension qui n’y étais pas (me semble-t-il, ou peut-être mon filtre n’était pas le même à l’époque) et qui me parle beaucoup en ce moment, celle du travail en équipe et du projet qui crée une émulation telle que des volontés spontanées s’y ajoutent… non ?
Bref, je vous lis jusqu’au bout parce que vous inspirez mon quotidien depuis des années et que vous m’avez réellement fait grandir.
Une très belle histoire. On entend que ce qu’on veut entendre, on ne voit que ce qu’on veut voir ! Comment être vraiment à l’écoute des autres quand notre subconscient ne cesse de nous influencer dans nos interprétations de la réalité
Bonjour Stéphane.
je continue à vous lire car j’aime votre façon de partager vos convictions.
je ne suis pas dans le jugement: vous racontez les choses à votre façon et surtout avec votre cœur.
il faut prendre vos histoires comme vous êtes, et elles ont toujours une belle morale.
et cela certainement parce que vous êtes un homme bienveillant.
Bonjour Stéphane,
J’ai relu cette histoire avec plaisir. C’est un bel exemple de communication d’énergie positive. Comme vous savez si bien le faire à travers ces billets qui viennent régulièrement éclairer notre quotidien. Merci!
Jean-Michel
C’est chaque fois une expérience chaleureuse, profonde et tendre de lire ces histoires de Vie ! vous êtes un “raconteur” né …
Oui , on oublie souvent le plaisir des choses simples, le bonheur de partager des instants avec ceux qui nous sont chers et d’apprécier de le faire….
Bonjour Stéphane et Merci pour ce très beau message. Une très belle histoire, pleine d’enseignement. Et oui, lorsque que l’on va bien physiquement ou moralement, lorsque l’on se trouve dans une sphère positive, alors notre vision et notre perception des choses se traduit par un sourire, tout est synonyme de Bonheur. Le reste devient secondaire. Pourquoi faire venir des clowns dans un hôpital pour enfants, pourquoi organiser avec des classes de primaire un goûter dans une maison de retraite ? La pire des souffrances s’amenuise dans une ambiance de joie et de rires. Malheureusement, en sens inverse, une personne seule, non comprise, sans écoute de son entourage… traduit souvent son mal être par des maux fréquents plus ou moins invalidants. Ses objectifs sont toujours freinés, ses projets contrariés, etc …
Bonjour,
J’adore cette histoire et je l’ai toujours dans mon agenda car elle me permet de faire attention aux lapsus que je peux faire ou que les autres font.
et oui l’auto coaching c’est pas facile c’est même parfois un “sport de combat”. Alors oui, je reste car j’y trouve mon compte. Quand il me faut prendre de la hauteur, quand je me débats et que je dois réfléchir car je ne percute pas toujours du premier coup.
Je reste parce que c’est un exercice constant et une attention à soi et aux autres. Cette lettre est un peu un chemin pour prendre la responsabilité de sa vie. Elle jalonne mon travail personnel et me rappelle que si je prends le temps, j’apprends et je prends de nouvelles habitudes. Je reste et je lis pour poursuivre la réflexion et devenir juste (dans ma position, mes choix, mon enthousiasme et mes erreurs).
Et il faut le dire aussi parce que cette lettre est agréable à lire et poétique, que l’auteur est aussi charismatique et bon conteur et déculpabilisante.
Vive l’autcoaching et
Le plaisir de relire ce qui est sans doute à peu près la même histoire.
Bref le plaisir de vous lire Stéphane 🙂
Merci!
Bien à vous,
Frédéric
Salut Stéphane,
J’ai tout de suite reconnu le titre d,une belle histoire que j’avais déjà lu, et je l,ai relu par plaisir.
J’ai redécouvert le début de l’histoire avec le mot “triste” que j’avais oublié. Déjà un bon point pour toi (et pour moi) j’avais gardé le meilleur 😉
J’en tire une émotion de nostalgie pour ce type de bonheur familial qui m’a plus ou moins échappé avec mes parents et aussi mes enfants. On regrette plus difficilement ce qui nous a manqué que ce que l’on a eu dans le passé ; mais comme tu n’est pas “psy” mais “coach” je n’approfondirai pas plus avec toi.
J’en retiens l’importance d’être disponible pour réagir aux “signaux faibles” alors que j’ai toujours une masse considérable de choses que j’aurais aimé faire depuis longtemps déjà, et que je souhaite encore terminer ; sans compter celles que je voudrais entreprendre !
L’idée de bénéficier d,un “cadeau” m’a intéressé … petite leçon de marketing après celle, récente, sur la pertinence de multiplier les relances.
A moins que tu ne remontes mon témoignage dans le club des 10 premiers (pour sa qualité 😉 ) j’ai raté le “cadeau” du jour … à moins que …
Ton retour aux messages écrits (plutôt que tes webinaires) ne soit un test commercial. Et comme je suis un client, tu vas tenir compte de l’expression de mon intérêt.
Je suis peu sensible à la “magie du direct” ; ils sont sujets à des difficultés techniques qui sollicitent un exercice de patience, hors sujet à ce moment ! J’aime de temps en temps aller à la pêche à l’inspiration pour mon développement personnel. Alors je lis des livres empruntés à la bibliothèque, ou des textes (dont les tiens) ; ou alors je trouve des vidéos (dont les tiennes) que je regarde d’une oreille en faisant d’autres choses qui me demandent peu d’attention. Il est alors important pour moi de pouvoir revenir en arrières de quelques dizaines de secondes quand il me semble que j’ai raté un passage significatif. J’aime aussi pouvoir revenir , pour moi ou pour partager, à des texte / vidéos qui m’ont inspirés.
Alors, si tu reviens à l’écriture, en développant les possibilités d’accès aux anciennes contributions (la zone “sur le même thème” dans cette page est un bon exemple), je serai satisfait.
Continues d’innover, je te suis …
Argg, mon logo “Account Killer” n’est pas très joli. J’avais un jour créé mon Gravatar avec ma photo. Je me suis apperçu qu’il apparaissait sur différents sites utilisant wordpress, comme celui ci. Comme je ne veux pas voir ma photo dans tous les site wordpress, j’ai voulu désactiver mon Gravatar, mais c’est impossible. J’ai donc mis ce logo pour exprimer mon désaccord de ne pouvoir supprimer mon gravatar, que je ne souhaite plus voir apparaitre. Désolé pour le dérangement.
Inspirant.
* On entend avec son cerveau plus qu’avec ses oreilles (biais perceptif).
* Les défauts/erreurs/lapsus/incompréhension/biais de communication peuvent être utilisés pour “lire” un état d’esprit.
* L’humeur des autres autour de nous change notre humeur intérieure (influence).
* On peut permettre à quelqu’un de changer son humeur intérieure (conditionnement).
* changer l’état d’esprit permet de modifier les erreurs/biais de compréhension
Bref, c’est de la manipulation 😉
Pour moi, c’est simple:
Né en 1946, mes premiers souvenirs conscients remontent à 1949, et le premier d’entre eux est la perception sensorielle et olfactive de la neige fondante avec laquelle mon père avait fait un bonhomme de neige, à Pontresina (Suisse)
Une histoire pour accompagner le retour de l’hiver avec les intempéries et le froid qu’il ne tient qu’à nous de transformer en moment chaleureux !