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Anne Marie
Anne Marie
9 années il y a

Magnifique !
Et si vrai…

olivier
olivier
9 années il y a

moi je verrais une autre fin : le père donnant le violon à son fils qui se met à apprendre à en jouer…..je dis ça parce que à 60 ans je me mets à jouer le violon de mon arrière grand oncle pasteur, que je n’ai pas connu……
euh, j’aimerais revoir le film de tarkovsky le sacrifice……
et je ne crois surtout pas à la valeur du sacrifice,comme le monsieur de cette histoire…..ni à la vie à travers ses enfants si vous voyez ce que je veux dire….

Patrick
Patrick
9 années il y a

si touchant et si vrai. On ne devrait jamais laisser ou oublier ses rêves. Ils sont l’essence même de notre vie. Merci Stéphane, j’aime beaucoup tous ces retours à l’essentiel. Merci

Veronique O
Veronique O
9 années il y a

Je ne sais pas si j’ai bien compris, mais où est le sacrifice de suivre sa passion ?
Le seul sacrifice que je vois, c’est celui du manque de sommeil, pour arriver à : “s’occuper de ses enfants” , faire correctement le travail pour lequel il est employé et rêver à de nouvelles machines – tester, – s’y remettre, recommencer à zéro, … et vivre et faire des choses merveilleuses.

Veronique O
Veronique O
9 années il y a
Répondre à  Stéphane SOLOMON

Si je te suis dans ton explication, le gentil ingénieur pas vraiment fou, ne fait aucun sacrifice, puisque au lieu d’avoir des rêves qu’il ne pense pas pouvoir atteindre car il gagne sur plein de plans et domaines: la sécurité d’emploi, le compte en banque, sa disponibilité pour sa famille, et le sourire du voisin (qui lui a mit la tête sous l’eau, car lui ne veut rien faire de perso dans sa vie, alors faut pas que le premier venu le lui rappelle) et il est en règle avec sa croyance que c’est mieux ainsi (même que son père lui “aurait” donné l’exemple de tout laisser tomber), il devient de surcroit un bon fils.
Ah, la la ! Raconte moi encore des histoires sur les entrepreneurs qui augmentent leur richesses perso en faisant de leur passion, leur activité pro !
Le vrai rêve, c’est de croire que tout va aller dans le sens désiré en un claquement de doigts et heureusement qu’on l’a pour continuer et se remettre au taf, quand ce n’est pas au point !
Très rigolo d’avoir les commentaires de ma mère, en ligne, alors que nous n’avons pas échangé à ce propos.
Sans doute que la pomme (moi) n’est pas tombée loin de l’arbre et j’en suis fort aise !

lalou
lalou
9 années il y a

tout d’abord un grand bravo pour le texte du mail d’accueil – juste, concis, et interpellant.
Puis le message :
A première vue, j’aime bien le “beau sacrifice” — mais ce n’en est pas un, car primo perdre ses rêves c’est gâcher sa vie, et la vie de l’entourage en devenant grognon, et un mauvais exemple.
Secundo, en suivant son rêve il aurait peut-être, sans doute, sûrement activé du “positif” dans tout son entourage et pour lui-même aussi
Donc, finalement je rejette ton idée de sacrifice. Totalement à côté de la plaque
Excuse de te contredire (çà aussi tu voulais entendre des lecteurs)
Lalou

Nicole
Nicole
9 années il y a

Bonjour à tous,

Parfois, je pense qu’il faut savoir temporairement abandonner un projet pour prendre un peu de recul et réfléchir non pas sur le projet lui-même, mais sur la manière de l’appréhender. Un projet ou un rêve peut être bon en soi, mais on n’a pas trouvé la méthode, ou encore il y a des modifications à faire au projet en lui-même pour qu’il soit réalisable, sans pour autant évidemment le vider de son sens. Le “temporairement abandonner” peut ne durer que l’espace d’une nuit, on le dit, la nuit porte conseille.

Pour moi, il ne faut pas abandonner trop vite. C’est dommage. La réussite dans une entreprise tient bien souvent à pas grand chose.

Aussi, en parler avec des proches permet de trouver la solution pour rendre viable l’aventure. La solution peut venir de la ou des personnes à qui on en aura parlé, mais aussi le simple fait d’exprimer à quelqu’un son objectif, nous fait trouver par nous-même la solution qu’on n’avait pas vue en tournant en rond ses idées dans sa tête.

Merci pour vos messages que je lis parfois avec bien du retard.

Nicole

fredeiricv
fredeiricv
9 années il y a

De retour des montagnes, j’ai lâché le silence, la fraicheur des nuits, les animaux sauvages….c’est là mon sacrifice pour retrouver ma maison, mes traites, mon internet, mes relations sociales, mon CONFORT. Est-ce vraiment un CHOIX ou seulement l’ELAN de chèvres passées ?
Je sais répondre à cette question mais pour moi la vraie question est “comment vivre pleinement et sereinement l’instant présent ?”. Alors, entre les stratégies court terme, moyen terme et les stratégies long terme, je me compromets pour un temps tout en continuant de construire …sans oublier de fleurir le chemin de musique, de poésie, d’amour et d’humour …c’est mon CHOIX et il me faut quelquefois retrouver le chemin de mon coeur face aux difficultés rencontrées, aux obstacles qui réveillent mon être réactif.

Il m’est bon aussi quelquefois de me rappeler que le principal n’est pas d’arriver quelque part mais le VOYAGE qui me mènera peut être autre part. Ce voyage, je l’aime en belle compagnie et celle de Stéphane est belle. Alors je me rappelle ce beau poème de Gandhi :

Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup
Il enrichit ceux qui le reçoivent
Sans appauvrir ceux qui le donnent
Il ne dure qu’un instant
Mais son souvenir est parfois éternel
Personne n’est assez riche pour s’en passer
Ni n’est assez pauvre pour ne pas le mériter
Il crée le bonheur au foyer
Il est le signe sensible de l’amitié
Un sourire donne du repos à l’être fatigué
Rend courage aux plus découragés
Il ne peut ni s’acheter, ni se prêter, ni se voler
Car c’est une chose qui n’a de valeur
Qu’à partir du moment où on le donne
Et si parfois vous rencontrez une personne
Qui ne sait plus avoir le sourire
Soyez généreux, donnez-lui le vôtre
Car nul n’a autant besoin d’un sourire
Que celui qui ne peut en donner aux autres.

Bonne journée à toutes et à tous
Frédéric

Sylvie
Sylvie
9 années il y a

cette histoire me ramène à ce que je vie actuellement ; en arrêt maladie, épuisement professionnel, dépression…pourquoi ? parce que je fais un métier que j’aime mais mal rémunéré, je me suis beaucoup donnée pour ce beau métier, sans jamais avoir de reconnaissance, je me sens dévalorisée et culpabilise pour tout, je vis dans l’angoisse, j’ai des enfants étudiants, je souhaite qu’ils réussissent mieux que moi, je remets aujourd’hui en question mon métier et envisage de trouver un travail quelconque qui sera mieux rémunéré pour enfin pouvoir aider mes enfants…j’ai mis aussi ma vie amoureuse entre parenthèses et j’attends que mes enfants soient biens et qu’ils réalisent leurs rêves…je suis mal et ne sais quoi faire…

Fabien C.
Fabien C.
9 années il y a

La notion de sacrifice est ambivalente dans le cadre de cette histoire. Je vois deux interprétations :
Ce peut être effectivement l’abandon par le protagoniste de la réalisation de son grand oeuvre, son rêve.
Cela peut être aussi le sacrifice des gens qui l’aiment et qui acceptent de le soutenir malgré les désagréments que cela implique. Tous ces proches sont des “sacrifiés” volontaires. C’est par leur soutien et leur abnégation que le protagoniste peut également arriver à ses fins.
Dans les deux cas, l’inspiration est au rendez-vous !

Ève Marie
Ève Marie
9 années il y a

Belle histoire qui fait réfléchir et suscite la discussion : c’est ça l’important. Il n’y a pas qu’une seule réponse à ce dilemme d’adulte, en particulier pour les familles. Il y a peut-être des différences généralisables dans la vision d’homme et de femmes?
Pourquoi faudrait-il absolument choisir entre les deux ? Peut-on sortir de la pensée en action dualiste ? Mais je dois être trèssssss idéaliste.
Dans ma trentaine, j’ai écrit un poème qui disait à peu près ceci : ils essaient de tuer nos rêves/car ils ont raté les leurs. Heureusement, j’ai réalisé cela assez tôt dans ma vie pour m’en protéger tant bien que mal. Au Québec, on a vu tous ces rêveurs sortir en masse dans les rues pendant le «Printemps érable» en 2012, lors de la grève de 6 mois des étudiants. Les derniers mois sont devenus un vaste mouvement social suite à une loi très dure anti-manif et liberticide d’expression. Les «rêveurs» n’avaient pas pris la parole publiquement depuis 50 ans. On était dû! Depuis, le mouvement braise tranquillement, attendant sa suite. De très nombreuses et merveilleuses publications sont sorties de là. Les hommes et les femmes de cœur ont pris leur place dans la vie publique, peut-être une projection de leur évolution dans leur vie privée.

Benoit Consigny
Benoit Consigny
9 années il y a

Bonjour !
J’aimerais partager ici une histoire que j’ai lue dans “Success Principles” de Jack Canfield.
Un professeur demande a ses eleves (env. 15 ans) comment ils se voient dans 10 ans. Un des eleves se decrit comme dirigeant d’un ranch plein de chevaux. Pourtant, il vient d’une famille tres pauvre, et un tel reve est “quasi impossible” a realiser pour lui.
En rendant les copies, le prof. va vers cet eleve et lui dit : je vous ai mis 5(/20, car votre reve est impossible. Si vous le voulez, vous pouvez ameliorer votre note en reecrivant votre redaction de maniere plus realiste.
A cela, le jeune repond: “Gardez votre 5, moi, je garde mes reves…”
Bien cordialement,

Benoit

Winter
Winter
8 années il y a

sheknows I think the President will allow the states to use ditsneciorary judgement in cases of possession. Anyone in possession of more than on ounce, will probably be charged with possession with intent to sell. The federal govt. is not going to change it’s position on drugs by any means. The most noticeable difference will be that weekend partiers and medical users will no longer be hauled down to the station and their prisons and courts will not be overburdened with silly cases. No one will be opening up any shops, and neither state will turn into Amsterdam.

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