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Mélina Pereira
Mélina Pereira
6 années il y a

Cet article me ramène à mon rapport à l’argent et ce qui me met mal à l’aise c’est le PWYW. Je ne connais pas la valeur des choses, les prix m’étaient cachés ( encore le weekend dernier, j’ai récupéré le piano sans avoir le droit de connaître le prix de son achat il y a plus de 25 ans). Lorsque je réfléchis à quel pourrait etre le montant de ma participation, j’ai toujours le sentiment que ce n’est pas suffisant et généralement je préfère ne pas participer

Mélina Pereira
Mélina Pereira
6 années il y a
Répondre à  Stéphane SOLOMON

Dans ce cas comment savoir combien payer à l’entrée ?

Mélina Pereira
Mélina Pereira
6 années il y a
Répondre à  Stéphane SOLOMON

Mon problème est que bien souvent c’est à l’entrée que le paiement est demandé et non à la sortie. Je ne sais pas d’avance quel sera mon bénéficie

RUBY
RUBY
6 années il y a
Répondre à  Stéphane SOLOMON

Stéphane, merci de remettre le Pwxyz ce que vous voulez sur le devant de la scène. Je crois que peu de gens sont prêts ( en tout cas pas moi, pas encore) pour optimiser ce type de fonctionnement. Mais c’est bon de le ré-expérimenter !!! Je l’ai déjà utilisé, l’utilise un peu comme je le sens, pour soigner que je suis « un skeezbee free ? »
Que de mots compliqués pour signifier que notre plus grande maladie, l’argent, est aussi notre plus belle solution (??) Souvent ( lorsceque nous nous ennuyons?) nous avançons mains tendues pour prendre et donner de l’argent. Trop souvent, à mon sens ! Pour cette raison (et aussi par héritage familial généreux) je suis un néebifree-ski, un citoyen frisquet qui s’interoge sur son besoin de consommer.
En ce qui concerne tes prestations Stéphane, j’en profite depuis très longtemps. Je crois que tu es bon pour ma cause et suis heureux de te lire … souvent ! J’ai confiance en tes pitreries, te remercie de secouer la fourmilière, dont je suis. Pour continuer de soigner ma maladie d’argent je te donnerai 50€. Parce que c’est pour moi une somme signifiante, et que dans un système décimal ou 10 ne vaut presque plus rien, 50 vaut encore quelque chose.
Je ne t’achète pas le programme gratuit qui vient, avec toutes mes adresses et maladresses juste je te dis je t’aime bien, j’ai confiance en toi, merci.

RUBY
RUBY
6 années il y a
Répondre à  Stéphane SOLOMON

Stéphane,

je ne reçois plus aucun message :
– ni tes conseils pour mieux appréhender le skeezing be freek,
– ni le lien du payez ce que vous voulez.

Est-ce normal ?
Amitiés,

RUBY
RUBY
6 années il y a
Répondre à  Stéphane SOLOMON

Bonjour Stéphane, y a-t-il un lien pour que je puisse consulter tous ces articles que je n’ai pas pu lire ? Tu n’es ni dans mes spams ni dans ma boîte aux lettres.

Daniele
Daniele
6 années il y a

pwyw,
En théorie j aime bien et si je vendais qq chose, c’est certainement le concept que je préférerais, en pratique pas trop. Donner trop peu et c’est injuste et vexant, donner trop, cela peut être mal perçu ou gênant. Même difficulté pour les cadeaux, les collectes pots, les pourboires. C’est plus pour moi une difficulté de choix et de l assumer et que la dépense reste raisonnée. Donc en général, j accepte le deal qd même, je paye mais avec une inquiétude latente ou me fie à ma connaissance des prix ou une recherche. Et qd les coûts sont partagés, j’espère juste avoir une bonne idée du nb de participants et qu ils aient une démarche similaire ou complementaire ni en quelque sorte me faire avoir. Pour en revenir au freebie seeking, c est la méconnaissance du modèle economique, de l impact et du coût qui me font “fauter” ainsi peut-être que d avoir une entreprise à payer plutôt qu une personne reelle et identifiée en face de moi dont je peux imaginer le travail concret.

geneviève rozental
geneviève rozental
6 années il y a

Moi, au contraire j’en ai marre de tous ces cadeaux publicitaires qui vous arrivent avec la moindre commande et dont je n’ai rien à faire.

Bertrand
Bertrand
6 années il y a

Merci pour cette généreuse et intéressante initiative Stéphane! 😉

Myriam
Myriam
6 années il y a

Je n’avais jamais entendu ce mot ! D’ailleurs je n’avais pas non plus immaginé que cela puisse être un “sujet”, c’est à dire une pratique active et généralisée.
Mais ça m’intéresse ce programme. Je sens que je vais y découvrir des pépites qui vont m’aider !

D’ailleurs je me rends compte à quel point, je le voyais sous un autre angle : Je croyais que globalement on “tombait dans le panneau” (et qu’on s’en rendait compte à un moment). À l’époque des commerciaux que l’on rencontrait en physique ou au téléphone, c’était très compliqué de leur faire comprendre qu’on ne voulait pas de leur truc, même si c’est gratuit ! Ils sont bornés !
Mais du coup, oui je réalise l’ampleur du phénomène avec internet.
En plus, on observe dans mon domaine des choses similaires, mais je l’avais attribué au peu de considéraration générale pour la valeur du travail en photo. C’est récurrent et ça augmente encore : c’est dû aussi à la croyance que “si c’est sur internet, c’est gratuit”. Je ne sais pas encore si tous les exemples que j’ai en tête sont du Freebie Seeking, mais y a surement un rapport : quelque-chose de plus large que la photo.

Mélina Pereira
Mélina Pereira
6 années il y a

Deuxième lecture et je me demande si l’inverse existe ? Est-ce qu’il est possible que des gens n’arrivent pas à franchir le cap de proposer du payant à certaines personnes ? Est-ce quil existe des donneurs qui se refusent d’être payés?

Daniele
Daniele
6 années il y a
Répondre à  Mélina Pereira

Si c est leur mission de donneur, pourquoi pas. Si non, en quoi cela ne mérite- t’il pas d être payé ? Si qqn d autre fait la même chose, offre le même service, le merite t il? Est ce que ce n’est pas un sentiment de culpabilité justement parce qu en face certains ne voient que par le gratuit et voudraient imposer leur normalité?

olivier
olivier
6 années il y a

dans mon église- protestante- on a réfléchi depuis longtemps sur le don, on donne ce qu’on veut, et on préfère un don joyeux…..ce n’est pas pour payer la parole de Dieu, ou la bonne nouvelle libératrice de l’évangile, mais pour que l’église aie les moyens de répandre cette parole, de continuer à former les pasteurs et les payer comme si c’était un vrai métier…..l’idée aussi est celle du partage, que ceux qui ont peu ne manquent de rien, et que ceux qui ont beaucoup n’aient rien de trop…..
danielle plus haut parle de la mission du donneur, et je pense que stéphane , dans sa patience a envoyer des articles auxquels on ne répond pas, est un vrai missionnaire !

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