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lalou
lalou
9 années il y a

merci Stéphane, de ta limace rigolote. Je ne sais pas si elles mangent de la graine, alors mets-en dans ton potager à la place du basilic (une petite plante a été dévorée en une nuit chez moi). Car toi, tu nous mets de la bonne graine à l’esprit !
Bonne journée – Lalou

Jacqueline
Jacqueline
9 années il y a

Très drôle, cette métaphore ! L’article n’a pas du tout le même sel si on n’a pas lu l’article précédent..
Comme j’ai tendance à culpabiliser sur tout et sur rien, je me suis tout d’abord prise pour une limace. Mais non, j’aime trop les hérissons : je ne dois pas être une limace.
Je me suis alors demandé ce que peut bien représenter le hérisson dans cette jolie histoire. Peut-être le fameux tétragramme ? Il ne gène finalement que les limaces ….

Bonne journée à tous

Jean-Baptiste
Jean-Baptiste
9 années il y a

Youahou, la qualité de l’article !! Ça boost 🙂
Le parallèle avec le précédent est génial et plein de sens.
Merci !

Fanny
Fanny
9 années il y a

Cicéron a dit, “si vous possédez une bibliothèque et un jardin alors vous avez tout ce qu’il vous faut”. Je ne sais pas ce qu’il en est de la bibliothèque, mais le jardin se pose plus qu’en une recherche simple d’obtenir une récolte (=performance). Stéphane, je crois que vous êtes le premier à prôner de lâcher le but au profit du chemin. Quand je jardine, le simple fait de bêcher, d’enlever les mauvaises herbes, ou de choisir de les mettre en valeur, de semer, planter, biner, arroser, me reconnecte à la terre, au perpétuel recommencement, aux aléas (les pluies, la grêle, les limaces…), à la vie quoi. Je crois que ce sont les seuls moments où mon esprit est vraiment là, présent et ne divague pas (=tourne en boucle!). Je sais que je peux avoir des fruits et des légumes fantastiques comme rien du tout, mais ce n’est pas ce qui me guide. Je recherche saison après saison mon shoot d’endorphine, comme les coureurs de fond. Ma meilleure façon d’évacuer l’agacement et la colère…je tond la pelouse!

Caroline
Caroline
9 années il y a
Répondre à  Fanny

Tout à fait en osmose avec Fanny ! Mon potager était (j’ai vendu ma maison) mon domaine, mon refuge, mon œuvre. C’était le potager “de maman”. Ca donnait plus ou moins mais c’était formidablement “reconnectant” avec moi-même et avec le cosmos -ou l’univers si vous préférez-.
Mes fraisiers donnaient peu mais chaque fraise avait un goût incroyable de satisfaction et de fierté. Mes tomates cerises grimpaient au milieu de l’olivier et le décoraient de jolies petites boules rouges gourmandes que les enfants avaient plaisir à ramasser pour l’apéritif. Mes artichauts ? Les meilleurs du monde….
Mon potager est devenu un vilain terrain vague en friche car les nouveaux occupants sont… trop occupés. Quel dommage pour eux.

Marielle MONTRESOR-TIMPESTA
Marielle MONTRESOR-TIMPESTA
9 années il y a

Merci, c’est aussi pas mal de reformuler les concepts en utilisant plusieurs exemples différents. Je me rends de plus en plus compte d’à quel point les déceptions passées conditionnent le futur. C’est une réflexion que je vais continuer à approfondir : apprendre de ses erreurs sans lâcher ses objectifs… Merci Stéphane

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