Voilà une dizaine de critiques que je reçois concernant le fait que les articles de TIME-COACH ne sont plus aussi utiles qu’avant. Avant quoi ? Ce n’est pas précisé. Auriez-vous une idée ? J’ai quelques soupçons. Mais avant d’y revenir j’aimerais vous présenter un cas d’école de Communication :
La fréquence
Vous avez certainement déjà entendu, et peut-être même utilisé, l’expression «nous n’étions pas sur la même longueur d’ondes». Illustrons-la grâce à un exemple :
Adam est père de famille. Il traverse une épreuve professionnelle difficile. Lui qui aspire à être très présent pour les siens, n’a pas pu participer aux activités familiales depuis 2 semaines parce qu’il a pris un retard considérable qui risque de porter un coup fatal à sa petite entreprise. Il traverse ses journées de contrainte en contrainte… Ne voyant pas le bout du tunnel.
Après le dîner, il se remet tout de suite au travail. Et alors qu’il termine une analyse complexe sur son tableur, sa femme lui lance :
– Tu te souviens de la dernière fois que tu as préparé à manger ?
Adam est bouleversé. Voilà 15 jours qu’il part aux aurores et qu’il rentre tard… Trop tard pour profiter de ses enfants. Trop tard pour faire quoi que ce soit avec ceux qu’il aime. Il craque ! Rien que ce matin, il a failli pleurer, parce qu’un client lui a demandé d’ajouter une option à son devis. Le reproche de sa femme est la goutte d’eau. Il lui répond :
– Oui ! Je m’en souviens ! Ne fais pas comme si c’était il y a une éternité, tu vois bien que je lutte jour et nuit pour nous sortir de la galère… Si tu vivais le dixième de ce que je traverse, tu serais déjà chez ta psy ! Je dors à peine 5 heures par nuit depuis 10 jours ! Je suis épuisé ! Je ne vois plus les enfants ! Je repousse toute proposition de loisirs d’où qu’elle vienne, et toi, au lieu de me soutenir, tu me reproches de ne plus t’aider ? Je me suis mis là pour sentir ta présence, ton parfum, ta douceur… Mais si c’est pour écouter tes blâmes, je préfère être seul !
Sur ces mots, en larmes, il prend son ordinateur portable, arrache la prise avec une violence qui ne lui ressemble pas, et va s’isoler dans son bureau, laissant sa femme médusée.
Parce que sa petite femme (nous l’appellerons Eve) n’émettait pas sur la «fréquence reproches», mais sur la «fréquence Amour». Si son mari avait été sur la même fréquence, voici à quoi aurait ressemblé ce dialogue :
– Tu te souviens de la dernière fois que tu as préparé à manger ?
– Oui, j’y pensais encore toute à l’heure… Ca me manque !
– C’était délicieux ! J’aimerais bien que tu me donnes ta recette
– La polenta aux courgettes ?
– Oui… Je vais la préparer pendant que tu termines ton dossier. Demain je prendrai une pause un peu plus longue pour te rejoindre au bureau. Nous pourrons déjeuner ensemble, juste toi et moi. Chaque matin je te vois faire ton sandwich pour manger sur le pouce… J’aimerais t’aider du mieux que je peux. Nous allons traverser cette épreuve ensemble…
—–
Un simple quiproquo ?
Ce n’est qu’un petit quiproquo n’est-ce pas ? Mais certains quiproquos qui devaient se terminer par des galipettes, finissent au tribunal, tout simplement parce que l’émetteur et le récepteur ne sont plus sur la même fréquence, temporairement. Vous pourriez me répondre qu’Eve s’exprime mal ! Qu’il y a une façon plus adroite d’entamer la conversation… Elle aurait pu dire directement :
– Mon Amour, peux-tu me donner la recette de ce délicieux plat aux courgettes que tu nous as préparés il y a 15 jours ?
C’est sûr ! Il y a toujours une meilleure façon de communiquer. Seulement voilà : Eve n’a pas changé de mode de communication, et sa façon de s’exprimer n’a jamais posé de problèmes à son mari. Mieux encore : il y a de fortes chances qu’il aime sa façon candide d’entrer en matière, et que c’est ce qui les a mis en contact quelques années auparavant…
C’est l’état mental d’Adam, associé au sujet de la discussion qui crée une distorsion dans un message qui, dans ce couple, n’a aucune raison de créer du stress, habituellement… Eve n’était pas malintentionnée. Pour pouvoir entendre l’intention amoureuse qui se trouve dans sa question, Adam doit s’autoriser à penser que sa femme est toujours amoureuse.
Revenons à nos moutons
Pour que vous puissiez me trouver utile, autorisez-vous à penser que j’écris toujours par sentiment d’utilité.
J’émets toujours sur la même fréquence. Je travaille et je peaufine mes articles des heures durant pour qu’ils soient accessibles. Si je communique plus librement qu’au début (humour, attitude décomplexée, histoires personnelles, etc.), c’est parce que nous nous connaissons mieux. Mais l’Energie est la même : chacun de mes articles est écrit dans un sentiment d’utilité.
Retrouvez la bonne fréquence :
Relisez ma première «pub» sur le programme MOTIVATION++, et dites-moi si vous y trouvez quelque chose d’utile. Attention, je parle d’utilité dans votre gestion du temps : d’une astuce ou une technique qui se trouve à l’intérieur de ce court dialogue, dont vous pourriez vous inspirer pour l’appliquer dans votre quotidien, que ce soit au bureau ou à la maison.
Idem pour les messages qui ont suivis :
Votre nouvelle perception vous permet-elle d’accepter l’idée qu’intéressé ou pas par le programme MOTIVATION++, inscrit ou pas, tout lecteur peut, s’il le souhaite vraiment, bénéficier de la lecture de ces articles qui contiennent bien plus que des arguments publicitaires ?
J’attends vos nombreux commentaires, ainsi que de nombreuses inscriptions. Ca commence lundi !
A++
Stéphane SOLOMON
Je trouve tout cela UTILE et utilisable au quotidien car chacun peut s’identifier aux personnages et “comprendre de l’intérieur”, c.-à-d. Ressentir…de plus c’est écrit sans jargon technique donc compréhensible par tous!
MERCI et bien cordiales salutations!
Oui, c’est ce côté accessible qui plaît aux uns, et pas aux autres (qui préfèrent le jargon technique).
Je m’adresse donc aux uns, qui sont sur la même fréquence que moi.
Merci Béatrice.
j’approuve le coté quotidien et facilement compréhensible même si le coté rappel aux concepts techniques sont importants aussi
cordialement
Bernard
bonjour Stephane
oui toujours utile, car il y a toujours un recadrage qui nous concerne à un moment ou un autre. Qui nous a un jour concerné et l’on s’en souvient, c’est donc une piqûre de rappel, ça fait toujours du bien. Ou c’est une situation a venir et ce jour là on sera prêt.
Donc merci beaucoup
Annick
je partage pleinement la réponse d’annick ( il y aurait-il une similarité des prénoms/charactères ?, j’y crois!) je perçois beaucoup de doutes de Stephane depuis quelque-temps, alors, malgré mon manque de temps actuel ( malgré Time Coach) à relire…je veux dire à Stephane : OUI VOUS ETES UTILE ! et ce dernier coaching m’a “botté les fesses” car je suis en plein dans ce potage,et vous essayez de m’en sortir
MERCI MERCI MERCI!!!!!!!!
Bonjour Annick(2),
Oui, il y a de l’Energie dans les prénoms. Je le crois aussi. C’est ce qui nous distingue des créatures et fait de nous des créateurs.
Même un hamster n’est qu’un rongeur, jusqu’au moment où un enfant lui donner un prénom. Alors ils créeront ensemble tout un univers.
TIME-COACH a dépassé le cadre de la gestion du temps depuis longtemps. Il faudrait revenir ua tout début de l’aventure si vous voulez réintégrer les base de la gestion du temps. Maintenant, nous gérons le monde internet/monde externe, dont le temps fait partie. Il est toujours là, amis ou ennemi, au choix.
Il n’y a pas de doute dans ce que je fais. La vraie question est ce qu’en font mes lecteurs. Car je souhaite aller de l’avant, et j’ai besoin d’énergies diverses. Ecrire pour moi seul n’est pas assez motivant (pour moi).
A++
Stéphane
Bonjour Annick,
Gratitude !
Car loin de partager TOUT ce que je dis (ce que je trouve aussi absurde que de tout refuser), vous savez ME RENDRE UTILE, en prenant ce qui vous est confortable, et en sortant de votre zone de confort sans jamais vous mettre en danger.
C’est ainsi que vous évoluez : artistiquement.
Beau style.
A++
Stéphane
Bonjour,
personnellement, j’ai “décroché” lors d’une série d’articles (je ne saurais vous dire lesquels précisément) que vous aviez envoyés et que j’avais trouvé trop “conceptuels”, abstraits. En tant qu’artiste professionnel, je ne suis pas opposé à cette approche, mais je trouve simplement qu’elle ne se prête pas à ce mode d’e-learning qu’est le vôtre, plus propice à des modules synthétiques, concrets et “directs”.
Depuis j’ai vu passer des modules plus en adéquation avec cette forme. Mais j’avoue aussi que pour moi les sensibilisations, formations et autres stages ne s’enfilent pas comme des perles et méritent toujours un temps de “digestion” et de mise en application.
Et puis, pour finir, mon métier m’a fait suivre d’autres formations ces derniers temps qui méritent elles aussi assimilations et maturation.
Cela ne remet pas en cause la pertinence de vos contenus.
Bonne route pour la suite.
Loïc
Bonjour Loïc,
C’est fou le nombre de personnes qui prennent TIME-COACH ou ses programme satellites pour des formations…
Pour rappel :
– Une formation vous permet d’acquérir de nouvelles connaissances : un savoir ou un savoir-faire. Il y a un maître et un élève. Le maître en sait plus que l’élève sur le sujet enseigné (c’est préférable).
– Un coaching vous permet de vous SERVIR de ce que vous avez déjà appris et dont vous ne vous servez pas (ou pas assez). Si le processus de coaching permet de découvrir qu’une formation est nécessaire, le coach vous aide à choisir votre formation, mais il ne vous formera pas lui-même (sauf s’il en a les compétences).
Ni la formation, ni sa longue maturation ne vous permettent d’utiliser de façon optimum ce que vous apprenez. Un coach peut vous mener vers cet optimum, même s’il ne sait pas se servir de l’outil, du moment que vous savez le faire ou que vous savez comment vous former.
Le coach n’est pas le champion. Sauf dans un cas d’auto-coaching.
Son rôle est de vous aider à passer à l’action, de préférence avec enthousiasme, car l’action contrainte, elle, n’a pas besoin de coaching. Il suffit d’agiter le bâton.
Je viens de coacher un client qui avait chez lui plus de 120 livres sur le Développement Personnel. Il en achetait régulièrement (et avait aussi des éditions originales qui avaient plus de 40 ans transmises par son père, et qu’on ne trouve plus en librairie). Après 3 séances de coaching, il s’est passé un truc extraordinaire : il s’est mis à les lire ! Aujourd’hui, ce coaching est un entretien entre passionnés. Parce que lorsqu’il lit un livre, il a besoin d’en parler avant d’appliquer.
Le coaching n’est pas une formation, c’est un processus qui vous mène vers la performance. Tout ce que vous savez se met à briller, même si vous pensiez a priori que la lampe était grillée.
A++
Stéphane.
Bravo pour cette mise au point Stephane !
Bonjour,
Je ne partage pas toute votre explication mais cela n’a pas de réelle importance car je partage la conclusion :
Moi je pense qu’il s’agissait effectivement d’un reproche et je pense qu’effectivement elle n’est pas sur la même longueur d’onde qu’Adam – qui se debat avec son entreprise, alors qu’elle ne voit que la non disponibilité de son mari, enfermée qu’elle est dans sa vision personnelle à court terme. D’où d’ailleurs le reproche « tu ne fais rien pour la maison et tu ne t’occupes pas des tiens du moins directement »
Cette vue à court terme et reduite à sa personne entraine un affrontement parce que lui aussi est dans une vue limitéé : de sortir sa petite entreprise – par contre l’un comme l’autre devrait mettre en place un système pour que ce genre de situation ne s’eternise pas et qu’elle evite de se reproduire – et le premier point est de communiquer avant et de ne pas se complaire dans certaines situations à l’occasion de …et aussi d’être de bonne foi…
La conseptualisation des comportements quotidiens est un exercice interessant qui permet de les simplifier et d’y voir plus clair et de remedier plus facilement à leur résolution – si on s ‘en ecarte alors le discours devient lassant et la communication passe moins bien ou pas
vilà un petit avis rapide
Bon courage
BD
Bonjour Bernard,
Vous voulez dire que Marie a changé de discours en voyant son mari réagir.
Ce n’est pas du tout ce que j’ai décrit. Marie avait l’intention, dès le départ, de proposer à son mari de l’aide, afin qu’il ne se sente ni coupable ni seul. Mais elle s’est exprimée comme d’haibtude (en commençant par une question courte), et il n’a pas su faire face à ce qu’il prenait pour un reproche, mais qui était loin d’en être un.
je vais relire mon propre texte, pour essayer de comprendre ce que vous avez compris… Mais ça va être dur !
Bon courage,
Stéphane
Bonsoir Stéphane,
Vous nous posez la question de savoir si vous êtes utile à vos contacts et vous justifiez votre question en évoquant une dizaine de critiques.
Vous évoquez aussi le message de Marie et votre réponse.
Et puis Adam et Eve qui échangent à propos de leurs courgettes.
Je dois vous avouer ceci : lorsque j’ai accepté de vous lire, c’était bien sûr par intérêt. Vous m’intéressiez.
Je n’ai jamais souscris à l’un de vos programmes par souci financier. Il se trouve qu’à l’époque j’étais sdf.
Sdf de luxe certes, avec des moyens techniques mais sdf tout de même, cherchant parfois les 10 cts qui me manquaient pour acheter du pain. J’ai utilisé internet pour sa “gratuité”, et pour la bouée de sauvetage qu’il représentait pour moi dans cette situation.
Depuis, j’ai changé de vie. Disons pour résumer que ma nouvelle vie est assez dure (très dure en fait pour tout un chacun), mais plus douce pour moi parce qu’elle est constructive même si beaucoup n’en voudrait pas.
Tout ça pour dire quoi ?
Je vous lis par intermittence, je ne peux relever mes mails que trois à quatre fois par mois et je vous lis toujours.
Je me rends compte que pendant mon précédent naufrage, avant d’accoster sur une île hostile, mais terre salutaire tout de même, vos mots faisaient écho à mon désir de retrouver une place dans le monde que j’avais connu.
Je n’ai aucune envie de me désinscrire de votre newsletter, même si je ne peux la lire régulièrement, tout simplement par reconnaissance. (alors que je n’ai souscris à aucun de vos programmes).
Je comprends cependant les critiques qui vous sont adressées. Nous changeons tous, et vous avez change aussi.
J’imagine simplement (pardonnez-moi) que vous avez omis de renouveler votre façon de vous exprimer.
J’imagine surtout que plus votre expérience vous ouvre à un monde et plus il vous ferme à un autre.
Peut-être est-ce quelque chose de ce genre qu’expriment vos détracteurs
Je comprends aussi que vous vous serviez de cette désaffectation sporadique pour faire passer votre message sur la fréquence. Ces critiques sont effectivement un support.
Je ne veux critiquer personne, ni vous, ni vos détracteurs.
Vous lire m’a fait rappeler qu’un monde existe toujours.
J’ai pris le choix d’un autre mode de vie, d’un autre monde.
Ce fut une décision très difficile, mais c’était juste mon monde.
Et parce que j’ai déjà realisé une partie de mon programme, il est vrai que je ne suis plus sur la même fréquence, sourire.
Mais c’est humain.
Et puis merci quand même, vous m’avez permis quelque part de patienter le temps de trouver le courage de prendre les décisions qui me mènent à ma propre vie.
Merci Stéphane.
Bonjour Olivier,
J’ai été SDF de luxe… En ce qui me concerne, le luxe était les amis, la famille, et surtout l’Amour de ma compagne qui n’a jamais changé d’intensité, même par temps contraires.
Je ne sais pas où se trouve le luxe en ce qui vous concerne, car vous restez discret, et je ne vous en demande pas plus. Mais vous savez aussi bien que moi qu’il n’et pas dans les moyens techniques. Il est dans la possibilité de dire à quelque’un «je voudrais venir dormir chez toi», et de s’entendre répondre «je vais te préparer ton plat préféré» au lieu de «Eh bein au fait, c’est à dire que là, en ce moment, ça tombe mal, parce que je sais que tu es végétarien, et ce soir on mange de la viande».
Ce n’est qu’une image, elle vaut ce qu’elle vaut, mais c’est le fond.
Je n’avais pas forcément un caractère facile pendant cette période. Disons que j’étais changeant… J’étais plein d’espoir lorsque les choses semblaient s’arranger, et furieux contre tous, lorsque ça allait mal… En particulier contre ceux qui m’ont mis là.
Mais il y a une personnes que j’ai oubliée dans les responsables de ma situation, c’était moi-même. Et tant que j’oubliais cette personne, elle m’oubliait aussi, me faisant croire que «la société» n’était pas accueillante.
C’est la lecture qui m’a sauvée, et pas n’importe quelle lecture. Je lisais tellement de livres sur le Développement Personnel, qu’un jour ça a fait TILT ! Non seulement j’étais responsable de ce qui m’arrivait, mais certaines personnes (et certaines institutions) que je prenais pour des ennemis, étaient des amis.
Je ne dis pas que tout le monde est ami. Je n’ai pas encore réussi à atteindre cette dimension. Mais je suis passé de :
– C’est à cause de ton associé, c’est un pourri qui a gâché ta vie, c’est lui qui a coulé ta société, c’est lui qui t’a emmené au tribunal, c’est à cause de lui qui tu as dû quitter ta vie
à
– C’est toi qui a choisi ton associé ! Personne ne t’a obligé à le faire. Tu as voulu le changer, en faire un «homme bien», le ramener à plus d’estime de soi, donc plus de morale vis à vis des autres, alors que lui, essayait de t’attirer vers son monde fourbe. Tu as résisté et il t’a cassé ! A l’avenir, préserve-toi des toxiques avec souplesse.
Et j’ai pu reconstruire ma vie. Il m’a fallu 2 années pour que «Jean Valjean» (re)devienne «Monsieur Madeleine». Internet, qui venait de vivre sa grande entrée en France m’a beaucoup aidé.
Le Développement personnel m’a permis de faire mon retour vers la formation, et vers mes premiers pas en tant que coach. Car ma volonté d’aider les autres ne m’a pas quittée. J’ai juste situé ma limite entre l’AIDE et le SAUVETAGE, car je n’ai pas la dimension de mère Thérésa et autres personnages illustres qui savaient absorber la souffrance pour en faire de la lumière. Je connais mes limites. Même je me promène souvent au delà de ma zone de confort, je sais qu’il y a un point de rupture à ne plus dépasser.
Il n’y a pas un monde, Olivier, il y en a deux : le monde extérieur, et le monde intérieur. Comme Adam, comme tout le monde, vous vivez dans votre monde intérieur, et vous vous manifestez dans le monde extérieur. Celui-ci vous donne un RESULTAT. Une fois ce résultat en votre possession, votre monde intérieur en fait ce qu’il veut. Ils pourraient être des millions à vous dire que «c’est nul», vous, vous avez la possibilité de trouver ça sublime. L’inverse est également vrai. Vous avez cette liberté.
C’est vous qui décidez de ce que vous voulez faire de votre monde. Et s’il vous surprend, c’est parce que sans ce côté imprévisible, la vie serait insipide. Mais ce n’est pas pour que vous changiez de direction, sans votre consentement. Au mieux, vous suivez une proposition, et vous en faites un choix.
Si vous avez l’impression qu’en réalisant VOTRE programme, nous ne sommes pas sur la même fréquence, c’est que je ne vous suis pas utile : je ne sais pas vous écrire, ou vous ne savez pas me lire.
Ma mission est de faire en sorte que les gens qui viennent vers moi, trouvent leur voie : qu’ils puissent faire de la musique s’ils sont musiciens, de la science s’il sont scientifique, de la magie s’ils sont magiciens… Je ne fixe pas votre destination : c’est vous qui la fixez, je ne fais que conduire la diligence.
Comme vous le voyez, vous n’avez pas adhéré à un quelconque programme payant ni participé au PWYW, et pourtant vous bénéficiez toujours de TIME-COACH.
Vous n’avez pas l’intention de participer à la nourriture et aux soins de l’attelage, et pourtant, je viens de vous réserver du temps, et vous savez que c’est une denrée précieuse pour moi.
Tant que vous déciderez d’être bénéficiaire à mon contact, vous serez le bienvenu. Si j’oeuvre pour que davantage de personnes achètent de l’avoine pour les chevaux, c’est aussi pour que vous puissiez continuer à voyager.
Même si vous êtes végétarien, il y aura toujours de la polenta aux courgettes par ici. Relisez ma campagne PWYW, et vous verrez qu’une partie du message, et non des moindres, concerne cette solidarité.
Certains lecteurs payants sont partis à cause de ça ! Considérant qu’ils ont trop payé pour les autres. J’en suis ravi pour eux, pour vous, et pour moi.
La vie continue… Ils seront à nouveau les bienvenus quand ils le souhaiteront. Il suffit de demander.
Votre dévoué,
Stéphane SOLOMON
Bonjour Stéphane,
Quelque chose d’utile dans l’annonce du nouveau programme?
Par exemple:
Extrait:
“- Vous devez rassurer les autres. Ca rassure toujours un petit discours commercial et juridique. C’est la dure loi du commerce.
– Pour le moment, je me fie à la douce loi de la Confiance.”
Commentaires:
Qu’est-ce qui “rassure” les autres, et les uns d’ailleurs?:
Tout d’abord la non inquiétude de celui qui propose et invite, sa confiance en lui-même et en moi (quel que soit le “moi”).
Ensuite sa manière d’argumenter: en reprenant le mode d’expression du contestataire et en le transformant. Ainsi, “dure loi du commerce”, devient “douce loi de la confiance” et plus loin: “technique d’exclusion” devient “forme d’attraction”.
Et sa façon d’opposer à une attaque directe “- C’est très prétentieux… C’est même mégalo !” un changement de point de vue plutôt qu’une justification.
Ainsi, toutes les propositions fermées deviennent des invitations ouvertes, ça tombe bien, c’est comme cela que je veux communiquer!, C’est donc inspirant et source de réflexions qui peu à peu transforment aussi ma manière d’être (je fus naguère championne de “être sur la défensive, me justifier, discuter les arguments de l’autre”) C’est presque fini mais j’ai des rechutes, d’où le plaisir d’avoir des points de vues qui vont dans le sens du mouvement dans lequel je suis et veux être.
En conclusion, vous êtes un vrai déclencheur d’auto-coaching, donc vous remplissez votre part du contrat, je fais de mon mieux de mon côté: Oui, vous m’êtes utile…
C’est tout pour cette nuit, j’ai besoin de quelques heures de sommeil avant une journée consacrée à mon sport préféré…
Amitiés,
Suzanne
Ah !!! Enfin une réponse complète !
Voilà… C’est la première dimension de ce message. La Confiance peut être une motivation suffisante : entre vous et moi ça a toujours marché, gratuit ou payant, alors pourquoi ça s’arrêterait ? Continuons !
Voilà l’idée principale de ce message, si vous y voyez plus qu’une pub.
Ensuite, vous pouvez modéliser… personnaliser… Et je ne parle pas de vos pubs, car je ne m’adresse pas qu’à ceux que la pub intéresse… Je parle de Communication. Que vous soyez homme d’affaires, institutrice, père de famille, auteure… Vos motivations habitent dans vos valeurs. La confiance en est-une, parmi tant d’autres.
Les gens démotivés sont ceux qui perdent leurs valeurs. A chaque fois qu’une valeur s’éteint ou se sent trahie, la motivation en prend un coup.
Vivre démotivé, c’est vivre dans un monde injuste ! Et c’est parfois tellement bon, qu’il serait vraiment pénible de rendre le monde plus juste…
La confiance, l’une de nos valeurs la plus importante est un concept complexe et multi-niveau. De la simple curiosité à la foi intense, on peut toujours se positionner quelque part sur l’échelle de la confiance, et prendre sa place.
Encore faut-il oser s’exprimer en ces termes. Et si j’ai été loin avec certains mots (fan, qui m’aime me suive, etc.), c’est parce que lorsqu’on communique avec des milliers de personnes on est en représentation. C’est du théâtre !
Mon autre solution, celle qui est souvent utilisée, est de m’orienter vers un quizz psychotechnique de 10 questions intitulé «Etes-vous motivé(e) ?», puis de faire en sorte que le résultat ne soit pas joli-joli…
C’est FACILE !
Ca crée un besoin, et ça transforme la vente. Il n’y a rien de plus facile… C’est affreusement facile, et ça marche bien !
Il est beaucoup plus difficile d’évoquer une relation entre hommes et femmes d’honneur. C’est soit ringard, soit source de conflits intérieurs, car les menteurs et les manipulateurs toxiques sont partout, et il faut préserver le peu de confiance qu’il nous reste… Une déclaration sur l’Honneur, ce n’est pas suffisant… Même pour 29 euros et après plusieurs années de services, faisons un contrat compliqué !
Pourtant, secrètement, tout le monde aspire à dire : faisons ceci, ça nous fera tous du bien, et l’aide de chacun est utile. Faites-moi confiance, nous avons déjà travaillé ensemble. Vous savez déjà que ce que je propose est Gagnant-Gagnant…
Eh non… A part quelques extra-terrestres, la plupart des gens estiment que ce sont les règles du monde extérieur qui créent la confiance. Il CONVIENT de suivre un protocole de vente avec des arguments commerciaux forts. Et ça ne concerne pas que le commerce. Ca déborde !
J’ai vu un ami se contorsionner devant ses enfants, pour leur expliquer la raison pour laquelle ils devraient accepter une proposition de sortie, alors que les petits, depuis le début, n’avaient qu’une seule motivation profonde : sortir avec leur papa, peu importe où… Ils savent que ce sera bien, parce que ça l’a toujours été.
Mais mon pauvre ami est tellement convaincu que la motivation vient de l’argumentaire, qu’il serait prêt à passer la nuit à faire de sildes powerpoint pour vendre un pique-nique.
Je n’avais pas envie de ça. J’ai envie de progresser avec des extra-terrestres ! Des gens qui trouvent la motivation ailleurs que dans un contrat stipulant l’intervention potentielle du Tribunal du Commerce en cas de conflit. Parce que ça, c’est comme le «sans arôme artificiel» dans les chips. C’est conforme à la réglementation en vigueur, et il est inutile de le préciser.
Même sans contrat, sans convention, sans conditions générales de vente, un conflit commercial se résout au Tribunal du Commerce. Le préciser, est juste une forme de représentation : c’est du théâtre !
Ca rassure ceux qui cherchent la motivation à l’extérieur d’eux-mêmes. Et sans forcément les exclure du débat, je souhaite attirer prioritairement les autres : ceux qui savent que ça vient de l’intérieur, et qui ont besoin d’outils et de techniques pour faire briller l’étincelle, rallumer la flamme, et rayonner.
Merci Suzanne, d’être une extra-terrestre.
Bon sport préféré, et ayez confiance en vos fades et en vos draws. C’est ce qui fait le charme du sport. Si tout était square, où trouverions-nous la force de nous lever ?
A++
Stéphane
Merci Stéphane!
Je me croyais seulement sorcière (rousse, gauchère… évidemment…) je suis ravie d’être reconnue en tant qu’extra-terrestre. Vous voulez dire citoyenne de l’univers? Je signe: Les interconnexions y sont tellement riches!
Votre réponse à mon message me fait un bien incroyable, c’est une hyper motivation, que d’ailleurs je ne comprends pas tout à fait, (d’autant plus intéressante), alors merci encore,
SuzE.T.te
Cher Stéphane,
Je vous lis toujours avec intérêt. Ma gestion du temps est chaotique, mais c’est un choix. Enfin je crois. Je m’étais inscrire à memory coach, je n’ai pas été fichue de me plier à vos propositions. Je suis artiste peintre plasticienne, mais ça n’explique pas toutes les incohérences. Vous n’y êtes pour rien,vous le savez. Je rêve en vous lisant, de m’auto-coacher, mais me méfie de ne pas être capable de ne suive qu’ un seul lièvre. Écrire, peindre… Toujours faire un choix? Un deuil? Mener à la réussite, à la reconnaissance? L’argent n’est pas mon carburant, alors?
Je vous apprécie pour la réflexion que vous suscitez. J’ai tout de même envie de vous rejoindre, pour voir…
À bientôt donc et merci encore pour votre vivante présence dans la froideur du web.
Bonjour Annette,
MEMORY-COACH, ce sera pour une autre fois. Vous avez la possibilité de recommencer quand vous le souhaitez, il suffit d’en faire la demande.
Le monde virtuel (le web) est le reflet du monde réel. Il y a du froid et du chaud. Gageons que suite à mon programme, vous trouverez l’étincelle qui vous autorisera à réchauffer le réel et le virtuel par votre présence, vous aussi.
A++
Stéphane
Bonjour Stéphane,
Juste un p’tit mot pour vous dire que j’ai pris beaucoup de plaisir à lire votre dernier article même si j’aurais aimé avoir en bonus la fameuse recette! 😉
Quand je prends le temps de vous lire j’y trouve à 90% mon compte, à des degrés différents évidemment car le sujet, la forme que vous utilisez et mon état d’esprit du moment varient. Le plus souvent quand j’ouvre ma boîte mail et que j’y découvre l’un des votres je me dis :”il est long, j’y reviendrais plus tard!” ; et effectivement, quand JE DECIDE d’y revenir je me suis mis en mode “je vais passer un bon moment avec Stéphane”, et donc avec des lunettes qui positivent!
Merci pour tout et bonne continuation.
Amicalement.
Bertrand.
Bonjour Bertrand,
Dans une vie antérieure, j’ai été chanteur. Une fois j’ai écrit une chanson de 7 minutes.
Lorsque je terminais un tour de chant, il y avait toujours des gens qui venaient me voir pour me dire : je ne comprends pas pourquoi on ne passe pas ces chansons sur les ondes radio.
Connaissant la réponse, je leur répondais :
– C’est parce que c’est trop long ! Aucune radio ne passe une chanson de 7 minutes…
– 7 minutes ? Ce n’est pas possible… On ne s’en rend pas compte !
– Et pourtant, c’est bien ça : un format inexploitable en radio. Mais les animateurs sont admiratifs, et ils se la passent en boucle dans leur voiture !
– En tout cas moi, je ne me suis pas rendu compte qu’elle était trop longue.
– C’est bien le problème de cette chanson : elle et trop longue pour la radio, et trop courte pour le public qui écoute la radio… Donc hors format.
Il vous appartient de décider à quelle heure j’entre dans le format, et mes messages ne sont jamais urgents. Vous avez donc raison de décider du moment où vous les lirez : le bon moment.
A++
Stéphane
Bonsoir Stéphane ,
Ce qui m’a fait réagir dans votre 1ère pub sur la Motivation , c’est ce que je pratique lorsque je veux me prouver que je ne suis pas si nulle ni si peu aimée. Je lance des invitations à des réunions, sans explications , pour des ventes de produits peu connus et chers genre :bougies ,bijoux, casseroles …. (que je sais de qualité) disons genre Tupperwaere . Je n’aime pas ça .Je me fais peur mais si ça marche je suis ragaillardie , je me dis que c’est parce que les gens m’apprécient , me font confiance qu’ils sont venus et ont acheté. En même temps que mon inscription chez vous j’ai repris une de ces réunions pour dans 15 jours ,poussée par votre exemple . Si ça marche je repartirai avec l’énergie pour d’autres projets personnels.Il se peu que je fonctionne à l’exemple ou peut être que vous m’avez réveillée .Merci Stéphane
Bonjour Mary,
Voilà encore une vraie réponse à ma question, et là je sis clairement utile, car au delà de la réflexion et de l’émotion (qui peuvent tourner en rond des années), vous êtes passée à l’action.
Oui les gens vous aiment pour ce que vous créez, et pour vos choix libres. Communiquer autour des valeurs donne toujours un résultat. Et vous vous retrouvez entourée de personnes de valeur… Quoi de plus normal ?
A++
Stéphane
Bonsoir Stéphane,
Je n’ai pas toujours la motivation (on en parle justement) de vous commenter, mais je autant que cela , m’ est possible je vous lis attentivement… Vos propos m”ont aider à me remettre en cause. Tant sur le plan professionnel (je viens de change d’employeur) que personnel. Cette année est donc pour moi une année de grands changement.Je n’ai pas encore adhérer à un programme payant, cela viendra sûrement.. Car je trouve votre aproche toujours à propos et trés enrichissa
ah désolée de ce message en plusieurs épisode, je disais donc très enrichissante (votre approche). La dernière lettre me touche tout particulièrement concernant la communication.. (moi je vais au tribunal..) J’espère donc que vous ne vous découragerez pas face à un public souvent ingrat que nous sommes….
Avec mes amitiés.
Béa
Bonjour Béatrice,
Mis à part quelques énergumènes, je crois que les critiques de TIME-COACH ne sont pas toxiques, mais intoxiqués. C’est parce que je fais cette différence que je ne les chasse pas.
Garez votre motivation. Elle saura faire son effet un jour. Nous ne somme spas synchro pour le moment (puisque je parle de motivation trop tôt pour vous), mais j’y reviendrai, pour les retardataires… Je connais mon public, je suis à son service, sans être à sa merci.
A++
Stéphane
Bonjour Stéphane,
suis-je toujours utile ?
En voilà une question existentielle !
Dans le monde extérieur, en tant que lecteur de Time-coach et surtout en tant que souscripteur de tes programmes d’autocoaching, je dirai que tu m’es utile au quotidien car tu sais alimenter mes réflexions par de nouvelles approches encore imprévisibles hier….Dans le monde intérieur, je pense que tu connais la réponse 😉
Je regarde avec intérêt ton programme sur la motivation et il fait miroir à ma situation actuelle. Il m’interroge. Je sais que j’y souscrirai. Il sera important pour moi à défaut d’être urgent aujourd’hui.
Il est vrai que dans l’évolution de ton style d’écriture, je ressens une demande plus pressante. Peut-être es-tu pris dans un des embouteillages de la vie ? peut-être veux-tu aller plus vite quelque part ?
Je reste à tes côtés et je ne remets surtout pas ton utilité en cause. Qui serais-je sans t’avoir lu, sans avoir avancé grâce à toi ? Un autre moi-même certainement mais TES programmes m’ont permis un autre chemin et j’aime ce chemin.
Au plaisir de te lire
Frédéric
toujours très intéressant, vivant, intriguant
donc utile.
merci
bien a vous
Bruno
Bravo pour l’accroche ds l’intitulé de votre mail, Stéphane : elle m’a incitée à me rebrancher sur Time coach, dont je m’étais un peu éloignée à tort. Contente de vous avoir lue ce matin et de me remettre sur votre fréquence, décidémment pertinente et délicieuse !
Bonne semaine !
Armelle
Bonjour,
Je réagis tardivement à cet article, mais en ce moment, comme pour beaucoup, c’est de la folie ! de plus je reçois vos mails au bureau et n’ai pas toujours le temps, alors je les transfère à la maison et… c’est pire encore. J’ai une fâcheuse tendance à procrastiner !!! Mot que j’ai d’ailleurs appris grâce à vous.Mais je les lis tous et je ne pense pas mêtre dit une seule fois “tiens, aujourd’hui, il n’y a rien à retenir”, même si certaines fois je ne suis pas d’accord avec vos propos. Mais si je ne suis pas d’accord, c’est que j’ai été obligée d’y réfléchir… Donc, oui, bien sûr que c’est utile et ce que j’apprécie surtout chez vous, c’est votre disponibilité, même pour les “clients” comme moi qui n’ont jamais participés à un programme payant (toujours faute de la procrastinisation…).
Je vous remercie donc pour tout cela…
Et vous souhaite de bien vous reposer ce long week end (j’ai déjà lu votre message suivant disant que vous étiez fatigué).
Christine
Bonjour Stéphane,
Voila un bon moment ou je me dis qu’il faut répondre à la question posée mais je procrastine à fond.
Bon j’ai une bonne excuse hein !
La première fois que j’ai lu vos messages j’étais responsable commercial dans un société d’informatique de 5 personnes et vos conseils m’ont été précieux.
J’ai partagé votre savoir être et votre bon sens avec mes collaborateurs et je sais que chacun y a trouver matière à progresser.
Aujourd’hui vous m’êtes toujours aussi utile bien que le contexte soit totalement différent. Je suis depuis le mois de janvier 2013 en voyage pour un an en Amérique du sud. Vous êtes le rare mail que je conserve et que je lis avec plaisir.
J’ai transmis certains de vos conseils à des chiliens, à des argentins, à des boliviens et maintenant à des péruviens (j’y suis en ce moment).
C’est un voyage fort intéressant dont je rêve depuis longtemps et qui se réalise grâce entre autre à vos précieux conseils.
Donc oui Stéphane, vous m’êtes utile, n’en doutez pas 🙂
Bien à vous,
Josélito
Bonjour, je déplore que la communication ne soit pas enseignée à nos enfants et qu’elle puisse etre perçue comme de la manipulation (dixit mon époux). Le peu d’ouvrages que j’ai lus m’ont ouvert des fenêtres sur les autres et sur mes relations avec les autres. J’ai pu avoir une relation vraie (dans le travail par exemple, mais pas seulement) avec des gens très différents de moi juste essayant de capter leur fréquence. Le résultat est épatant !