Comment les habitudes apparaissent ?

Pensez à l’une de vos habitudes. Ne choisissez pas forcément une habitude que vous voulez changer, il peut s’agir d’une habitude qui vous convient. Pensez à votre façon de vous habiller, à l’ordre dans lequel vous faites les choses le matin ou le soir, aux postures que vous adoptez lorsque vous êtes au travail, dans les transports, le lieu que vous choisissez pour lire, etc.

Essayez à présent de vous souvenir du moment où cette habitude est apparue. Pourquoi et comment s’est-elle insérée dans votre vie ?

Par exemple, si vous buvez un café dès votre arrivée au bureau le matin, remontez à une époque où vous ne le faisiez pas, et essayez de vous souvenir du moment charnière où cette pratique est devenue une habitude.

A moins qu’elle ne soit un due à une expérience marquante que vous pouvez dater, il vous sera difficile de retrouver une date précise, ni même une période. C’est une particularité de la plupart des habitudes :

• Soit vous ne vous souvenez pas du tout à quel moment vous les avez adoptées
• Soit vous vous en souvenez parfaitement, et vous pouvez raconter votre histoire avec précision, car elle a été créée par un incident spécifique : il s’agit d’un évènement heureux (la naissance d’un enfant, la rencontre avec une personne, votre premier emploi, etc.) ou malheureux (par exemple, un traumatisme).

Le traitement à réserver à ces deux types d’habitudes n’est évidemment pas le même. Car ce qui est conscient et qui peut se raconter peut plus facilement accepter un recadrage.

Les habitudes dues à un incident spécifique

Si vous pouvez raconter l’histoire de la genèse d’une habitude, prenez une feuille et un crayon, et écrivez cette histoire. Racontez-la comme vous le souhaitez. Vous pouvez faire un simple descriptif ou y ajouter votre humour ou des émotions fortes (tristes ou drôles) qui vous ramènent à l’évènement. Racontez cette histoire, et au final, écrivez :

Voilà pourquoi, depuis (datez l’évènement), je fais ceci. Par exemple :

• Voilà pourquoi, depuis le 11/06/2002, je dors la télé allumée
• Voilà pourquoi, depuis que j’utilise la messagerie électronique, j’ai tendance à communiquer par écrit, même lorsque je peux le faire oralement.
• Voilà pourquoi, depuis que j’ai eu cette peur, je préfère passer par un chemin plus long, mais plus rassurant
• Etc.

Il est vraiment important d’écrire et non seulement d’imaginer l’histoire : gravez votre retour d’expérience sur papier, de façon à pouvoir l’avoir sous les yeux.

La technique qui permet de changer ce genre d’habitude est appelée RECADRAGE. Le principe est de reconsidérer votre raison, ce fameux «voilà pourquoi» pour l’envisager sous un autre angle de prise de vue :

Le premier angle dans le quel vous pouvez vous placer facilement est celui de la personne plus mure, qui est capable de raisonner autrement aujourd’hui. Dans ce cas, le «voilà pourquoi» que vous avez écrit va vous paraître étrange : il va perdre de sa logique. Vous pourriez même vous demander comment vous avez pu faire pour écrire une chose pareille. Et pourtant, à l’époque, c’était bien votre raison. Vous avez donc créé une habitude qui avait du sens à un moment de votre histoire, mais qui n’a plus de raison d’exister aujourd’hui parce que vous avez évolué. Reprenez votre feuille, et écrivez :

Mais aujourd’hui, les choses ont changé : désormais…

Et complétez ce début de paragraphe avec votre nouvelle vision du monde. Testez ! C’est étonnant ce qu’une personne «autrement intelligente» est capable de faire avec une habitude.

Par exemple :

Ma messagerie est réglée pour afficher un message d’erreur lorsque j’envois ou lorsque je dois recevoir des pièces-jointes de plus de 2 Mo. Je fais ce réglage sans y penser dès que je me crée une nouvelle adresse, et lorsqu’une personne essaye de m’envoyer un fichier plus gros, je lui explique comment le faire avec yousendit.com, et plus récemment avec Dropbox. Ce paramétrage de ma messagerie date de 1995. A l’époque, il fallait plus d’un quart d’heure pour faire circuler des fichiers de cette taille, ce qui bloquait l’envoi ou l’arrivée de messages plus urgents. De plus, on payait à la consommation… Voilà pourquoi depuis 1995, je paramètre systématiquement la taille maximum des pièces-jointes à 2 Mo. Mais aujourd’hui, les choses ont changé : désormais mon débit d’Internet est 50 fois plus rapide. Je peux donc accepter des fichiers de 10Mo sans perdre de temps ni d’argent, puisque l’abonnement est un forfait mensuel qui ne dépend plus de la quantité d’informations émises ou reçues.

Vous remarquerez l’utilisation de chiffres. Même lorsqu’ils sont approximatifs, ils permettent de faire intervenir la logique dans les nouvelles pratiques. Bien que la plupart de nos agissements soient irrationnels, ils se justifient souvent par la logique, ou du moins, une certaine cohérence. Nous avons donc besoin de la logique pour créer de nouvelles habitudes, aussi irrationnelle soient-elles !

Beaucoup de gens ne comprennent pas l’intérêt d’écrire l’histoire. Il suffirait de s’en souvenir, de raisonner, et d’agir, pensent-ils… C’est possible dans certains cas et pour certaines personnes. Mais si vous n’y parvenez pas, ECRIVEZ ! Et faites comme si vous racontiez cette histoire à un journaliste qui écrit votre biographie : donnez des détails de façon à ce qu’une personne qui ne connaît pas le contexte, ni les raisons qui vous animent, puisse comprendre les raisons de votre habitude, et du changement que vous opérez.

Remarquez que dans mon exemple, il y a aussi un recadrage d’époque. Ma façon de penser a changé parce que les technologies ont évolué : je m’adapte à mon époque (il était temps !). De plus, mon ancienne pratique était une contrainte. J’accueille ce changement avec un sentiment de libération. Aussi curieux que cela puisse paraître, c’est très courant : nos habitudes sont souvent des contraintes qui n’ont plus cours au bout de quelques années (parfois quelques mois).

Vous constaterez également en expérimentant cette technique, que certaines habitudes ont été ancrées, non à cause d’un évènement que vous avez vécu, mais à cause d’un évènement raconté par quelqu’un d’autre. Il est même possible que certains films aient créé des habitudes, si vous vous êtes fortement identifié au personnage. On appelle ça l’effet catharsis : le but de l’art théâtrale et cinématographique est de se purger l’esprit grâce au phénomène d’identification. Regarder un film d’action peut aider à se libérer de la violence qui est en nous. Un film d’horreur peut nous libérer de nos peurs, etc. Mais il arrive parfois que le film soit si «prenant», que la façon de penser (voix off), de parler (dialogue) ou d’agir (image) du héros soit modélisée au point d’emprunter une part de son identité.

J’ai un ami qui parle comme Maître Yoda dès qu’il veut exprimer une pensée profonde. Il s’est identifié au héros, ce sage extra-terrestre de la guerre des étoiles qui organise le sujet, le complément d’objet et le verbe à sa façon : «De la Force, besoin tu auras…». Pourtant, mon ami ne vit pas dans une galaxie lointaine, il n’est pas vert, ne mesure pas 66cm, et n’a pas de poils aux oreilles. Ceci dit, je préfère l’entendre parler que mon neveu, qui a été fortement marqué par un héros d’une téléréalité (dont le nom m’échappe).

Les habitudes aux origines floues

Les autres habitudes, celles dont les origines vous échappent ou que vous avez l’impression de faire depuis toujours, ont été ancrées de deux façons :

• Soit elles vous ont été transmises par vos modèles (parents, professeurs, amis, émissions de télévision récurrentes, journalistes, auteurs, leaders politiques, guide spirituel, etc.).
• Soit elles ont été ancrées par des proverbes, des citations, des fables, des contes, des textes religieux, etc.

Bien sûr les choses ne sont pas toujours aussi simples. Il est possible que vous ayez décidé de faire l’inverse de ce que l’un de vos éducateurs faisait. Comme il est possible que vous trouviez une citation ou un proverbe dépassé ou illogique. Certaines personnes ont un athéisme revendicateur qui les pousse à faire le contraire de ce qui est prodigué dans les saintes écritures. Quoi qu’il arrive, nous réagissons à ce que nous avons entendu, vu ou vécu dans notre parcours, parfois sous forme d’approbateurs, d’autres fois en reniant le modèle.

Ces habitudes ont été créées par la répétition. Vous est-il arrivé de ne pas apprécier une chanson, mais de finir par l’apprécier à force de l’écouter ? Il est même possible que vous ne l’appréciez pas, tout en la connaissant par-cœur : mieux qu’une chanson que vous aimez, car vous l’entendez tout le temps sur les ondes… !

C’et pareil avec les pensées. Si vous complétez sans trop réfléchir les phrases suivantes :

• Rien ne sert de courir…
• Tout flatteur…
• La raison du plus fort…
• Qui va à la chasse…
• L’argent ne fait pas…
• Aide-toi…
• Œil pour œil…

C’est parce que vous les avez répétées et qu’on vous les a répétées à longueur de vie. Vous avez donc des habitudes de pensée automatiques, des réflexes mentaux (les fameux paradigmes), qui vous font penser d’une certaine façon, vient ensuite l’émotion immédiate, puis la réaction quasi-automatiquement. C’est le processus de manifestation, déjà étudié :

Paradigme->Pensée->Emotion->Action->Résultat

Mais en cas d’habitude, tout se passe à très grande vitesse dans votre esprit. Vous n’avez pas le temps de réfléchir : c’est tout réfléchi ! L’analyse est absente, car la réflexion a déjà eu lieu par le passé, et elle a ancré en vous un sentiment immédiat. Cette phase émotionnelle est à peine consciente, et vous réagissez (passage à l’action) immédiatement. C’est intéressant de savoir ça, car cela permet de surveiller certaines expressions comme :

• Mes mots ont dépassé ma pensée…
• Je ne sais pas ce qu’il m’a pris…
• Ma main est partie toute seule !
• Ca me dépasse !
• C’est comme ça ! Je n’y peux rien…

Ce sont vos principes ou vos aprioris qui laissent le processus suivre son cours sans approbation de votre intellect, car vous avez déjà approuvé l’idée des mois ou des années plus tôt. C’est un «mode de fonctionnement» normal, car sans ces réflexes vous perdrez un temps fou à revalider vos convictions à chaque fois que vous devrez passer à l’action.

Donc vous agissez de cette manière, parce que vous CROYEZ que c’est comme ça qu’on fait. Vous ne choisissez plus vos actions, parce que vous les avez déjà choisies. Cela vous permet d’être plus rapide, mais une question se pose :

Est-ce que cette façon d’agir vous fait du bien ? Est-ce que vous considérez que le résultat est une réussite ? Si ce n’est pas le cas, vous pouvez changer vos automatismes, en enrichissant votre esprit avec des idées nouvelles ou en vous intéressant à d’autres modèles, qui deviendront vos éducateurs d’adulte (des mentors).

Lorsque vos habitudes n’en sont pas au stade pathologique (addictions, phobies, etc.), il est tout à fait possible de les reprogrammer en douceur en contrôlant consciemment vos pensées. De nouvelles pensées auront pour effet de provoquer de nouvelles émotions, puis des actions différentes, et des résultats inhabituels qui créeront un incident spécifique. Vous vous souviendrez de l’expérience : elle va vous marquer.

Comme nous l’avons vu plus haut, l’incident spécifique peut créer de nouvelles habitudes. Le tout est de reconnaître que cette révélation ou cette découverte (due à l’action) a puisé sa force dans votre nouvelle façon de PENSER. J’insiste, car beaucoup de gens ont une attitude ingrate avec leurs pensées. Ils pensent autrement, et de fil en aiguille parviennent à de meilleurs résultats. Mais au moment de faire le bilan, ils se disent que ce ne sont pas leurs pensées qui sont à l’origine de cette réussite, mais que le marché a changé ou que les nouveaux partenaires sont efficaces, etc.

Le marché peut changer 10 fois par an ! Si vos pensées ne s’y adaptent pas, il restera un mystère. Les partenaires peuvent être sacrément efficaces. Si vos pensées ne concordent pas avec leurs actions, vous ne vous associerez pas avec eux… Il est même possible que vous ne le rencontriez même pas.

Canalisez votre pensée

La façon la plus simple de canaliser vos pensées est la LECTURE. Par exemple, si vous lisez un livre sur «la dictature fiscale», il est évident que vous en ressortirez avec un certain nombre de colères et de dénis. La sélection qui y est faite par l’auteur est volontairement basée sur le gâchis de l’argent public et les plus grosses incohérences. Il ne va pas évoquer les belles initiatives, car cela lui paraît normal. L’auteur a des convictions et il mène un combat : il cherche des partenaires qui adhéreront à sa cause. Plus son livre fera du bruit, plus il gagnera du terrain face au monde injuste qu’il décrit.

Mais si vous lisez un livre de Louise L. Hay sur la pensée positive, la Gratitude, la Célébration, l’auto-guérison, l’intuition, la Conscience d’Etre, etc., vous en sortirez avec une toute autre vision du monde. Beaucoup de gens pensent qu’ils ne peuvent pas contrôler leurs pensées. Heureusement ! Car un contrôle total serait désastreux pour notre créativité. Mais il vous est tout à fait possible de vous libérer de certaines pensées, en changeant vos habitudes de lectures. En d’autres termes, si vous voulez changer d’habitudes, LISEZ des œuvres (y compris des citations très courtes) qui vont dans le sens de vos nouvelles aspirations.

Vous pouvez adhérer à des infolettres (Newsletter) qui se focalisent sur un centre d’intérêt précis. De même qu’un sportif sera plus enclin à lire «L’Equipe» que «Marianne», vous pouvez diriger vos lectures vers le Développement Personnel, la confiance en soi, la pensée positive, la créativité, la communication, l’innovation,  etc. Certains médias sont gratuits, d’autres sont payants. Rappelez-vous aussi que le choix entre le gratuit et le payant révèle l’IMPORTANCE que vous accordez aux choses. Par ailleurs, si l’auteur vous propose de contribuer (soit par un don, soit en achetant quelque chose de plus), il y a deux pensées possibles :

• Certaines personnes pensent que la gratuité initiale est un moyen sournois de créer un faux besoin afin de vider le portefeuille d’honnêtes gens en vendant du vent.
• D’autres pensent que c’est un moyen de présenter un échantillon pour que l’acheteur potentiel puisse prendre une décision éclairée au moment de la proposition d’achat.

Il est évident que vous découvrirez davantage de techniques et de solutions si vous adhérez à la deuxième école de pensée.

Une techniques d’excellence

Vous voulez changer votre façon de penser pour aller vers des émotions positives, davantage d’actions cohérentes et des résultats probants ? Commencez par mieux choisir vos dictons ! Apprenez-en de nouveaux par-cœur, et répétez-les : déclarez-les le plus souvent possible, autant que vous le faisiez avec les anciens…

C’est un bon début de reprogrammation volontaire. Le site EVENE.FR vous propose des dictons et des citations par thèmes, sans parti-pris. Faites VOTRE choix. Il y a tant à prendre et à laisser…

Un conseil : évitez les citations tristes, revendicatrices, cynique, totalitaires, etc. Préférez les réflexions philosophiques, humoristiques, ouvertes… Par ailleurs, ne vous dirigez pas automatiquement vers ce qui correspond à vos croyances actuelles. Essayez de découvrir des «à côtés» qui vous permettront de changer votre vision des choses. Surtout si vous savez que c’est cette vision qui vous empêche d’aller vers la performance.

Faites-le VRAIMENT ! Ne vous dites pas que c’est trop facile pour avoir un effet sur vous. C’est un mauvais programme qui vous pousse à penser ça ! Pour quelles raisons les choses compliquées auraient-elles plus d’impact ? Et imaginez tout ce qui a été mis en place en amont pour que vous puissiez aller à la pêche aux citations… Alors ? Est-ce toujours aussi facile ?

Un bonne pratique concernant ce site
(et le surf internet en général)

Pour éviter de vous perdre dans la richesse de ce site (et donc de perdre du temps), observez une règle simple : choisissez une nouvelle citation par jour. Une seule citation ! Réécrivez-la dans un carnet ou faites un copier-coller dans un document informatique, puis refermez immédiatement la fenêtre du site. Il est possible de passer 3 minutes sur un site, aussi attirant soit-il, si vous avez un objectif précis. Dans notre cas, l’objectif est de choisir une citation et une seule par jour. C’est une pratique simple que vous pouvez reporter dans votre TODO-List, chaque jour.

Si ce site vous plait et vous avez envie d’y passer une heure ou deux (comme pour une grille de mots croisés, une séance de cinéma, un bon resto…) prenez votre agenda, et planifiez le moment où vous l’explorerez en détails, avec une heure de début et une heure de fin d’action. Prenez rendez-vous avec EVENE.FR, comme si il s’agissait d’une personne (et tenez votre engagement !).

Reprogrammation

Vous pensez que les nouvelles technologies peuvent vous faire gagner du temps, ou qu’elles sont plutôt chronophages (bouffe-temps) ? La réponse est simple :

• Si vous CROYEZ que les nouvelles technologies vous font perdre du temps, plus vous vous équiperez, plus vous en perdrez ! Vous choisirez mal vos outils et vos formations, et vous en prendrez l’habitude !
• Si vous CROYEZ que les nouvelles technologies peuvent vous aider à gagner du temps, vous découvrirez des outils simples comme des outils prodigieux qui vont vous faire gagner des heures par semaine !

Un petit exemple :

Connaissez-vous CAPTVTY ?

Grâce à cet outil je peux récupérer les REPLAY des chaines françaises (y compris la TNT) sous forme de fichier. Je peux donc visionner ce qui m’intéresse à postériori, même si je n’ai pas pensé à enregistrer l’émission. Seuls les films à gros budget en sont pas encore récupérable. Mais les infos, les émissions-débat, les téléfilms, les jeux, etc. sont disponibles.

Si vous avez l’habitude de regarder le JT de 20h, vous savez que certains reportages ne vous intéressent pas. C’est le cas de la moitié des infos. Grace à CAPTVTY ou au replays proposés sur les différentes chaines, vous pouvez gagner 15 minutes en sautant les séquences qui ne vous intéressent pas. Vous pouvez les convertir en 15 minutes pour planifier la journée du lendemain, par exemple.

Ainsi, en changeant d’habitude autour d’une action précise (le JT du soir), vous pourrez créer de nouvelles habitudes qui iront dans le sens de la gestion de votre temps.

De plus, vous découvrirez le plaisir de diner avec les enfants, télé éteinte, car vous savez que vous ne ratez pas d’informations importantes.

CAPTVTY est gratuit. Vous payez ce que vous voulez, quand vous voulez. Il vous appartient d’estimer COMBIEN vaut ce confort, éventuellement en le comparant à d’autres conforts (location d’un film, appareil enregistreur, etc.) et de contribuer à la vie du projet une fois que le bénéfice est constaté dans votre vie. Vous pouvez aussi décider qu’il n’y a aucune raison de payer quelque chose que vous pouvez avoir gratuitement, car vous n’êtes pas habitué à ce mode de consommation. Vos paradigmes vous empêche de l’accepter. 

Mais si CAPTVTY disparait de votre univers, vous saurez, en PENSEUR avisé, que c’est l’IMPORTANCE que vous accordez au système (à l’outil et à son modèle économique) qui en est à l’origine.

PENSEZ-y…

A très bientôt !

Stéphane SOLOMON