J’ai choisi comme thème pour cette première semaine : LE DESTIN.
Nous allons en parler pendant 5 jours non-stop, et vous verrez qu’il y a de quoi développer.
Pour commencer, je vais vous demander de me parler du destin, en allant chercher l’information dans votre mémoire. Pas de triche ! N’allez pas piocher des ressources sur Internet ou dans un livre, nous aurons l’occasion de le faire plus tard. Pour le moment, ce qui m’intéresse, c’est une évocation qui vient de vous. Tout est permis, du moment que ça vient de votre esprit. Si vous n’avez pas le temps ou pas très envie de participer aujourd’hui, dites juste un mot. Par exemple :
- Providence, Moires, etc.
Vous pouvez aussi me donner une phrase courte. Même une pensée qui vous paraît banale. Par exemple :
- Je suis maître de mon destin.
Si vous avez une vielle chanson qui revient en mémoire, écrivez les paroles :
- Destinée, mais où es-tu toi qui m’es destinée…
Vous pouvez également poser une question, raconter une histoire drôle, etc. Si vous avez écrit un poème sur le destin ou si vous avez envie d’en composer un à l’instant, partagez !
C’est parti !
Moi le destin, je n’y crois pas ! Je ne veux pas y croire plutôt. Car c’est l’opposé du libre-arbitre qui permet d’entreprendre et d’espérer. Si tout est « écrit », alors quel est l’intérêt de se décarcasser ? Par ailleurs, je travaille très féquemment avec des Saoudiens qui sont terriblement fatalistes. Et ça, je ne peux pas l’accepter. C’est aussi une excuse pour ne pas essayer de s’améliorer.
Voilà : pas forcément très original. Mais assez profondément ressenti par votre serviteur 🙂
Je crois au libre-arbitre qui me permet d’être auteur de ma vie, et dans une grande mesure maître de mon destin.
Bonjour
Je partage l’avis de José, je suis convaincue que notre vie est composée de plusieurs « courants »
il y le libre arbitre, ‘ le choix » , il me vient à l’esprit cette phrase » TOUS LES CHEMINS MENENT A ROME » En fonction du chemin choisi, de la façon de le faire, le voyage peut être fait en quelques heures comme sur plusieurs années , il y a la DESTiNEE, une sorte de prédestination pour certaines personnes mais sans la notion rigide de la fatalité, et puis il y a notre façon de penser ! plus tu t »exerces à penser positif plus on baigne dans ce courant positif
bonjour Stéphane,
j’aime bien la petite idée de : LA VIE EST UN CHOIX
ce laisser entraîner par son « destin » est très négatif
merci de remuer nos méninges
Le mot destin ne serait-il pas un mot valise pratique pour désigner tout ce qu’on ne décide pas vraiment. Oui, bien sûr, si nous sommes là c’est que nous avons tous envie de prendre notre vie en main. Et pourtant, il y a tant de choses que nous ne maîtriserons jamais. Même quand on croit choisir, on ne fait que sélectionner l’une des quelques options qui nous apparaissent au moment du choix, et on le fait guidé par des principes, des émotions, des a priori, etc. dont beaucoup sont non seulement involontairement adoptés mais même inconscients. Soyons modestes! On peut tirer le meilleur parti de ce qui se présente. On ne forge pas complètement son destin.
« Giscard Destin » de Valérie ? mdr !
« C’est ton destin » est un bon clip des Inconnus, très rigolo (chercher sut YouTube)
Sinon pour contribuer, je dirais par exemple :
Quelqu’un d’assez branché Medium m’a dit un jour « Le Destin est écrit, c’est comme une phrase dont le sens était déjà donné à l’avance..il faut juste que nous choisissions les mots pour l’écrire ».
J’aime cette idée relativiste: « Comme le temps, l’individualité et le mental sont une illusion et que tout est connecté (quantiquement, énergétiquement, intérieurement, extérieurement) alors ici et maintenant est le résultat de plein d’interactions entre avant et après (tachyons) qui interagissent dans l’infiniment grand de l’instant éternel »..ou vice versa
Le Destin, la destinée c’est le but..ce qui compte c’est le chemin mais justement le but c’est le chemin. Carpe Diem
@Sylvia
Oui un peu de modestie ne peut pas faire de mal : nous ne sommes évidemment pas maîtres de notre « destin » et nous faisons des choix parmi des possibilités limitées et sur la base de critères souvent non rationnels. Mais ce qui importe – au moins pour moi – c’est d’avoir l’illusion que nous pouvons au minimum influer sur la route que nous prenons par des actions que nous espérons positives.
Destin, destin. Vous avez dit destin ? Comme c’est bizarre !
Le destin de l’agnostique, du croyant et de l’athée se fondent dans l’espace, l’ether, et le néant.
Bonjour,
D’une manière générale, le destin est tout d’abord un refuge, une entité à qui l’on peut laisser la responsabilité de tout ce qui nous gêne, nous blesse et à ce que nous ne comprenons pas: « C’est le destin! »
Pour moi, c’est l’ensemble des opportunités qui se présentent sur ma route, comme une résultante de ce qui se passe ici et maintenant dans l’univers, dont nous faisons partie.
A moi de prendre conscience de ce qui m’attire ou me repousse, de saisir ou pas ces opportunités, et d’en faire ce que j’en fais, au contact de ma volonté et des nouvelles opportunités qui ne cessent de se présenter .
Cela suppose de gérer le degré d’ouverture à l’inconnu (immanent) que je peux assumer, et ceci est évidemment variable d’un moment à l’autre.
Est-il possible de « faire simple » dans un univers aussi complexe?
A demain!
Le destin me rappelle à la vision que nous avons du temps avec un « t ».
Le destin intègre une dimension de non choix, comme si le parcours était dessiné d’avance. : un dessin (sans « t ») dépendant du dessein d’une autre dimension.
Si je positionne mon regard à partir aujourd’hui et que regarde vers mon passé, je peux considérer que l’ensemble de mes choix, de mes décisions, des directions que j’ai prises, a été conditionné, certes pour une part par mon libre arbitre (ou mon conditionnement au choix) mais également pour une part importante par les évènements survenus dans mon environnement et là, je n’ai pas vraiment de libre arbitre….
Si je me positionne mon regard à partir d’aujourd’hui et que je regarde vers le futur, que puis-je penser ? Vais-je maîtriser mon environnement, mes choix, les directions que je vais prendre ou ne suis-je que le jouet d’une puissance extérieure ? Quelque soit ma réponse, il restera toujours un doute
Ça me rappelle une phrase qui disait « il n’ya que les fous pour faire 10 fois de suite la même chose et en attendre un résultat différent ».
Alors je retrouve mon ami Antoine et je lui dis « destine moi un mouton » et je vois ce mouton. Je parle avec Eckart et je lui demande « donne-moi le temps présent » et il me le donne. Je choisis mon environnement et il éclaire la route devant moi.
Qu’elle soit dessinée ou destinée ne change rien, je l’éclaire et je me sens plus en adéquation avec mes désirs….mais c’est une autre histoire « des livres et moi ».
Le destin d’une espèce vivante, c’est de mourir. Certains arbres vivent 3000 ans (il y a 3 oliviers de 3000 ans à Madère). Certains insectes vivent moins d’une journée. L’espérance de vie à la naissance de l’homme est de l’ordre de 80 ans. Ca ce sont des faits inéluctables à l’échelle d’une espèce.
À l’échelle de l’individu les choses sont très différentes. À ma naissance, en France, au 20° siècle, mon espérance de vie était de l’ordre de 80 ans. Mais la durée exacte était et reste inconnue (ouf !). Née plus tôt, plus tard, ou ailleurs, les choses auraient certainement été toutes autres. Cela je ne crois pas que j’y puisse y changer quelque chose.
Et encore… J’entends très bien ce que dit Françoise Dolto sur le fait qu’un enfant qui nait a voulu naître, qu’il n’est pas là par la seule volonté (ou absence de volonté…) de ses parents.
Ce que j’ai fait depuis ma naissance de mon capital de vie est en revanche de ma responsabilité et a orienté mon trajet de vie. Les heures passées sur des bouquins ou devant la télé, les heures passées à faire ou ne pas faire de sport, le choix de mon alimentation, de mes relations toxiques ou bénéfiques, tous ces choix ont modifié les probabilités que je vive plus longtemps ou pas, que je sois ou pas en bonne santé, que j’aie un sur-risque de développer telle ou telle maladie ou d’y échapper, que j’ai plus ou moins de chance de faire des rencontres qui me rendent heureuse. Certains paramètres sont plus faciles à faire varier que d’autres en termes de probabilités. Je me suis à la croisée de toutes ces probabilités.
Le destin, c’est comme le poker : face à une main quelconque, certains font tout pour améliorer la donne, et en faisant croire aux autres qu’ils ont un super jeu, ils peuvent gagner, alors que d’autres se couchent tout de suite et attendent d’avoir une main à coup sûr gagnante pour parier.
Destinée
On était tous les deux destinés
A voir nos chemins se rencontrer
A s’aimer sans demander pourquoi
Toi et moi
Le destin se distingue par sa vision romantique de la vie
Destinée
Inutile de fuir ou de lutter
C’est écrit dans notre destinée
Tu ne pourras pas y échapper
C’est gravé
Le destin se déglingue par sa vision fataliste digne des mauvaises séries B
Et pourtant, ce sont les 2 premiers couplets de la même chanson
Curieusement je réalise que si je n’aime pas trop l’idée du destin, la destinée par contre est beaucoup plus séduisante… Allez comprendre…
La destinée ça m’évoque une réussite, un aboutissement, un chemin lumineux, même si celle-ci est grandement teintée de hasard. Le destin une sentence, une obligation, un choix imposé qui ne me respecterait pas. Je le dis comme je le sens ce soir, je veux bien imaginer que je sois très éloignée des définitions de ces 2 mots.
à bientôt
Bonjour Myriam,
destinée = destination ?
Comme les deux faces d’une même pièce
Comme les deux pièces d’une même farce
Bonjour Stéphane,
Le destin m’évoque un parcours avec ses réussites, ses belles surprises mais aussi ses épreuves et ses embuches.
Par mon attitude, mes actions, j’influence mon destin tout en faisant confiance à la partie que je ne maitrise pas.
Le destin, c’est une des excuse communément utilisée pour éviter de se responsabiliser par rapport à ce qui « arrive », « tombe dessus » puisque « c’était écrit ». Là, on subit.
Le destin incarne également l’idée que nous avons tous une « bonne raison » d’être là où nous sommes, que nous avons tous « quelque chose à faire de notre vie ». Là, on est aux commandes.
Quand j’étais enfant, mes parents auraient voulu que je fasse de bonnes études, en un mot que je « réussisse », etc.
En fait, comme dirait Eddy Mitchell: « j’ai suivi des études qui me poursuivaient » (!)
Et maintenant, j’ai fait de ma passion mon métier (musique)
Je dois dire que j’ai été aidé par des rencontres.
Où est le destin, où est le libre arbitre, où est le hasard, là dedans?
Est-ce que tout cela se confond?
Paraitrait-il que les milliards d’infos que nous analysons chaque heure et dont nous n’avons conscience que de qqes bribes, sont inscrites quelque part dans l’Univers, sans vraiment de notion de temps et si je rajoute une pincée de physique quantique, cela propose comme base de donnée, pour y puiser un mélange d’éléments, une belle quantité de possible et de direction pour faire le geste qui va suivre, la pensée qui va naitre ou l’émotion qui va poindre.
Bref, comment croire que je maitrise mon devenir et comment ignorer que j’ai beaucoup de pouvoir pour influer sur mon futur ?
Comme certains, la destinée me parait positive et le mot « destin » me semble lourd à porter ou même à machouyer quand il est dans ma bouche.
Ayant participer à un séminaire sur l’Attraction, en alliance avec l’EFT, il y a qqes années, je me suis rendue compte, que les blocages et émotions (paralysantes) sur mes capacités à faire sont encore fortement encrées. Cela génère des peurs de réussir, peur de ne pas faire parfaitement, peur de ne pas être aimée comme je suis, … qui sont plus fortes que ma capacité d’action pour progresser et aller sereinement vers mes possibles.
Est-ce que je crée ce que plus tard, je et on pourront croire que c’était ma destinée ?
Y aurait-il un algorithme qui influe sur notre faire et être ?
Quelle part mes choix conscients façonnent ce que devient ma vie ?
Contente de me poser ces questions avec vous, à tout bientôt
Véronique O
Bonjour
J’entends destin comme la racine de la destination. Celle-ci on la connait, c’est la fin de notre vie. Maintenant, vais-je quitter la salle d’attente ? Que fais-je du choix entre les chemins qui s’ouvrent devant moi ? Que vais-je faire du voyage ? Par qui vais-je me faire accompagner durablement et occasionnellement ?
Je suis en route …
le destin ou comment ranger l’inquantifiable, l’impondérable …. bref tout ce que nous ne pouvons prévenir ou deviner.
Le destin n’est juste qu’un autre nom pour désigner la réalité ?
Bis répétitas du post dans « Quel est votre destin ? » masi dans un autre contexte
Cette chose mystérieuse en nous qu’on nomme de tant de façons différentes : la vie, l’énergie, la présence, cette petite voix, la conscience, l’inconscience, les archétypes, la synchronicité..tous ces noms que nous lui donnons ne sont que des reflets différents, des perceptions variées, les facettes multiples d’une « réalité qui ne change pas parce qu’on lui donne des noms différents ». La providence, le destin, la lumière, le Moi, le Soi sont aussi multiples que nos cultures. C’est une question de perceptions. Je pense fort à Paul Watzlawick et son autre ouvrage « La réalité de la réalité » (il n’a pas écrit que « Une logique de la communication ») qui m’a débarrassé de l’idée (non remise en cause jusqu’à cette lecture) que le postulat d’une réalité/vérité unique que chacun devait découvrir était trop rigide/dogmatique. On peut se dire qu’il y a autant de réalités que de perceptions, que nous voyons ensemble plusieurs mondes de sens/significations en parallèle où peuvent cohabiter des contraires. Ces mises en oppositions existent seulement à travers le miroir de nos perceptions/interprétations..ah ça m’a bien libéré! Ni bien, ni mal..ni vrai ni faux juste les deux, de l’éthique et ++.
L’en dehors, la transcendance, les mondes parallèles, l’infiniment éternel, l’inconnu qu’on appelle aussi Dieu c’est « accessoire » de nommer, c’est « là » sans-nom sauf peut-être « je-suis » est tout cela à la fois et plus encore..car par bonheur avec la vie le Tout est plus que la somme des parties, un « supplément d’âme » avec de l’esprit.
Vous appelez ça comment vous ?
Patrick++
Choisir c’est renoncer.
Je suis sur d’une chose c’est qu’à la fin on meurt tous un jour.
Notre vie est bien sur influencée par nos origines, notre histoire, notre environnement, notre éducation,
est ce le destin ?
Il semble que mon destin est d’être décalée puisque je prends ce programme en cours et que j’ai une semaine presque 2 de retard donc plain de choses à lire et commenter
c’est drôle cette notion de décalage me poursuit, probablement mon destin !
le destin c’est pour moi la multitude de propositions que nous fait la vie et le choix que l’on fait à chaque instant de retenir telle ou telle proposition
tout cela pour accomplir une mission
Qu’est ce que le destin ?
Une fatalité ? Une page écrite d’avance ? Une page que nous écrivons ?
J’ai tendance à parler de facture à payer.
En 2002 j’ai eu un cancer des cordes vocales : gros fumeur, client potentiel du burn out, de lAVC, de l’infarctus…. avec une hygiène de vie pas très équilibrée avec le travail.
Donc je me suis dit que je payais cash la facture.
Mais en 2012 j’ai eu de graves problèmes cardiaques et pulmonaires que j’ai toujours. Et là je me suis dit que je payais les intérêts.
Et peut être que j’aurai des pénalités à venir.
Voilà ma version du destin
Bonjour Gilbert,
Désolé d’apprendre cette partie de votre histoire, mais je comprends bien le sens de ce que vous partagez, car nous avons eu l’occasion de discuter quelque peu (y compris récemment).
Le destin est donc, pour vous aujourd’hui, la conséquence d’actes précédemment commis. Vous payez la facture cash… Mais pour rester dans la métaphore, vous savez que certaines factures sont payées avec plaisir. Il y a même des cas où l’on paye la facture avant de recevoir le produit, la facture devient alors une formalité administrative.
Dans un cadre positif, les factures payées d’avance sont les plus appréciables que les factures payées cash : lorsqu’on accepte de faire ce genre de choses, on se dit que le résultat sera à la hauteur des attentes. Payer une facture d’avance, c’est décider de manger plus équilibré, de mieux dormir, d’entretenir son corps, etc. AVANT d’y être contraint.
Nous verrons aussi, que vous pouvez VISUALISER ces factures sous un prisme positif grâce à la VISUALISATION (un exercice dont vous avez certainement entendu parler). En bref, vous pouvez penser, ressentir et agir comme si vous y étiez déjà. Alors je vous invite à VISUALISER pour plus tard, une remise gracieuse des majorations et une annulation de pénalités. Et pas une remise partielle… Une remise totale !
Ça arrive parfois, c’est donc réaliste (ça fait partie des réalités). Je vous encourage vivement à orienter vos pensées vers ce destin.
Serait-il possible que le destin soit la facture de nos pensées ?
Même si en pratique c’est plus compliqué que ça, cette vision de la Loi de l’Attraction est un bon résumé. Alors passons par le raccourci d’abord, avec confiance, et une fois en hauteur, vous pourrons tracer un chemin que nous pourrons emprunter ou faire emprunter aux autres.
Pour revenir vers la métaphore, si vous payez certains de vos actes cash avec des indemnités et des pénalités, vous pouvez, grâce à certains processus préparatoires, vous autoriser à payer en 5 fois sans frais… Quoi qu’il arrive nous payons la facture, mais lorsque ça se fait en douceur et en Confiance, ça rend la vie plus agréable, et ça permet de multiplier les possibles.
A++
Et merci pour ce niveau de conscience.
Stéphane
Bonjour,
Depuis mes 20 ans après le suicide d’une amie dont le père lui aussi s’était suicidé, je me suis toujours questionnée quand à l’inné et l’acquis, l’influence de l’hérédité et/ou de l’environnement, nos choix en fonction de notre angle de vision… Rien n’est résolue, mais avec 10 ans de thérapies diverses, je me sens beaucoup plus maître de mon destin et actrice de ma vie même si mes modèles anciens et négatifs intégrés par moi-même m’empêchent de réussir dans certains domaines et notamment professionnel. Je lutte !
On choisit pas ses parents,
on choisit pas sa famille
On choisit pas non plus
les trottoirs de Manille
De Paris ou d’Alger
Pour apprendre à marcher
Etre né quelque part
Etre né quelque part
c’est toujours un hasard
Cette chanson de Maxime Le Forestier décrit bien la part du « destin » : ce qui est écrit sans nous.
Il y a aussi la notion de programme, ou de ligne de vie. J’aime bien l’idée qu’on n’est pas là pour rien. Mais le chemin nous appartient (« dans la limite des stocks disponibles ») !
J’attend la suite avec intérêt
Bonjour Stéphane et bonjour à tous 🙂
Destin……destinée?….. destination?
Difficile de répondre à cette question si ce n’est pas une autre question! (:D non je ne vais pas me défiler!!)
Choisit-on vraiment son destin?
L’Univers n’a t-il pas réservé quelque chose, une destinée, une voie d’épanouissement pour chacun de nous afin de contribuer à l’épanouissement des autres? Une mission où quand je prends soin de moi je prends soin aussi de ceux qui m’entourent!! 🙂
Une quête quotidienne que de savoir pour quoi je suis faite, que d’aller vers ce destin qui est le mien.
A chaque jour sa destination, une direction dont je ne cesse d’ajuster l’angle jusqu’à en faire vibrer ma boussole intérieure!!! 😀
Aaaaaah quand ça me dit OUI au creux du ventre et que cela remonte et m’emplit le cœur, je sais que la direction est bonne et que je suis en route vers ce GRAND destin qui est le mien 🙂 !
Chaque jour il se dessine un peu plus clairement, au fur et à mesure que je m’approche. Le brouillard se désépaissit.
Mon destin c’est d’être au bon endroit et au bon moment.
Le destin, c’est de la magie au quotidien! C’est comprendre pourquoi je me retrouve en tel lieu, en compagnie de telle personne, dans telle situation…qu’ai je à apprendre sur ce chemin?
Les chemins sont multiples, le destin est unique de ma compréhension de l’Univers aujourd’hui.
Le destin enjoint à la réflexion sur le déterminisme et le libre-arbitre. Depuis mes cours de philo en terminale, j’étais partisan du second, sans non plus renier complètement le premier.
La théorie du chaos (son analyse philosophique) m’a réconcilié avec les deux concepts : bien que tout soit déterminé dans l’univers, à notre échelle humaine cela reste indéterminable. Donc même si notre histoire est déjà écrite dans le futur, nous conservons notre libre-arbitre, nos peurs et nos espoirs dans le temps présent. Et bien sûr notre capacité d’assumer un choix sans s’en remettre à une cause extérieure (un dieu, un diable, le destin, le hasard, …).
bonjour , avec chacun de mes actes présents, je dessine mon destin.
destin : convictions
Bonsoir,
Je ne crois pas au destin.
Je crois à l’hérédité (génétique, éducation, mode de vie, etc), mais pas à l’idée qu’un chemin est tracé pour moi par xyz.
Bonjour,
pour ma part, je parle plutôt de destinée avec l’idée que nous pouvons avoir une emprise limitée, mais réelle, sur le cours de nos événements
Bonjour,
Je sais bien que je ne maîtrise pas tout mais je crois profondément au libre arbitre, je ne suis pas fataliste. A certains moments dans ma vie, le choix s’est trouvé facilité car il n’y avait de mon point de vue qu’une option valable mais quelqu’un d’autre aurait pu faire une analyse différente.
Le destin n’est il pas tout simplement un nom que l’on colle sur ce qu’on ne maîtrise pas, une façon de se déresponsabiliser ?
Mes possibilités ne sont pas infinies mais je fais sans cesse des choix importants ou anodins.
Bonne journée à tous
Je ne peux m’empêcher d’associer le destin au hasard lorsque nous nous retrouvons confrontés à des situations qui nous font constater que le destin fait bien (ou mal) les choses..
Certains disent que le hasard n’existe pas… cela implique donc que le destin existe donc bien..
Bonjour Anne-Marie,
Vous opposez le destin au hasard comme s’il n’y avait que ces deux voies possibles. Je crois pour ma part qu’il y a une infinité de mélanges possibles entre ces deux voies et qu’il nous appartient de faire ce qui est en notre possible pour faire fléchir notre propre avenir vers celui que nous espérons. L’addition de tous ces petits possibles individuels crée un courant qui peut faire clairement fléchir le monde. Il nous appartient par exemple à des niveaux multiples de décider de ce que nous mangeons, de notre empreinte écologique sur la terre, des lois que nous votons. Ce n’est ni prédéterminé, ni le jeu du hasard quand je mets un bulletin de vote dans l’urne, dans un pays ou j’ai le droit de voter car d’autres avant moi se sont battus pour que nous l’ayons.
Bonjour,
La voie principale est globalement écrite, il nous reste les détails, les émotions, les choix, tout un tas de possibilité pour apprendre.
Par exemple, si la voie principale est de s’occuper d’animaux, les détails peuvent être d’avoir plein d’animaux chez soi, d’être vétérinaire, …
Bonjour,
Un texte me vient de suite à l’esprit quand on parle de destin :
» Je suis le maître de mon destin
Je suis le capitaine de mon âme »
et cela parle à mon coeur ….
Merci Véronique !
In Victus de William Ernest Henley… Une référence qui a transcendé Nelson MANDELA.
http://textesatoutvent.blogspot.fr/2013/06/invictus-william-ernest-henley.html
Eh les keufs, et les meufs, dans le RER
la banlieue c’est pas rose, la banlieue c’est morose
alors prends toi en main…
c’est ton DESTIN !
🙂
l’idée de destin ne m’appelle pas trop. je suis bien sensible aux propos de Gilbert et de
Fabien. La vie, disait un ami, c’est comme une gare, on a le choix de prendre un train,
un autre ou aucun. Le déterminisme social m’appelle davantage, celui qui engendre le passé, les traumatismes et
nous pousse à tel ou tel choix, telle ou telle manière de réagir ou de vivre.
Prête à apprendre, à être aidée, poussée, transcendée. Bonne journée.
Angèle
Le destin selon moi, c’est ce qui après coup apparaissait comme évident (surtout pour l’entourage non ? Il a vendu sa boite à 10 million, il a fait le tour du monde .. c’était son destin, c’est normal…). La question qui me titille c’est plutôt : comment ouvrir la porte à son destin ? et pour quel destin ?
Je suis un incroyant des destin écrit d’avance.
pardon, du destin écrit