A vous de penser !

Incroyable !!! Pierre DESPORGES vient de coiffer BOUDDHA et GHANDI au poteau dans un programme sur la loi de l’Attraction !…

6 votes contre 5 au moment où j’écris… C’est énorme ! A croire que j’ai attiré des gens qui ont le sens de l’humour ;-).

Il faut dire qu’avec «Je pense, donc tu suis…», il y a vraiment de l’idée. Nous sommes en plein dans la Loi de l’Attraction, car le pouvoir de la pensée agit bien au-delà du monde intérieur. Physiquement notre pensée émet des signaux au delà du cerveau : c’est une onde (c’est un fait scientifique). Il suffit de quelques associations d’idées (pragmatiques ou spirituelles), pour imaginer que les ondes poursuivent leur chemin dans l’Univers. Quelques croyances plus tard, on peut s’accorder avec l’idée que ces ondes influencent les esprits. Ce qui signifie que face à un penseur, celui qui ne pense pas est condamné à suivre…

Ceci rejoint la citation choisie par JaVa :

Construisez vos propres rêves, ou quelqu’un d’autre va vous embaucher pour construire le sien.
(Farrah GRIS).

Même si le mot «pensée» n’apparaît pas la citation, je la garde ! Car lorsque j’y songe, la distance entre la pensée et le rêve se réduit…

Psychologiquement, on pourrait l’expliquer ainsi : une pensée puissante, dans un état de concentration avancé, et qui nourrit des émotions vives, aboutit forcément à l’action (essayez !). Alors qu’une pensée qui se promène dans la tête et qui reste inachevée, fait souvent un flop, et aboutit à la procrastination. Les hommes et les femmes d’action agissent sur contrainte intérieure, bien avant d’être obligés d’agir par l’extérieur. Mais la contrainte intérieure reste une contrainte : elle met automatiquement la pression aux procrastinateurs, dont le mode de fonctionnement est d’agir sous contrainte extérieure uniquement. Nous avons donc bien comme résultat :

Je pense, donc tu suis (si tu ne penses pas).

Alors cessons de suivre les penseurs et les rêveurs et inspirons-nous de leur attitude pour construire nos propres pensées et nos propres rêves, afin d’ETRE… ETRE enfin !

A vous de penser !

Je vous avais promis un programme interactif, alors voilà : étant donné que vous avez élu citation du jour «Je pense, donc tu suis», je vais vous proposer à tous (les participants d’hier comme ceux qui ont préféré garder le silence), de penser par vous-même !

Aujourd’hui, vous allez me livrer vos propres citations, dictons, proverbes, expressions, idées, calembours, jeux de mots, contrepèteries,  etc. qui sont en relation avec la pensée. Vous pouvez utiliser l’un des nombreux synonymes du mot «pensée», comme «réflexion», «cogitation», ainsi que tout ce qui tourne autour du verbe penser (songer, gamberger, ruminer, etc.). Il suffit que vous soyez l’auteur de l’évocation.

J’invite les amoureux des mots à utiliser leur créativité avec des mots qui ont plusieurs sens, comme «raison», afin de créer une ambiguïté qui laissera le choix du sens au lecteur. Par exemple, lorsque je lis :

La raison du plus fort est toujours la meilleure…

Je me dis que Jeannot nous livrait-là, non pas une invitation à la violence, mais plutôt au raisonnement intense. Je pense (sérieusement) qu’il voulait dire ceci :

Celui qui nourrit de faibles pensées finit par nourrir (le ventre) de celui qui pense avec force et conviction !

La Fontaine connaissait-il la Loi de l’Attraction ? Allez savoir ! Si c’est le cas, il va falloir lire ses fables autrement… C’est à vous que je parle ! Car ce n’est pas la peine de demander ce genre de réforme à l’Education Nationale, ils vont avoir toutes les associations de parents d’élèves sur le dos !

Le jour où j’ai compris qu’en espérant changer les idées reçues, je me faisais des idées, j’ai changé d’idée !

Allez, je laisse votre esprit faire de l’esprit, en libre penseur.

A++

Stéphane

67 réflexions au sujet de « A vous de penser ! »

  1. Le double sens du verbe réfléchir m’inspire, mais je n’ai pas trouvé la citation qui dirait ça avec élégance et efficacité. Il me semble que le verbe réfléchir, pour une personne, signifie à peu près l’inverse de ce qu’il signifie pour un miroir. (Mais bien sûr, c’est le miroir qui inverse les choses!)

    1. Sylvia, ça me fait penser à « Les miroirs feraient bien de réfléchir un peu plus avant de renvoyer les images », mais c’est de Jean Cocteau 😉

    2. Ah je vois que nous sommes dans la même réflexion du miroir « songes que tu réfléchis avec raison mais à contre-sens, cette expression » (suite à lire plus bas)

      1. Stéphane, c’est pas du jeu tu es tombé dans la marmite tout petit et tu as presque un demi-siècle d’avance sur ce terrain là mais je sens le gamin qui s’amuse..à moins que tu veuilles battre un record du nombre de commentaires dans le Blog ? Si il t’en reste pourquoi pas les mitrailler en dernier commentaire avant d’attaquer un nouvel article de Blog ?
        T’es trop fooort
        J’adooore ta dernière
        « Si vous avez de mauvaises pensées, évitez les miroirs. Ça vous épargnera une mauvaise réflexion. »

        1. Hello Patrick,

          Tu es beaucoup plus proche quand tu parles de l’enfant qui s’amuse aujourd’hui que de celui qui est tombé dedans quand il était petit.

          Point de concours, j’ai beaucoup aimé l’évocation de Sylvia. J’ai décidé de jouer.

          A part, ça, tu as la même citation préférée que moi… Je vais me mettre un like. Dans l’enthousiasme, j’ai oublié de m’aimer 😉

          A++

          Stéphane

  2. Penses-y, « songes que tu réfléchis avec raison mais à contre-sens, cette expression »
    Invitation philosophique taôiste profonde et récursive ?… que nenni, je disais, appelez moi Narcisse, à mon miroir :
    « rêves que tu renvoies proportionnellement en l’inversant cette émotion de mon visage »
    Qu’en pensez-vous, ça fume ?
    C’est comme cela toute la journée, à ce qui paraît ça s’appelle le double entendre !

    PS++
    Un miroir conserve Ox et Oy du plan mais inverse la profondeur Oz, on dit qu’il inverse la chiralité. C’est pour cela qu’il inverse la droite de la gauche mais pas le bas du haut. Inverser la chiralité c’est comme retourner un gant..la main droite devient la main gauche.

    En math une raison est un rapport, une proportion.

  3. Quelques pensées:
    « Ne vous dépensez plus à penser, TF1 (ou RTL, les chroniqueurs, les politiques…) pense pour vous »
    ou « dépêchez-vous de penser avant qu’ils ne pensent pour vous »
    « Le penseur n’agit pas, l’agitateur ne pense pas ; dommage ! »
    « Le degré de nos pensées se lit sur le thermomètre de nos actions »

  4. L’anthogrammatologie est le langage des fleurs. Cultivez votre jardin, plantez vos pensées !
    Choisissez la couleur de vos pensées en fonction des… pensées que vous souhaitez voir fleurir :

    Pensée multicolore : Pense à moi comme je pense à toi.
    Pensée blanche : Amour naissant, je pense à toi avec respect.
    Pensée bleue : J’ai confiance en ton amour.
    Pensée jaune : Désir empreint de poésie.
    Pensée mauve : Nostalgie de l’amour qui passe.
    Pensée noire : Chagrin d’amour sans espoir.
    Pensée orange : Désir charnel intense.
    Pensée rose : Je te suis fidèle.
    Pensée rouge : Je t’aime ardemment.

  5. Mon premier est la seconde de DO
    Mon second est à la pointe du clocher
    Mon troisième est l’action du marin (à voile) lorsqu’il veut partir
    Mon tout est une qualité que l’on demande au tain

    1. MI, la seconde c’est 2 tons ou seconde lettre de DO O
      COQ ou derniere lettre (à la pointe pas au bas) de clocher R
      HISSER ou LARGUER (les amarres)

      Réfléchir
      RE
      FLECHE
      IR

      1. Et la tierce, c’est trois tons ? Mais qui est la première ? elle me semble tonique pour pousser la seconde aussi loin. Je n’ose imaginer la septième, plus tonique que la tonique, elle en deviendrait neuvième ou onzième. C’est jouable sur une guitare mais sur un piano, il me faudra renverser….
        Donc pour moi, la seconde se situe 2 demi-tons au dessus de DO soit DO# – RE mais je peux me tromper.
        Je confirme que ma charade était difficile voire tirée par les cheveux du matin (tiens, je ne suis pas peigné)
        Une jolie flèche avec ou sans coq (mais sans plumes) :
        http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/8/87/200506_-_Mont_Saint-Michel_10.JPG

        Mais tu as presque trouvé la solution…encore un petit effort … ;-D

          1. Merci Patrick ! hisser ou hissant….je manque de pratique pour la cré&ation de charade…Merci pour la co-création de cette histoire qui m’aura amené au Mont Saint-Michel par la pensée

  6. Quand une pensée involontaire (et qui me semble utile) arrive, je la toise, je l’examine, la jauge, la détecte, l’approfondis, l’estime, l’envisage, l’identifie, la cerne, l’inventorie, la soupèse, l’imagine, la tripote, la caresse, l’hypothèse, l’hypothèque et l’accepte…. pour l’ordre, ça dépend…

      1. Le temps n’étant pas dépassé, je n’ai pas voulu composer avec le passé. Comme je ne pouvais devenir imparfait (à moins que vous ne le pensassiez ) le plus-que parfait m’avait effectivement titillé l’esprit. Néanmoins, je l’avais trouvé prétentieux, ce qui m’aurait ramené dans un futur antérieur, comme un cycle…c’est génant : non ?

  7. Quand à la véritable indépendance de pensée, le fameux libre arbitre, à moins de vouloir tout reconstruire (le langage en même temps), elle consiste à dépendre du système de pensée de qui on veut.

  8. J’en ai une trop bien, retrouvée hier dans la poche de mon manteau, je l’avais notée sur un bout de papier, vous allez adorer (obligé) :

    « L’apparition de la pensée est à coup sûr l’évènement le plus important de l’histoire de l’univers depuis sa sortie du néant. On dirait que le monde est créé pour la seconde fois ». Jean D’Ormesson.

  9. Encore une petite pour la route, toujours griffonnée sur mon petit bout de papier (j’en ai plein les poches, je note des idées, de petits trucs, des pensées,…), toujours commise par Jean D’Ormesson -quel bout en train le jeannot !- :

    « La souffrance apparait avec la vie,
    Le mal avec la pensée ».

    L’animal souffre et fait souffrir mais ne commet pas le mal intentionnellement. La souffrance est la conséquence d’évènements accidentels, alors que le mal provoque des souffrances calculées par la pensée. Certes, ce n’est pas très joyeux de bon matin… Alors inversons :

    « la satisfaction apparait avec la vie, le bonheur et la joie avec la pensée ».

    Déjà plus sympa, non ?

    1. donc le battement de la queue de mon chien lorsque je rentre à la maison, c’est de la satisfaction ?
      Je ne sais pas répondre à cette question mais je prête à mon chien une intention de joie…et il me le rend bien 🙂

        1. La conscience telle que nous la concevons, je ne pense pas. Toutefois, l’animal est émotif et il connait des émotions comme la peur, la joie, la colère et la tristesse. Est il capable de gérer ces stress et de choisir ? bonne question ! Je ne sais y répondre. Je sais seulement qu’il est capable de manipuler un être humain par sa tristesse ou par sa joie pour obtenir ce qu’il désire…il est donc capable de simuler une émotion pour obtenir une réaction externe.
          Et je l’adore 😉
          Un espace temps de partage avec un être vivant différent…
          Love is in the air

          1. J’ai bien envie de dire un petit mot en réponse à Caroline et Frédéric à propos de la conscience…

            Sûr que les animaux sont conscients de ce qui les entoure, du danger, de la température, de leur confort ou inconfort, de la douleur, de la solitude, des odeurs, de leurs besoins naturels, etc.

            Sûr qu’ils font des prises de conscience associées à ce qui précède.

            La question est de savoir s’ils sont conscients de faire des prises de conscience, autrement dit, s’ils sont conscients d’être conscients.

            Nous sommes des homo sapiens sapiens.
            Y a-t-il des espèces animales sapiens sapiens?
            Les dauphins nous obligent à y réfléchir de très près, hélas, ils n’ont pas de larynx et hélas, nous n’entendons pas les ultra-sons qu’ils produisent pour s’exprimer et nous ne comprenons pas leurs messages vocaux.

            Un jour, peut-être…

          2. @suzanne
            Les dauphins….il est vrai que des recherches en cours nous disent qu’ils semblent mieux exploiter leur cerveau que nous. Maintenant si nous arrivions à décoder leurs sons, que ferions nous de 10.00 mots pour décrire l’eau ?
            Le sapiens sapiens est-il réellement capable de s’adapter à autre chose qu’à son nombril ?
            Les énergie de l’INTELLIGENCE sont nombreuses…et nous commençons juste à les explorer. Alors quelle énergie pouvons-nous émettre vers ces autres énergies avant de (si nous le pouvons) les comprendre ?
            Cette question n’attend pas de réponse, chacun apportera sa propre réflexion à sa conscience (s’il ne prend pas la fuite – stratégie d’évitement).

    2. Jolie inversion!

      Ceci dit, j’aime bien – et je n’ai pas peur de la première citation. Elle nous propose une vérité, même si c’est une vérité partielle. C’est en en prenant conscience et en affrontant ces vérités, que l’on peut les dépasser.

      La souffrance apparaît avec la vie, mais la vie n’a pas à être souffrance. A nous de créer le plaisir, pour soi et les autres. Le mal apparaît avec la pensée, mais nous pouvons orienter nos pensées pour créer, ou favoriser le bien.

  10. C’est ça la richesse de Attraction ++
    Que d’angles de vue différents, que de cavernes spécifiques. Le monde est riche d’êtres si différents ! Merci à tous ceux qui se sont exprimés !

    J’en reviens à l’allégorie de la caverne de Platon car certains angles présentés pourraient sembler atrophiés, soumis aux dogmes, aux « vérités » assommantes. L’exercice lié à l’écriture sur les commentaires d’un blog crée un biais qui limite l’expression de la richesse et de la complexité des pensées de chacun mais il je reviens souvent vers cette allégorie dès que j’entends le mot vérité.
    L’allégorie de la caverne en vidéo sous-titrée : http://youtu.be/2yfePu67xoI

    Nos pensées évoluent dès lors que nous savons les interroger. C’est le fameux « pourquoi » de l’intention.
    Quant au chemin emprunté par les « comment », je me rends bien compte grâce à cet article qu’il ressemble à un « patchwork fou » personnel à chacun.
    Patchwork car nos idées sont l’association d’idées rencontrées (j’ai vu Pascal, Rabelais, Henry Ford et tant d’autres), assemblées et cousues de façon personnelle
    Fou car on arrive à mélanger du Jung, de la théorie de la communication interpersonnelle, du Nietzche, du Eckart Tolle, du langage des fleurs en passant par Jean d’Ormesson….et j’en passe 😉

    En conclusion personnelle :

    La pensée est la résultante d’un patchwork fou emprunté par des « comment » au service de « pourquoi »

  11. TEST DE CONSCIENCE DE SOI? EPREUVE DU MIROIR ?

    D’après http://www.gurumed.org/2011/02/17/essayer-de-communiquer-avec-les-dauphins-pour-mieux-communiquer-avec-les-extraterrestres/

    les dauphins auraient conscience d’eux-mêmes car il se reconnaissent dans le miroir

    extrait

    « Et oui ! pourquoi aller voir ailleurs ce que l’on peut commencer par faire sur Terre, avec nos amis les dauphins qui sont quand même la deuxième intelligence la plus évoluée après l’homme. Ils ont une structure sociale complexe, forment des alliances, partagent les tâches et ont chacun leur propre personnalité. Placez un miroir dans leur bassin et ils peuvent se reconnaitre, ce qui indique une conscience de soi.  »
    Si vous lisez tout l’article vous verrez qu’en plus ces chercheurs ont créé un langage des signes intéressant entre dauphins et humains

    De plus l’année passée j’ai lu (et partagé, il faut que je retrouve l’article) une annonce fracassante concernant les dauphins. Il projetteraient par sonar des images brutes et non pas des signes d’un langage articulé avec lexique, syntaxe et sémantique. Du coup les chercheurs ont changé de méthode pour communiquer / chercher à comprendre les dauphins..je voudrais savoir où ils en sont aujourd’hui ?

    1. @Frédéric, Patrick et tous les autres,

      J’ai trouvé ceci sur internet:
      http://www.dauphinlibre.be/langage.htm#B. ECHOGRAMME ET TRANSMISSION D’IMAGES

      Mais zut je ne sais pas transformer l’URL en lien dans ce blog! Comment faites-vous???

      On y parle de tous les aspects de l’expression du langage, je dis même de la pensée des dauphins, y compris de la transmission d’images.
      Pas le temps de chercher plus, mes journées n’ont que 24 heures, c’est frustrant!

      De plus en plus passionnant le sujet!
      Amitiés

    2. Question hors sujet pour Stéphane:

      Fera-t-on une pause dans Attraction ++ entre Noël et Nouvel-An?

      je serai loin de tout ordinateur pendant une semaine et ce sera horrible d’être séparée de ces discussions passionnantes…

      Je n’ai rien trouvé de mieux que l’apitoiement sur ma tragique condition de golfeuse sans ordi.

      Stéphane aurez-vous pitié?

      Ou me faudra-t-il défiler avec des banderoles comme au bon vieux temps de l’affaire Lip ou de mai 68?

  12. La pensée est comme un cours d’eau. Elle nait d’une toute petite source, un simple filet d’eau qui fait bien peu de bruit. Elle se mêle à d’autres eaux et devient un torrent de montagne qui rebondit sur les rochers, ne s’embarrasse pas de détails, arrache sur son passage, sculpte, emporte, jaillit. Elle entre en conflit ou au contraire fusionne et s’enrichit quand elle rencontre d’autres rivières. Elle change de couleur avec le temps, gonfle et dégonfle, se rebelle parfois et sort de son lit. Puis elle s’assagit, dépose le superflu, s’élargit, prends le temps.Et elle finit apaisée, elle fond ses eaux dans celles de l’océan. Chaque goutte sait d’où elle vient mais n’y attache plus d’importance.

    1. Oui, mais les autres ont besoin de vous. Il faut bien un leader qui lance le process.

      Nous étions 43 en décembre, nous sommes 15 en mars…

      Pour répondre plus complètement : pour bien profiter de mes programmes, il est préférable de s’inscrire à la première session. C’est là qu’il y a le plus de monde, et en général ce sont des gens actifs : ils passent à l’action très vite !

      Vous avez la chance de pouvoir profiter de leurs réflexions (je peux effacer les messages des précédentes sessions), sachant que certains d’entre eux reçoivent une notification quand ça bouge sous leurs articles préférés. Donc ils viennent refaire un tour avec plaisir.

      Il faut donc faire le premier pas, car sans vous, votre vie serait bien monotone ;-).

      A++

      Stéphane

  13. Mais non, vous n’êtes pas seule ! La pensée met un peu de temps à se construire, surtout qu’il y a justement pas mal de très bonnes pensées qui ont déjà été émises. J’ai finalement trouvé un axe encore non exploité pour la mienne :

    « En pensée comme en optique, le meilleur résultat s’obtient sans biais. »

    A vous !

  14. Personnellement, les anciens commentaires me bloquent plutôt qu’ils m’inspirent : ils se répondent, c’est sympa, mais j’y assiste sans participer. Du coup, tout ce que j’aurais eu envie de dire me semble sans intérêt.
    Heureuse de voir qu’il y a du monde, finalement ;-)).
    Il me semble qu’il y a un aspect encore inédit de la pensée : c’est un processus incoercible de notre cerveau (difficile de faire le vide, hein?). Que dire des pensées parasites, de celles qui trottent en arrière-fond et qui débarquent sur le devant de la scène au moment le plus incongru ? Penser, avec un P majuscule, n’est-ce pas négocier avec son cerveau pour faire travailler les synapses dans un sens bien déterminé ?

  15.  »L’utopie est l’une des expressions majeures de la grandeur de l’esprit humain. »
    Dans  »Personne » à paraitre.

    Dans  »le gardien du dernier poison », le philosophe Sartre, homonyme de notre Jean-Paul, aurait pu dire au pharmacien en mesure de lui procurer le dernier poison:
     » Je ne pense plus, donc je veux mourir »

  16. Surtout, il faut laisser les derniers commentaire Stéphane ! C’est très enrichissant.

    Je ne sais pas si vous avez déjà vécu ce moment ou vous êtes dans un endroit que vous je connaissez pas, seul (ou avec des personnes que vous ne connaissez pas), loin de toutes vos habitudes (visuelles, auditives…). Autrement dit, que vous ne vivez pas à travers le regard de confiance que les personnes qui vous connaissent posent sur vous, ou à travers les sensations que vous connaissez … Avec un futur (proche) inconnu ! (Vous ne pouvez pas non plus vous raccrocher au sentiment de confiance de connaissance du futur, vous ne savez pas ou vous habitez, pas ou vous aller dormir, pas ou vous aller manger …)
    J’ai vécu ça plusieurs fois, lorsque je pars seul dans un autre pays (Espagne, Bolivie, Inde …). C’est une sensation de liberté incroyable, ou la seul chose qui me rappel que je suis bien moi est la présence de mon corps et de mes pensées.

    « Pars, pars à l’autre bout du monde, là ou tu n’as jamais mi les pieds, là ou tu ne connais rien ni personne, ou rien ne t’es familier. Surtout, pars sans peurs, n’oublies pas que tes pensées ne connaissent pas ces frontières »

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